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Écrivain, traducteur et journaliste, directeur de la revue d'art et littérature hispano-américaine en ligne Resonancias.org (1). Hector Loaiza est né à Cuzco (Pérou) en 1941. Il a vécu à Buenos Aires (Argentine) entre 1959 et 1962. En France depuis 1969, il écrit en français à partir des années 1970 et se fait naturaliser Français en 1991.

1. Biographie

1.1 Enfance et jeunesse

1.2 Sa vocation littéraire s’impose à lui

1.3 Son départ vers la France

1.4 Une quête ésotérique au pays natal

1.5 L’exploration d’autres thèmes : l’art latino-américain et le roman autobiographique

1.6 Journalisme culturel

1.7 Publication électronique

2. Œuvres

2.1 En français

2.2 En espagnol

2.3 Quelques essais et articles en français et en espagnol écrits par l’auteur

2.4 Essais et articles parus au sujet de ses livres

3. Notes et références

1 Biographie

1.1 Enfance et jeunesse

Hector Loaiza est fils d'un instituteur, Uriel, et son grand-père paternel, José Gabriel Loaiza, est chanoine de la cathédrale de Cuzco. À onze ans, il découvre, émerveillé, la musicalité de la langue française et l’esthétique du cinéma français en regardant La Belle et la Bête de Jean Cocteau. Jusque-là, il est habitué à la sonorité de l’anglais américain, avec des sous-titres en espagnol, des séries et des films de Hollywood. La découverte du français l’encourage à s’inscrire à l’Alliance française pour suivre des cours, d’abord dans sa ville natale, puis dans celle de Buenos Aires, lors de ses études universitaires de médecine en 1959. Au début des années 60, l'agitation politique en Amérique du Sud et à Cuba le fait adhérer à un courant du trotskisme argentin. Il s'implique alors dans la défense des paysans indiens de la région de Cuzco. Hector Loaiza connaît la persécution politique et est emprisonné plusieurs fois à Lima, Cuzco et Puno. 

1.2 Sa vocation littéraire s’impose à lui.

Au cours de son incarcération politique en juillet 1963, il apprend la mort de son père, instituteur dans une petite ville près de Cuzco. Après avoir fait une grève de la faim avec d’autres prisonniers politiques, il est libéré. Il effectue alors le voyage jusqu’à la petite ville où son père avait vécu pour visiter sa tombe et procéder à la liquidation des biens laissés. En dehors de quelques meubles et d’une centaine de livres, il y découvre des nouvelles et des essais inédits de son père. À partir de là, une nouvelle image de son père se forme dans son esprit et éveille en lui le désir de reprendre la vocation littéraire que celui-ci n’avait pas assumée jusqu’au bout.

Après quelques années de militantisme, il décide de changer de vie. En 1966, il entreprend des études de Lettres à l’Université de San Marcos de Lima, où il fréquente un cercle de jeunes poètes et écrivains bohèmes. Il lit Jorge Luis Borges, Julio Cortázar, Juan Carlos Onetti, Ernesto Sábato, Juan Rulfo, Fernando del Paso, José María Arguedas et d’autres écrivains latino-américains. Sous l’influence de Córtazar et d’Onetti, Hector Loaiza écrit son premier roman, Persiguiendo al puma, qui décrit la frustration et le désenchantement des intellectuels à travers le récit de sa vie à Buenos Aires, ses années de militantisme et le climat déliquescent de Lima. Il écrit avec passion des nouvelles. En 1968, il publie dans la revue Cuadernos Semestrales de Cuento — dirigée par Eugenio Buona — une nouvelle, El Paraíso, qui est bien accueillie par la critique littéraire de la capitale péruvienne. L’écrivain, critique littéraire et journaliste péruvien, Alfonso La Torre, écrit alors : « Hector Loaiza accumule les images impressionnistes de la réalité populaire autour d’un énigmatique vagabond et d’un tremblement de terre, tous les deux agissant comme des forces morales qui secouent le marasme social et spirituel d’une ville, avec une prose allusive et floue qui illustre l’impossibilité de déboucher sur une ascèse… » (2). Par la suite, il continue à publier des nouvelles dans d’autres revues culturelles. 

1.3 Son départ vers la France

En 1969, il décide de partir vers la France afin de continuer ses études littéraires et suivre de plus près le structuralisme. Il retourne alors à Buenos Aires et prend un bateau à destination de la France. À Bordeaux, il suit des cours de français et de lettres modernes à l’Université de Bordeaux III, et se marie avec Jeanine Brisseau qui prépare sa thèse de doctorat d’État de géographie sur la ville de Cuzco et sa région. Son épouse tiendra une place importante dans sa vie. Il s’efforce alors d’oublier les expériences traumatisantes vécues pendant la persécution politique et les incarcérations successives dans les geôles péruviennes.

Son premier roman inédit, Persiguiendo al puma, commencé à Lima et achevé à Bordeaux, est finaliste du Concours 1971 de la maison d’édition Carlos Barral à Barcelone. Le communiqué de presse résume ainsi l’ouvrage : « Immersion dans le cercle vicieux auquel sont condamnés certains intellectuels liméniens. Rencontres, recherches, séparations se mélangent dans cette tentative désespérée de chercher une identité. Une description réitérative enveloppe chaque effort, mais ces efforts ne font que déboucher, peu à peu, sur des éloignements conduisant à une négation définitive. »

Lors de ses premières années en France, il lit Proust, Georges Bataille, Hölderlin, Antonin Artaud, Lautréamont, André Breton et les écrivains du Nouveau roman, notamment Robbe-Grillet et Michel Butor. Il s’intéresse à l’art classique et contemporain. Avec Jeanine, il fait plusieurs voyages en Italie et en Espagne pour visiter les musées d’art. Il suit l’évolution de la critique littéraire en lisant Maurice Blanchot, puis les structuralistes, Roland Barthes, Tzvetan Todorov et les auteurs du groupe Tel Quel.

Cependant, sa vie d’exilé volontaire n’est pas facile. En France, il finit par se poser des questions sur sa véritable identité. Il écrit alors un texte cathartique à la première personne sur son enfance ainsi que sur l’histoire de sa famille maternelle et paternelle. Il s’agit d’un premier brouillon où il recrée les images, les odeurs, les anecdotes éprouvantes de son enfance, l’absence de ses parents… Une fois ce manuscrit volumineux achevé, il traverse une crise spirituelle profonde et part à Paris. Il rencontre dans la capitale française une beatnik, une femme fascinante, qui lui conseille de faire l’expérience d’un psychotrope pour apaiser son angoisse.

1.4 Une quête ésotérique au pays natal

Au printemps 1972, il fait alors une expérience psychédélique qu’il racontera plus tard dans un court roman inédit. Ses lectures s’orientent désormais vers l’ésotérisme (Mircea Eliade, René Guénon, Gurdjieff, Louis Pauwels, Raymond Abellio et Carlos Castaneda). Son goût pour l’hindouisme lui fait lire les ouvrages de Sri Aurobindo, Jean Herbert et d’autres maîtres spirituels et philosophes. En 1973, il retourne dans sa ville natale pour entreprendre une quête auprès des chamans indiens de la haute montagne de la région de Cuzco. À son retour à Bordeaux, il commence à écrire le récit de ses rencontres. En 1974, il revient au Pérou avec un réalisateur, un cameraman et un preneur de son pour tourner un documentaire sur les chamans indiens. « L’objectif était de faire un film sur les sorciers, écrit le journaliste Rodolfo Gerschman dans un article rédigé après le tournage. Le film essaie de montrer les mythes et les croyances magico-religieuses, les individus et les chamans, héritiers d’une ancienne connaissance. Il est également le témoignage filmé de l’expérience initiatique d’Hector Loaiza… » (3) À Paris, par manque de financement et à cause de désaccords entre les membres de l’équipe, le film ne sera ni monté ni montré dans aucune salle de cinéma.

Il publie toutefois son récit Wanu Pura : Le chemin des sorciers des Andes (4) en 1976. Il s’agit d’un témoignage personnel. Dans le programme « Littérature en débat » de RFI en espagnol, du 21 janvier 1977, l’écrivain cubain Severo Sarduy et l’écrivain espagnol Emilio Sánchez Ortíz font le commentaire suivant à propos du livre : « Je veux souligner en premier lieu, remarque Sánchez Ortíz, le caractère récurrent que reflète le livre d’Hector Loaiza. Son contenu oscille entre le silence et la parole, ce qui est le paradoxe du mystique ; entre la cosmogonie quechua et la pensée judéo-chrétienne, implicitement comparées et opposées. Il fait le va-et-vient entre les cultures européenne et amérindienne, l’une connue, l’autre marginale ; entre la mer et la montagne, ce qui révèle une démarche initiatique ; entre la littérature péruvienne de la côte ou liménienne et celle des Andes ; et enfin entre - naturellement - la condition humaine et la condition cosmique. »

Pour Severo Sarduy, « il s’agit donc d’une véritable quête menée par Hector Loaiza, et je dirais que cette recherche s’effectue avec une rigueur et une passion telles qu’elle ressemble à une enquête policière. Mais évidemment, ce qu’on y recherche n’est ni un crime, ni les auteurs de ce crime. Disons-le clairement : ce qu’on y recherche, ce sont les dieux anciens ! Et cet objet de recherche se trouve […] justement sur le Toit de l’Amérique, dans les Andes. »

Le poète et essayiste écossais, Kenneth White, fait une autre approche de ce livre : « Le genre d’investigation et de cheminement décrits par Hector Loaiza dans Wanu Pura appartient à tout un courant très actuel que l’on pourrait appeler la littérature de ressourcement. Cela commence peut-être par Les Immémoriaux de Victor Segalen […] qui date de 1907, passe par Black Elk Speaks (La vie d’un chaman sioux) de John G. Neihardt (1932) et le Do Kamo de Maurice Leenhardt (1947), pour arriver, après le répertoire général que fut Le Chamanisme et les techniques archaïques de l’extase, de Mircea Eliade (1968), à la série des livres de Carlos Castaneda… » (5)

L’écrivain, poète et philosophe, Michel Cazenave, à la suite d’un entretien avec Hector Loaiza d’une heure et demie sur France-Culture, écrit dans la note de presse : « Ainsi initié à l’enseignement mythique et mystique le plus traditionnel de la population quechua, l’auteur y découvre de nouvelles raisons de vivre et de croire. Au cours d’un long entretien, il nous fait pénétrer dans des manières de penser et de sentir que nous avons oubliées depuis longtemps en Occident : rythme cosmique de la vie humaine, rapports entre disciple et maître, cérémonie d’initiation, nouvelle appréhension du temps et de l’espace, cosmologie naturelle, etc. » (6)

1.5 Exploration d’autres thèmes : l’art latino-américain et le roman autobiographique

En 1997, il sort le livre-entretien d’art, Botero s’explique (7). Le philosophe d’art belge, Marcel Paquet, commente : « L’œuvre de Botero, monumentale et sensible, puissante et pleine de grâce, s’est imposée à contre-courant de toutes les théories esthétiques du monde contemporain. Cette évidence est le mystère autour duquel se formulent les réponses et les questions de Botero s’explique, livre indispensable : pour ceux qui aiment les peintures et les sculptures du génial Colombien, mais aussi pour tous ceux qui, fascinés par la difficile simplicité de l’art, désirent s’approcher par la pensée des cheminements les plus secrets de la création artistique, ils trouveront dans cet entretien une inépuisable richesse. » Dans le communiqué de presse de l’émission de TF1, Ex Libris, de Patrick Poivre d’Arvor, du 15 janvier 1997, on présente l’artiste et le livre : « En exclusivité pour Ex Libris, à l’occasion de la publication d’un livre d’entretiens avec Hector Loaiza, Botero s’explique paru aux Editions La Résonance, il évoque en compagnie de J.-M.G. Le Clézio, ce fascinant voyage dans l’art. C’est dans l’atelier de Fernando Botero à Paris, qu’Ex Libris a filmé la rencontre entre l’artiste et l’écrivain. »

Sur la base de son manuscrit inédit écrit dans les années 1970, il publie en espagnol le roman Diablos Azules (8), où il raconte la vie de ses grands-parents paternels et maternels et la séparation de ses parents qui lui avait laissé une trace indélébile. Dans la préface de la version française, l’historienne et anthropologue Carmen Bernand, spécialiste de l’Amérique latine et auteur de plusieurs ouvrages, écrit : « Démons bleus à Cuzco peut se lire selon plusieurs perspectives. La trame, d’abord, très bien construite, qui unit les familles d’un chanoine, d’un propriétaire terrien et d’un Indien d’un haut plateau devenu citadin, à travers leurs amours et leurs enfants. Nous laisserons au lecteur le soin de découvrir leurs liens complexes et les blessures profondes qui ont marqué leurs existences et qui ont laissé des traces indélébiles sur leurs descendants. Ajoutons simplement que les pulsions sexuelles et les remords qui brisent la vie du chanoine et de ses proches, ne sont pas des éléments de fiction, mais traduisent des tensions profondes et bien réelles que l’on retrouve dans le monde andin encore de nos jours... »

Pour l’écrivaine et biographe argentine, Alicia Dujovne Ortiz : « Le temps d’Hector Loaiza, irréversible comme celui de Jorge Luis Borges, n’avance pas en ligne droite. L’image de ce temps évoque le dessin que fait une pierre jetée sur la surface d’un lac aux eaux calmes. Tous les personnages de ce roman […] pensent en cercles […]. L’amour pour la ville aux montagnes bleutées et aux lumières violentes produit des pages d’une intense beauté. Mais qu’elle devienne un personnage ou un symbole, elle représente avant tout le lieu où se déroulent des histoires vraies, pleines de chair et de sang. Les êtres qui y habitent existent par eux-mêmes, ont une identité et une densité propres… » (9).

« Le destin de trois générations s’entremêle avec fatalité dans une ville qui se déploie comme un aimant, et dans ses recoins se blottissent les “démons bleus”, remarque Fernando Aínsa, écrivain et critique littéraire hispano-uruguayen. Les années passent et l’action recule plusieurs fois. On verra Uriel, loin de sa famille, être instituteur dans un village de pêcheurs de la côte sud […]; on verra aussi Elvira de retour, prenant les rênes de sa propriété terrienne dans la vallée de Lares à la mort de son père, avec l’énergie et l’âme endurcie par les désagréments de sa vie ; le chanoine vieilli, cherchant à ce que son petit-fils, Fernando, rentre au séminaire pour suivre sa destinée ; et, à la fin, le retour du “fils prodigue” – Uriel – au sein de la famille, pour décider qu’il vaudrait mieux finir ce roman plusieurs fois conçu et commencé, mais jamais achevé, Démons bleus à Cuzco » (10).

1.6 Journalisme culturel

En 1980, le rédacteur en chef de Paris-Match lui confie une mission pour réaliser un reportage sur la ville de Caracas. Il y publie un long entretien avec le scientifique anglais, inventeur de l’aile delta des avions et adepte du bouddhisme tibétain Bernard Benson (11) et, en 1984, fait des reportages sur le Mexique, les villes de Caracas et de Lima.

Le supplément culturel du journal El Universal de Caracas l’engage en 1980 comme correspondant en France pour écrire des chroniques sur l’actualité littéraire et artistique de Paris. Il y publie des entretiens avec Ernesto Sábato, Octavio Paz, Fernando Arrabal, Anne Philippe, Fernando Botero, Raymond Aron, Louis Pauwels, le metteur en scène Jorge Lavelli, les écrivains Hector Bianciotti, Frédéric Tristan et d’autres. Il s’oriente vers l’art en rédigeant des articles sur des expositions et des artistes pour les journaux latino-américains.

En 1982, il publie un entretien rare et remarquable de Carlos Castaneda à Mexico. Cette rencontre inédite sera publiée dans le supplément culturel du journal El Universal de Caracas, en français dans la revue L’Autre Monde (12) de Paris et plus tard, l’entretien complet, paru en quatre parties, dans la revue Ciclo Literario d’Oaxaca (Mexique). On le trouve intégralement en ligne aujourd'hui sur plusieurs websites (13).

Entre les années 1999 et 2000, Hector Loaiza dirige la revue en français, imprimée sur papier, Résonances littéraires, pour valoriser le métissage culturel et révéler au public français les écrivains et les artistes latino-américains.

1.7 Publication électronique

Depuis 2001, il est le directeur du site web en espagnol et en français Resonancias.org, qui diffuse la littérature et l’art hispano-américains, et auquel collaborent, entre autres : l’historienne et anthropologue Carmen Bernand, le dramaturge et cinéaste Fernando Arrabal, le poète argentin Luis Benitez, le poète et écrivain péruvien Isaac Goldemberg, les écrivains Fernando Ainsa et Maynor Freyre et d’autres. Resonancias.org est placé par son audience parmi les revues littéraires électroniques les plus importantes du monde hispanophone. Hector Loaiza y a publié des centaines de chroniques sur la littérature, l’art et la philosophie, ainsi que quelques nouvelles.

2 Œuvres

2.1 En français

· Démons bleus à Cuzco (roman), avec une Préface de l’historienne, anthropologue et professeur universitaire franco-argentine Carmen Bernand, Éditions La Résonance, Pau. 2009.

· Botero s’explique, ouvrage d’art en français, long entretien du peintre et sculpteur colombien Fernando Botero, Introduction du philosophe d’art belge Marcel Paquet, Éditions La Résonance, Pau. 1997

· Wañu Pura : le chemin des sorciers des Andes, Editions Robert Laffont, collection Portes de l’Étrange, Paris. 1976.

2.2 En espagnol

· Diablos Azules (2ème édition), avec les préfaces de Carmen Bernand et du critique littéraire hispano-uruguayen Fernando Aínsa, Editions La Résonance, Pau, France, 2010.

· Diablos Azules (1ère  édition), Editorial Milla Batres, collection Cordillera, Lima (Pérou), 2006.

· El camino de los brujos andinos, Editorial Diana, Mexico D.F., 1998

· El paraíso (nouvelle), revue Cuadernos Semestrales de Cuento dirigée par Eugenio Buona, n° 4, Lima, décembre 1968, Lima.

· La oscuridad (nouvelle), publiée dans le n° 1 de la revue Fabla, juin 1968, Lima.

2.3 Quelques essais et articles en français et en espagnol écrits par l’auteur :

· Carlos Castaneda, explorador de lo desconocido (en quatre parties), revue Ciclo Literario, numéro 78, Oaxaca (Méxique), novembre 2008.

· Memoria y mestizaje en los artistas peruanos en París, revue d’art en espagnol et en anglais Arte al día, numéro 86, mai 2001, Buenos Aires.

· Nuevo elogio del mestizaje, revue d’art en espagnol et en anglais Arte al día, numéro 83, Buenos Aires, décembre 2000.

· Una novela deliciosamente decadente, compte-rendu du roman Face à un homme armé de l’écrivain chilien Mauricio Wacquez, journal El Universal de Caracas, publié le 8/03/1987.

· Dossier Castaneda : nouveau voyant ou mystificateur, dont le contenu est La quête initiatique de Carlos Castaneda et L’art d’explorer l’inconnu deux textes écrits par Hector Loaiza, des entretiens aux personnalités qui l’ont connu à Mexico comme le cinéaste Alejandro Jodorowsky, le père Cocagnac et des artistes péruviens de Paris qui ont étudié avec Castaneda aux Beaux-Arts de Lima, Ce dossier fut publié dans la revue l’Autre Monde, n° 100, novembre 1985, Paris.

· Carlos Castaneda, magicien de la tentative (entretien), revue l’Autre Monde, n° 65, septembre 1982, Paris.

2.4 Essais et articles parus au sujet de ses livres

· Traduction en italien par Lydia del Devoto des Préfaces de Carmen Bernand et Fernando Aínsa pour son roman Démons bleus à Cuzco, dans la revue du Syndicat National d’Écrivains d’Italie, année X, Rome, juillet 2015.

· Dans l’ouvrage en espagnol Palabras nómadas: nueva cartografía de la pertenencia, por Fernando Aínsa, Iberoamericana, Saragosse, 2012.

· Héctor Loaiza y el tiempo circular par l’écrivaine argentine Alicia Dujovne Ortiz, publié dans le site www.eldigoras.com, Madrid, 2007.

· Vivir en el Cuzco en la primera mitad del siglo XX par l’écrivain péruvien Carlos Meneses, publié dans le site www.resonancias.org, Buenos Aires, Bogotá et Pau, 2007.

· Diablos Azules en el Cusco de la primera mitad del siglo XX par l’écrivain, critique littéraire péruvien et professeur universitaire Mayno Freyre, publié dans plusieurs journaux liméniens et dans le site www.resonancias.org, 2007.

· Publication d’un résumé en espagnol de Diablos Azules dans la revue littéraire de la colonie péruvienne, Paseos Andinos, à Paris, janvier 2007.

· Un extrait d’un roman inédit est publié en français et en espagnol dans lAntología de los escritores latinoamericanos en París, sous la direction de Claude Couffon et Milagros Palma, Préface de Bernardino Osio, Éditions Indigo, Paris, 2006.

· Botero s’explique en libro de peruano, Agence France Presse, publié le 1er mai 1998 dans le journal Expreso de Lima.

· Botero s’explique en TF1, journal Sud-Ouest, Bordeaux, 15/12/1997.

· Botero s’explique por E.P., ibid., 31/10/1997.

· Botero s’explique une première paloise par  D.N., journal L’Eclair des Pyrénées, 20/09/1997.

· Un chaman des Andes, essai de Kenneth White au sujet du Wañu Pura : Chemin des sorciers des Andes, publié dans son livre Une apocalypse tranquille, Editions Grasset, Paris, 1985 et préalablement dans la revue IIIème Millénaire.

· Wañu Pura, l’aventure d’un voyage initiatique au cœur de la sorcellerie indienne par Robert Netz, paru dans le journal 24 Heures de Genève, Suisse, 22 mars 1976.

3. Notes et références

(1) http://www.resonancias.org

(2) Publié dans le journal Expreso de Lima, le 20 janvier 1969.

(3) Dans le supplément culturel « Variedades » du journal La Républica de Lima, en novembre 1974.

(4) Edité par Editions Robert Laffont, collection Les Portes de l’étrange, Paris, 1976.

(5) Un chaman des Andes, essai de Kenneth White inclus dans son livre Une apocalypse tranquille (Editions Grasset, Paris, 1984) et préalablement dans la revue IIIème Millénaire sous le titre Le chemin des étoiles.

(6) Dans le programme « La matinée des autres », diffusée la première fois, le 24/01/1978, sur France Culture et rediffusée par la suite plusieurs fois.

(7) Botero s’explique, ouvrage d’art en français, long entretien du peintre et sculpteur colombien Fernando Botero, Introduction du philosophe d’art belge Marcel Paquet, Éditions La Résonance, Pau. 1997.

(8) Diablos Azules (1ère  édition), Editorial Milla Batres, collection Cordillera, Lima (Pérou), 2006.

(9) Hector Loaiza y el tiempo circular par l’écrivaine argentine Alicia Dujovne Ortíz, paru dans le website http://www.eldigoras.com/.

(10) Préface à la à la réédition en espagnol de Diablos Azules, écrite par Fernando Aínsa qui a vécu à Paris et travaillé à l’Unesco entre 1974 et 1999, Éditions La Résonance, Pau, 2010.

(11) Publié comme entretien de fond, sous le titre L’homme qui veut sauver le monde dans l’hebdomadaire Paris-Match, juin 1984.

(12) Carlos Castaneda, magicien de la tentative (entretien), revue l’Autre Monde, n° 65, septembre 1982, Paris.

(13) Dans les websites en espagnol http://www.cicloliterario.com/, http://www.oocities.org/,  http://thenahual.blogspot.fr/, http://neorrabioso.blogspot.fr/, http://elishean.fr/ et autres.