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Utilisateur:Lucas Vogel/Brouillon

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Prévoir idéalement pour le stage[modifier | modifier le code]

suggestion : à anticiper/négocier avant d'arriver

  • l'ONCFS fait en France des stages intéressants si tu dois manipuler ou piéger un castor, mais c'est payant et il n'y en a pas bcp.
  • 1 ou 2 cuissardes hautes (type waders) de grande taille, et rustines de réparation. Une paire c'est mieux pour laisser sécher l'une pendant qu'on met l'autre (on transpire en été si on doit marcher avec)
  • 2 boussoles, dont une "cousue" au vêtement
  • canoé en plastique, un peu large + 2 bidons étanches (et si possible bricoler un flotteur latéral amovible et un fond transparent serait sympa, idéalement )
  • matériel photo étanche petit, solide et léger (je suggère le Nikon coolpix-w300 ...) ou un équivalent comme Olympus Tough TG-5), batteries, chargeurs/solaire (si isolé plusieurs jours), quel que soit le choix il faut bien étudier la notice et t'entrainer à l'utiliser avant de partir.
  • fil nylon et scotch d'électricien, petite scie pliante et pelle pliante
  • jumelles, lunettes polarisantes (avec fil pour ne pas les perdre) et casquette (filet antimoustique si nécessaire ?)
  • matériel de vision nocturne ou caméra/piège photo avec éclairage infrarouge
  • un aquascope (un truc pour voir sous l'eau, mais encombrant)
  • sachet étanche pour ranger portefeuille, carnet de note et papiers

rêvons un peu : voir ceci puis (si le temps) ceci) et s'il faut emporter un livre :

Suggestions pour le stage :

  • bien étudier le parc avant de partir (peuvent-ils t'envoyer des rapports, thèses, etc. et en particulier des travaux qui auraient déjà été faits sur le castor)

et étudier à chaque fois que possible (=> prendre bcp de notes, via dictaphone éventuellement)

  • interactions castor-fond, castor-flore, castor-oiseaux, castor reptiles et amphibiens, castor-poissons, etc.
  • interactions entre "familles" de castors
  • interactions intrafamiliale (il serait intéressant d'avoir un hydrophone pour enregistrer les éventuels bruits de communication sous l'eau s'il y en a, ou comment le claquement de queue se propage sous l'eau)
  • interactions barrage/environnement ou hutte-environnement (flore, oiseaux, fonge notamment) ; ex : quel périmètre est prospecté/utilisé pour la collecte du bois..)
  • réfléchir à comment évaluer les effets du réchauffement climatique et peut-être d'une eutrophisation du parc (existe-telle ? A-t-on des données sur phosphates, nitrates, acidification ?) sur la fitness de l'espèce (cf par exemple : ce travail notamment basé sur une approche énergétique/trophique du castor => Rem : Arthur M Pearson en 1960 concluait que l'état de santé du castor et surtout son taux de reproduction avait une valeur bioindicative : https://open.library.ubc.ca/cIRcle/collections/ubctheses/831/items/1.0106459 il reflétait selon lui l'état du milieux]
    Rem 2 : des néerlandais m'ont dit la même chose, dans un parc où le milieu semble parfait pour eux, à une exception (pollution relictuelle mais significative des sédiments par du cadmium si je me souviens bien); là bien que protégé et dans un milieu qui semble paradisiaque pour lui (vaste zone humide pleine de saules) il peine à se reproduire.

Que deviennent les cadavres de castors dans ce milieu ?

Suggestions collaboratives pour améliorer l'article Parc national de Plaisance - voir ci-dessous

Faune[modifier | modifier le code]

Le parc abrite de nombreuses espèces

Oiseaux[modifier | modifier le code]

la vocation du parc a d'abord été ornithologique.

Poissons[modifier | modifier le code]

Mollusques[modifier | modifier le code]

les mollusques aquatiques y sont bien représentés avec 9 des 21 espèces de mulettes (moules d'eau douce) connues au Québec. Deux espèces semblent dominantes Elliptio de l'Est (Elliptio complanata) et la Lampsile siliquoïde (Lampsilis siliquoidea).
Le parc national de Plaisance est reconnu comme étant le site majeur pour le Québec concernant le rarrissime mollusque bivalve potamile ailé (Potamilus alatus) [1], espèce menacée au Canada [2] et considérée comme une espèce prioritaire à protéger par le gouvernement du Québec (rang S1) (Paquet et coll., 2005;. Picard, 2004). Seuls trois spécimens vivants en ont été observés (dans la baie de la Pentecôte dans le parc national de Plaisance (Picard et coll., 2009) et les coquilles vides ne représentent que 1,6 % des coquilles inventoriées.

mammifères[modifier | modifier le code]

Reptiles[modifier | modifier le code]

Le parc accueille notamment


Flore[modifier | modifier le code]

  • Butome à ombelle (Butomus umbellatus),
  • Myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum)
  • Miscanthus (Miscanthus sp.)

Impacts avérés ou potentiels d'espèces exotiques envahissantes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  1. attention lien vers sites mal configuré et donc potentiellement malveillant selon firefox : mais je signale  : Picard I & Houle J.F () Le parc national de Plaisance, le plus important site au Québec pour le potamile ailé.
  2. Liste des espèces désignées comme menacées; MFFP
  3. trouvé le 11 juin 2005 par Isabelle Picard et Mario Charrette, dans le cadre d'une activité de sensibilisation, selon JF Desroches in Desroches J.F (2007) plus grosses tortues serpentines (Chelydras. serpentina) du Québec. Le Naturaliste canadien, 131(1).
  4. Charest René, responsable du service de la conservation et de l’éducation au parc national de Frontenac (2013)le roseau commun, une espèce sous contrôle? | Parcs Québec Bulletin de conservation, 2014, 9|PDF, 3 pages
  5. Lupien N.G (2013) Impact du roseau commun (Phragmites australis) sur les assemblages et le comportement des oiseaux dans des marais d'eau douce du sud du Québec (Doctoral dissertation, Université Laval)
  6. Poulin, S., et R. Charest. 2012. Roseau commun (Phragmites australis) – Portrait de dix ans d’évolution au Grand lac Saint-François, Service de la conservation et de l’éducation du parc national de Frontenac, Sépaq, 12 p