Utilisateur:Leonard Fibonacci/Barzapharnès

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Barzapharnès (aussi appelé Parzaphrane Reschdoum par Moïse de Khorène) est un général parthe de la seconde moitié du Ier siècle av. J.-C.[1]. Au printemps 40 av, J.-C. Barzapharnès commande une invasion parthe du Levant, sous les ordres de Pacorus Ier, fils du roi Orodès II[2]. Alliés avec le romain hors la loi Quintus Labienus, ils s'emparent de la Syrie. Ils aident Antigone II Mattathiah à s'emparer du trône de la Judée. Par la ruse, Barzapharnès fait prisonnier Hyrcan II, qu'il envoie en Mésopotamie. Mais leurs succès est de courte durée, la contre-offensive romaine chasse Labienus d'Asie Mineure, puis en -38 les forces romano-parthes subissent une défaite cuisante lors de la bataille de Gyndarios, au cours de laquelle Pacorus est tué. On ignore si Barzapharnès a subi le même sort, ou s'il est parvenu à franchir l'Euphrate avec les maigres troupes parthes qui réchappèrent de cette aventure. Pour sa part Barzaphanès ramène Hyrcan prisonnier au delà de l'Euphrate.

Offensive en Syrie[modifier | modifier le code]

Pacorus Ier, le roi Arsacide associé à son père Orodès II qui mène cette offensive.

De leur côté, Pacorus et le satrape Barzapharnès s'avancent en direction du sud, vers la Phénicie et la Palestine[3]. L'offensive de Pacorus suit les plaines côtières, tandis que Barzapharnès, s'avance par l'intérieur des terres[3]. Les rois arabes se rallient comme Ptolémée, fils de Mennaeus, roi d'Iturée[3], qui meurt à ce moment là[4]. Son fils Lysanias lui succède. Le prince Hasmonéens Antigone II Mattathiah (Antigone ben Aristobule prince de Judée) qui s'était réfugié chez Ptolémée après le meurtre de son père par les romains et sa disgrâce au profit de son frère Hyrcan II, s'allie aux Parthes. Dans les Antiquités judaïques, Flavius Josèphe indique que Barzapharnès qui a beaucoup d'influence sur Lysanias, le convainc de "faire amitié" avec Antigone C'est Ptolémée Mennaus qui a joué le rôle d'intercesseur[3]. Il ajoute qu'Antigone aurait promis 1 000 Talents et 500 belles femmes issues de la noblesse juive au satrape, à condition qu'il l'aide à éliminer les fils d'Antipater, dont le célèbre Hérode le Grand[2]. Mais dans la Guerre des Juifs écrite 15 ans auparavant, il indiquait au contraire, que c'était le fils de Lysanias, nommé lui aussi Pacoros, qui aurait persuadé « le satrape, en lui promettant mille talents et cinq cents femmes, de ramener sur le trône Antigone et de déposer Hyrcan[5] ». Moïse de Khorène raconte une version équivallente[6]. Le « prince confie alors une partie de sa cavalerie à un échanson du palais qui portait le même nom que lui, et lui ordonne d'envahir la Judée pour observer l'ennemi et soutenir Antigone au besoin[7] »[8].

Antigone bat les partisans d'Hérode dans le Carmel et les poursuit jusqu'à Jérusalem avec un grand nombre de Juifs qui se rallient à lui. Ces forces parviennent à pénétrer dans la ville où les combats s'engagent. Les partisans d'Hérode et d'Antigone s’affrontent dans la ville[9], alors qu'Hérode et Hyrcan sont assiégés dans le palais[10]. Usant de duplicité, un des Pacoros — probablement l'échanson du fils d'Orodès II — invite Phasaël et Hérode à se rendre en Galilée auprès de Barzapharnès pour faire la paix[10]. (La rédaction de Josèphe dans la Guerre des Juifs laisse un doute sur son identité: s'agit-il de l'échanson du fils d'Orodès II, ou du fils de Lysanias[11] ? La version des Antiquités judaïques est plus claire et indique qu"il s'agit de l'échanson[12]. Dans ce texte le fils de Lysanias appelé Pacoros est d'ailleurs totalement absent.) Hérode refuse, mais Phasaël accepte avec Hyrcan II[10]. Ils constatent bientôt qu'ils sont en fait prisonniers[2].

Sentant l'étau se refermer sur lui, Hérode parvient à sortir de Jérusalem de nuit avec sa famille[10]. Il veut mener sa troupe de fugitifs vers l'Idumée où il sait pouvoir trouver des appuis[10]. Il est rejoint en route par d'autres de ses partisans[10], ils sont bientôt 9 000 hommes[2],[10]. Mais les Parthes de Pacoros se sont lancés à leur poursuite[10]. Le convoi tombe dans une embuscade de ses adversaires juifs[10] où sera par la suite édifié l'Hérodion en souvenir de ce qu'Hérode appellera son plus grand combat[13]. Il parvient à mettre sa famille en sécurité à Massada et va chercher du renfort à Pétra[13]. Les Parthes s'emparent alors de Jérusalem, descendent le long de la côte jusqu'à Gaza et s'installent en Idumée[14] Pour une courte période toute la Syrie y compris la Judée a été subjuguée, à quelques exceptions près, dont la ville fortifiée de Tyr.

Antigone roi de Judée vassal des Parthes[modifier | modifier le code]

« À Jérusalem, libérée ou occupée par les Parthes, selon le point de vue qu'on adopte, Antigone est intronisé à la fois comme roi et grand-prêtre[13]. » Le royaume hasmonéen a officiellement été restauré, mais dans les faits, on passe d'une théocratie cliente des Romains à un protectorat Parthe[13]. Constatant qu'il est prisonnier, Phasaël se suicide et Hyrcan II est emmené prisonnier par les Parthes en Parthiène[13]. Avant cela, son frère Antigone II Mattathiah obtient qu'une de ses oreilles soit tranchée, ce qui lui interdit définitivement de pouvoir exercer la fonction de Grand prêtre d'Israël[13].

Hérode, mal reçu par le roi de Nabatène Malichos Ier, rejoint Alexandrie puis Rome. Bien reçu par Antoine et Octave, il est proclamé roi de Judée à l'unanimité du Sénat romain en décembre 40 av. J.-C.[15]. La décision du Sénat « est exceptionnelle, les Romains ayant pour principe de n'accorder le titre royal qu'aux descendants des anciennes dynasties[15]. »

Mais le succès initial rencontré par les Parthes est sans lendemain. « Contrairement aux espoirs affichés par le monarque arsacide[16] », le répit laissé aux Parthes par l'affrontement entre Marc Antoine et Octave-Auguste va être relativement bref[16]. Très tôt dans l'année 39 av. J.-C., après l'accord de Brindisi entre les deux triumvirs, le général romain Publius Ventidius Bassus passe en Asie mineure avec son corps expéditionnaire[17]. Il contre-attaque et vainc les forces de Labienus à plusieurs reprises, alors qu'une bonne partie des légionnaires se rallient à Bassus[18]. Labienus est traqué, capturé, puis probablement mis à mort par Demetrius le gouverneur de Chypre[19],[20],[21]. Ventidius Bassus défait ensuite Pacorus Ier lors de la bataille de Gindarus en Syrie du nord, lors de laquelle celui-ci est tué[22],[23],[24] (-38[25]). On ignore si Barzapharnès a subi le même sort, ou s'il est parvenu à franchir l'Euphrate avec les maigres troupes parthes qui réchappèrent de cette aventure.

En Judée[modifier | modifier le code]

Hérode reprend pied en Palestine...

Barzaphanès et son prisonnier Hyrcan[modifier | modifier le code]

Pour sa part Barzapharnès est parvenu à franchir l'Euphrate avec Hyrcan prisonnier[26].

Selon Moïse de Khorène et Thomas Arçrouni, à son arrivé au pouvoir, le roi d'Osrhoène Ma'nu Saphul dont la capitale était Nisibe, s'est mis à persécuter les juifs de Mygdonie car ceux-ci avaient laisser repartir Hyrcan en Judée et surtout lorsqu'il a su qu'il ne toucherait pas les 100 talents qu'il avait promis de verser contre sa libération car Hérode le Grand l'a fait assassiner[27] (vers 30 av. J.-C.).

Article Hyrcan II

Hyrcan, toujours en exil à Babylone, est libéré grâce à l’intervention d’Hérode (). Le roi de Judée craint en effet qu’Hyrcan ne s’attire les faveurs de la riche communauté juive de Babylonie et que cela ne constitue un danger pour son pouvoir. Il l’invite donc à rentrer à Jérusalem. Selon Moïse de Khorène et Thomas Arçrouni, Ma'nu Saphul qui espérait tirer une rançon de la libération d'Hyrcan, se retourne alors contre le juif Enanus qui l'a laissé partir. Enanus est un général qui a le titre prestigieux de « pose-couronne », car il posait la couronne sur la tête des rois. Il sera tourmenté par Ma'nu Saphul, mais celui-ci lui laissera finalement la vie sauve grâce à l'intervention d'un de ses ancêtres, Dchadchour prince de la maison des Ardzrouni, précise Thomas Arçrouni.

Hyrcan après son arrestation[modifier | modifier le code]

Guerre des Juifs

« Barzapharnès, lorsqu'il envahit la Syrie, avait emmené Hyrcan prisonnier ; mais les Juifs qui habitaient au delà de l'Euphrate obtinrent, à force de larmes, sa mise en liberté. S'il avait suivi leur conseil de ne pas rentrer auprès d'Hérode, il aurait évité sa fin tragique ; le mariage de sa petite-fille fut l'appât mortel qui le perdit. Il vint, confiant dans cette alliance et poussé par un ardent désir de revoir sa patrie. Hérode fut exaspéré, non pas que le vieillard aspirât à la royauté, mais parce qu'elle lui revenait de droit.[28]. »

Antiquités judaïques

[11] 1. Le grand-prêtre Hyrcan, qui était prisonnier chez les Parthes, à la nouvelle qu'Hérode s'était emparé de la royauté, vint le rejoindre: il avait recouvré la liberté de la manière suivante. [12] Barzapharnès et Pacoros, généraux des Parthes, après s'être emparés d'Hyrcan, d'abord grand-prêtre, puis roi, et de Phasaël, frère d'Hérode, les emmenèrent chez les Parthes. [13] Phasaël, ne pouvant supporter la honte de la captivité et préférant à la vie une mort glorieuse, se tua lui-même, comme je l'ai dit plus haut[6].

[14] 2. Quant à Hyrcan, Phraate, roi des Parthes, auprès duquel il fut conduit, le traita avec douceur, car il avait appris à quelle noble race appartenait son captif. Il le délivra de ses chaînes et lui permit de se fixer à Babylone, où se trouvaient beaucoup de Juifs. [15] Ceux-ci, ainsi que tous les Juifs habitant le pays jusqu'à l'Euphrate, témoignèrent à Hyrcan les égards qui lui étaient dus comme grand-prêtre et roi, à sa grande satisfaction. [16] Lorsqu'il apprit qu'Hérode s'était emparé de la royauté, il reporta sur lui ses espérances, car il lui avait toujours témoigné de l'affection et il pensait qu'Hérode se rappellerait avec reconnaissance que, traduit en jugement et sur le point d'être condamné à mort, c'est à lui, Hyrcan, qu'il avait dû d'échapper au danger et au châtiment. Il en parla donc aux Juifs et témoigna un vif désir de se rendre auprès d'Hérode.[17] Les Juifs le retenaient et le suppliaient de rester, faisant valoir le dévouement et la considération qu'il trouvait parmi eux, lui remontrant qu'ils lui prodiguaient tous les honneurs dus aux grands prêtres et aux rois, et, sérieux argument, qu’il ne pourrait plus en obtenir de pareils à Jérusalem, par suite de la mutilation qu'Antigone lui avait fait subir ; qu'enfin les rois ne rendent pas les services reçus par eux, simples particuliers, car le changement de fortune n’apporte pas en eux un changement médiocre.

[18] 3. Malgré ces représentations faites dans son intérêt même, Hyrcan souhaita partir. Hérode lui écrivit de prier Phraate et les Juifs de Babylone de ne pas lui envier le plaisir de partager la royauté[7] ; le moment était venu pour lui, Hérode, de s'acquitter envers Hyrcan, qui l'avait toujours bien traité, l'avait élevé, lui avait même sauvé la vie, et pour Hyrcan de recevoir le prix de ces services. [19] En même temps qu'il écrivait à Hyrcan, Hérode envoya Saramallas en ambassade auprès de Phraate, avec de nombreux présents pour le prier de ne pas mettre obstacle à ce qu'il témoignât sa reconnaissance à son bienfaiteur en lui rendant à son tour les services qu'il en avait reçus. [20] Ce n'était cependant pas là son véritable motif ; mais comme il ne devait pas le trône à son rang, il craignait des changements trop vraisemblables, et avait hâte de voir Hyrcan en son pouvoir, en attendant de se débarrasser complètement de lui, ce qu'il fit plus tard[8].

[21] 4. Hyrcan céda donc à ses sollicitations ; mis en liberté par le Parthe et pourvu d'argent par les Juifs, il arriva à Jérusalem. Hérode le reçut avec les plus grands égards, lui donna dans toutes les assemblées la première place, et, dans les festins, le lit d'honneur, l'appelant son père, sut enfin le tromper et lui enlever tout soupçon de ses projets contre lui. [22] Mais en même temps, il prenait dans l'intérêt de son pouvoir différentes mesures qui amenèrent le trouble dans sa propre maison ; entre autres, pour éviter que le grand-prêtre ne fût choisi parmi les hommes de marque, il fit venir de Babylone un prêtre obscur, nommé Ananel, auquel il donna le sacerdoce suprême.

Moïse de Khorène

Ensuite Hyrcan, chargé de chaînes, est conduit avec les captifs devant Tigrane (Orodès portait-il Tigrane comme deuxième nom?).[133] Tigrane Orodès ordonne à Parzaphrane de transporter les captifs juifs de Marissa dans la ville de Sémiramis (près du lac de Van); et Tigrane Orodès, trois ans après ces événements, meurt après avoir régné trente ans[29].

§ XXIV

Vers le même temps, Arscham entra en fureur contre Enanus, [général de la cavalerie], et qui posait la couronne sur la tête des rois, parce qu’il avait délivré Hyrcan, grand-prêtre des Juifs, fut autrefois prisonnier par Parzaphrane Reschdoum, au temps de Tigrane.[144] Enanus s’excuse auprès du roi en disant qu’Hyrcan a promis cent talents pour prix de sa délivrance, qu’il espère les recevoir et s’engage à les donner au roi. Alors Arscham fixe un terme à Enanus, qui envoie en Judée un de ses frères appelé Sénékhias, pour réclamer à Hyrcan le prix de la rançon. Cependant, à l’arrivée du messager d’Enanus, Hérode avait fait mourir Hyrcan pour se délivrer de toute espèce d’inquiétude durant son règne.[145] Le terme échu, Enanus ne put fournir le prix de la rançon d’Hyrcan, et Arscham, fort irrité, le dépouille de ses dignités et le fait jeter en prison.

Conclusions[modifier | modifier le code]

Selon Josèphe, Phraate laisse Hyrcan s'installer à Babylone, alors que selon Moïse de Khorène il est emmené avec les autres Juifs prisonnier près du lac de Van. Dans ces conditions, il est logique que Ma'nu Saphul qui régnait en Oshroène (capitale Nisibe) estime être dépossédé. De plus le prisonnier est celui de Barzapharnès qui est un Reschdoumi. Josèphe utilise vraisemblablement l'imprecision à Babylone pour dire en Babylonie et en effet pour les Juifs de Palestine le territoire du lac de Van est situé en Babylonie.

Flavius Josèphe[modifier | modifier le code]

Antiquités judaiques XIV

3. Deux ans après[247], Pacoros, fils du roi, et Barzapharnès, satrape des Parthes, occupèrent la Syrie. Ptolémée, fils de Mennaios, mourut, et son fils Lysanias, qui hérita de son pouvoir, fit amitié avec Antigone, fils d'Aristobule, grâce aux bons offices du satrape qui avait sur lui beaucoup d'influence.

Guerre des Juifs I, XIII, 1

1[128]. [248] Deux ans après[129], Barzapharnès, satrape des Parthes, occupa la Syrie avec Pacoros, fils du roi Lysanias, qui avait hérité du royaume de son père Ptolémée, fils de Mennaios (Πτολεμαῖος δ' ἦν οὗτος ὁ Μενναίου), persuada le satrape, en lui promettant mille talents et cinq cents femmes, de ramener sur le trône Antigone et de déposer Hyrcan. (BJ, I, XIII, 1)

Guerre des Juifs I, XXII, 1

On a vu que Barzapharnès, lorsqu'il envahit la Syrie, avait emmené Hyrcan prisonnier ; mais les Juifs qui habitaient au delà de l'Euphrate obtinrent, à force de larmes, sa mise en liberté. S'il avait suivi leur conseil de ne pas rentrer auprès d'Hérode, il aurait évité sa fin tragique ; le mariage de sa petite-fille fut l'appât mortel qui le perdit. Il vint, confiant dans cette alliance et poussé par un ardent désir de revoir sa patrie. Hérode fut exaspéré, non pas que le vieillard aspirât à la royauté, mais parce qu'elle lui revenait de droit.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Selon Moïse de Khorène, Barzapharnès est « chef de la satrapie des Reschdouni (Rechtouni) »; Histoire d'Arménie, livre II, § XIX.
  2. a b c et d Christian-Georges Schwentzel, Hérode le Grand, Pygmalion, Paris, 2011 (ISBN 9782756404721), p. 40.
  3. a b c et d Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 50.
  4. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XIV, XII, 3].
  5. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs I, XIII, 1
  6. Histoire de l'Arménie, II, 19 (127-128).
  7. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs I, XIII, 1
  8. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XIV, XII, 3].
  9. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 51.
  10. a b c d e f g h et i Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 52.
  11. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs I, XIII, 3
  12. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XIV, XII, 3].
  13. a b c d e et f Christian-Georges Schwentzel, Hérode le Grand, Pygmalion, Paris, 2011, p. 41.
  14. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 52-53.
  15. a et b Christian-Georges Schwentzel, Hérode le Grand, Pygmalion, Paris, 2011, p. 42.
  16. a et b Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 54.
  17. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 54-55.
  18. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 55.
  19. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Per
  20. Plutarque, Vie d’Antoine, 33.
  21. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 57.
  22. Clément Huart & Louis Delaporte, L'Iran Antique, Albin Michel, coll. « L'Évolution de l'Humanité », Paris, 1943 p. 325.
  23. Velleius Paterculus, Histoire romaine, II, 78.
  24. Florus, Abrégé de l’Histoire romaine, IV, 9.
  25. Stéphane Moronval, Rome et les Parthes, Champ de bataille (Thématique), no 11, 2009, p. 62-63.
  26. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs I, XXII, 1 : « On a vu que Barzapharnès, lorsqu'il envahit la Syrie, avait emmené Hyrcan prisonnier ; mais les Juifs qui habitaient au delà de l'Euphrate obtinrent, à force de larmes, sa mise en liberté. S'il avait suivi leur conseil de ne pas rentrer auprès d'Hérode, il aurait évité sa fin tragique ; le mariage de sa petite-fille fut l'appât mortel qui le perdit. Il vint, confiant dans cette alliance et poussé par un ardent désir de revoir sa patrie. Hérode fut exaspéré, non pas que le vieillard aspirât à la royauté, mais parce qu'elle lui revenait de droit. »
  27. Moïse de Khorène, Histoire d'Arménie, livre II.
  28. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs I, XXII, 1 : « On a vu que Barzapharnès, lorsqu'il envahit la Syrie, avait emmené Hyrcan prisonnier ; mais les Juifs qui habitaient au delà de l'Euphrate obtinrent, à force de larmes, sa mise en liberté. S'il avait suivi leur conseil de ne pas rentrer auprès d'Hérode, il aurait évité sa fin tragique ; le mariage de sa petite-fille fut l'appât mortel qui le perdit. Il vint, confiant dans cette alliance et poussé par un ardent désir de revoir sa patrie. Hérode fut exaspéré, non pas que le vieillard aspirât à la royauté, mais parce qu'elle lui revenait de droit. »
  29. Moïse de Khorène, Histoire de l'Arménie.