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Article sur lequel nous travaillons: FERROFLUIDES


VERSION INITIALE DE L'ARTICLE[modifier | modifier le code]

Ferrofluide soumis à un champ magnétique. L'instabilité du champ provoque l'apparition de pointes qui l'emportent sur la force de gravité et la tension superficielle du fluide.
Vue depuis le dessus d'un dispositif similaire

Les ferrofluides sont des suspensions colloïdales de nanoparticules ferromagnétiques, ferrimagnétiques ou superparamagnétiques d'une taille de l'ordre de 10 nanomètres dans un liquide, en général un solvant ou de l'eau. Ces liquides réagissent à un champ magnétique extérieur et se hérissent de pointes dont la topologie varie selon les paramètres du champ. L'aspect rigide des pointes est en fait une illusion puisqu'elles se déforment si on les touche : la force exercée par le doigt l'emporte sur la cohésion du fluide.

Les ferrofluides sont le plus souvent composés de nanoparticules de magnétite ou de maghémite, qui sont tous deux des oxydes de fer.

Les particules sont recouvertes d'une fine pellicule qui prévient leur agglomération (engendrée par les forces magnétiques et la force de van der Waals). Contrairement à ce que leur nom suggère, les ferrofluides ne présentent pas de ferromagnétisme puisqu'ils ne conservent pas leur aimantation en l'absence d'une force externe.

À ce jour, même si cela ne va pas à l'encontre des modèles théoriques, aucun fluide réellement ferromagnétique n'a été observé.

Articles connexes[modifier | modifier le code]


wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Ferrofluide.


Catégorie:Physique de la matière condensée Catégorie:Magnétisme

NOUVELLE VERSION PROPOSEE DE L'ARTICLE[modifier | modifier le code]

Ferrofluide soumis à un champ magnétique. L'instabilité du champ provoque l'apparition de pointes qui l'emportent sur la force de gravité et la tension superficielle du fluide.
Vue depuis le dessus d'un dispositif similaire

Les ferrofluides sont des suspensions colloïdales de nanoparticules ferromagnétiques, ferrimagnétiques ou superparamagnétiques d'une taille de l'ordre de 10 nanomètres dans un liquide, en général un solvant ou de l'eau. Ces liquides réagissent à un champ magnétique extérieur et se hérissent de pointes dont la topologie varie selon les paramètres du champ. L'aspect rigide des pointes est en fait une illusion puisqu'elles se déforment si on les touche : la force exercée par le doigt l'emporte sur la cohésion du fluide.

Les ferrofluides sont le plus souvent composés de nanoparticules de magnétite ou de maghémite, qui sont tous deux des oxydes de fer.

Les particules sont recouvertes d'une fine pellicule qui prévient leur agglomération (engendrée par les forces magnétiques et la force de van der Waals). Contrairement à ce que leur nom suggère, les ferrofluides ne présentent pas de ferromagnétisme puisqu'ils ne conservent pas leur aimantation en l'absence d'une force externe.

À ce jour, même si cela ne va pas à l'encontre des modèles théoriques, aucun fluide réellement ferromagnétique n'a été observé.

Articles connexes[modifier | modifier le code]


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AUTRES MODIFICATIONS PROPOSEES DANS DES ARTICLES CONNEXES[modifier | modifier le code]