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René Dardel
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Portait de René Dardel par Louis Bardey.
Présentation
Nom de naissance René Dardel
Naissance
Lyon
Décès (à 74 ans)
Condrieu
Nationalité Drapeau de la France France
Formation École des beaux-arts de Lyon
École des beaux-arts de Paris

René Dardel, né le à Lyon et mort le (à 74 ans) à Condrieu, est un architecte français. Il devient architecte de la ville de Lyon de 1830 à 1851 et architecte en chef de l'agglomération lyonnaise jusqu'en 1854. Il est aussi élu deux fois conseiller général du Rhône[1].


Biographie[modifier | modifier le code]

Signature de Dardel.

Jeunesse[modifier | modifier le code]

René Dardel est né dans une famille cultivée et vouée aux travaux publics. Sa mère, Claudine Hausser était fille d’un architecte et venait d’une famille nombreuse. L’un de ses frères était capitaine et est mort à Marengo, tandis qu’un autre, chef de bataillon, a été tué en Egypte. L'une de ses soeurs était la mère de Prost, architecte de la ville de Lyon. Le père, Jean-Joseph Dardel était l'un des plus grands entrepreneurs de travaux publics de la ville. Par exemple, il a construit le Pont Morand, le Pont de l’Archevêché,diverses maisons lyonnaises et notamment celle où est né René Dardel[2].

En 1809, son père mourut prématurément. René était alors âgé de 13 ans ; avec ses frères et soeurs, il fut confié à la tutelle de l’architecte de la ville, Claude Marion, sous la direction duquel Jean-Joseph Dardel avait construit le Théâtre des Célestins qui avait été incendié. En 1822, le frère de René Dardel, le second fils de leur mère, Petrus, meurt. René resta auprès d’elle durant deux années à Lyon.

En janvier 1829, à Condrieu, il se maria avec une jeune femme, née et élevée dans la maison Dardel, mademoiselle Eliza Chaize.

Études[modifier | modifier le code]

En 1805 il entre au Lycée Impérial (« Ampère ») jusqu’en 1813, où il entre en qualité de surnuméraire dans les bureaux de Flachéron. Ensuite il suit les cours de l’école des Beaux-Arts de Lyon dans l’atelier de Gay. En 1815 il travaille dans l’atelier de l’architecte Huyot à Paris puis en 1817 il devient élève aux Beaux-Arts de Paris dans la section architecture.

Années au service de la France[modifier | modifier le code]

Le début de sa carrière militaire se fait en 1815, il s’engage en tant qu’officier d’Ordonnance dans l’état-major du général Mouton-Duvernet afin de défendre Grenoble contre les Autrichiens et les Piémontais.

En 1830, les industrieux bourgeois lyonnais souffrent de la domination des aristocrates fonciers que la Restauration a rétabli en force à la Chambre. René Dardel participe au mouvement, il est l’un des premiers à prendre les armes et à se réunir au sein de la Garde Nationale. La même année, il est élu par les officiers de la Garde membre de la commission provisoire qui doit remplacer l’autorité expirante. Il signe le premier l’ordre de distribution des fusils de l’arsenal à la Garde Nationale.

Le 21 novembre 1831, éclate une terrible émeute. Le 31 novembre, c’est l’émeute de la Croix-Rousse. C’est alors que René Dardel, avec la majorité de la Garde Nationale, prend parti pour la défense de l’ordre, il est placé à l’Hotel-De-Ville avec la compagnie de grenadiers Ainayd’Ainay, dont il est le capitaine, il s’enfuit finalement à Condrieu. L’armée de Soult marche sur Lyon, Dardel aide les troupes de ligne à pénétrer dans la ville. En 1834, c’est la grande révolte des canuts.

Il est alors chargé de placer les troupes dans le palais Saint-Pierre, l’Hôtel de Ville et le grand théâtre. A nouveau battu, il s’enfuit par le pont Morand.

Architecte en chef de la ville (1831-1853)[modifier | modifier le code]

Il a exercer ce service à plusieurs reprises, sous les différents de ses chefs, et a joui d’une sorte d’indépendance. Mais il fut complètement mis à part de tous les bâtiments et édifices appartenant à la commune, et la division de ces derniers forma un service particulier, sous le nom d’Architecture de la Ville.

La démission de Dardel a clos une phase dans l'un des services les plus importants de la municipalité, et avec sa nomination aux fonctions d’architecte en chef, une nouvelle ère a commencé.

Travaux dans la Voirie[modifier | modifier le code]

En tant que supérieur hiérarchique des voyers, Dardel eut à connaitre des projets d’alignement dressés par Jaillet et Cassini sous la Monarchie de Juillet, les premiers plans d’urbanisme lyonnais à avoir été homologués par l’autorité supérieure. C’est lui qui présenta à Vaise, ce plan général d’alignement de décembre 1853 qui fut abandonné, comme ses projets pour la rue Impériale du 28 février 1854, en raison de l’arrivée deBonnet, ingénieur des Ponts et Chaussées, à la direction de la Voierie lyonnaise.

De manière sommaire, on peut signaler la série d’améliorations qui se sont réalisés dans la voirie de la ville de Lyon pendant que Dardel avait la main haute sur ce service. On ne compte plus les travaux sur la voie publique : trottoirs en bitume, installation de l’éclairage au gaz…

Fin de carrière[modifier | modifier le code]

Les rumeurs disent qu'il portait vaillamment ses soixante-quinze ans sans avoir perdu aucune de ses facultés physiques et intellectuelles, lorsqu’une douloureuse maladie l’enleva à l’art, à sa famille et à ses amis dans sa campagne de Condrieu, le 25 septembre 1871, à sept heures et quart du matin.

Réalisations[modifier | modifier le code]

Liste de ses œuvres[modifier | modifier le code]

Opérations urbaines à Lyon :

  • 1825 : rue du Doyenné et Passage de l'Argue modifiés en 1860
  • 1825-1841 : Création de voies en direction de la Croix-Rousse
  • 1825 : rue de l'Annonciade
  • 1830 : rue Burdeau et rue Flesselles
  • 1841 : Place Morel
  • 1826-1837 : Construction de la digue au sud du pont de la Guillotière et du port (rive-gauche), premiers projets de lotissement d'André Combalot au sud du cours des Brosses
  • 1827-1833 : opération de la rue de la Préfecture
  • 1827-1832 : 1ère ligne de chemin de fer Lyon -St Étienne et 1er débarcadère
  • 1828 : Destruction du couvent des Carmes
  • 1829 : Pont de la Mulatière (reconstruit en 1843)
  • 1830 : passerelle du Palais de justice (reconstruite en 1842)
  • 1831 : Passerelle Saint-Vincent, Pont Mazarick remanié en 1890, Début de la construction d'une nouvelle ceinture de fortifications
  • 1832 : Gare d'eau de Perrache, Marché couvert de la Martinière
  • 1832-1833 : Première distribution des Eaux du Rhône par Gardon et Dubois, à l’aide d’une pompe hydraulique placée sur le Rhône, le long du quai Saint Clair, en face de la rue Dauphine, et d’une machine à vapeur (1834) sur les bords du fleuve, vers les barrières de Saint Clair. Ce dernier établissement devait fournir le réservoir des Collinettes
  • 1834-1835 : Bassin du jardin des Plantes
  • 1834 : reconstruction des Pavillons du Pont Lafayette
  • 1836 : démolition en rive gauche et au nord des maisons du pont du Change
  • 1838-1839 : démolition du marché aux poissons
  • 1838-1841 : Pont de la Guillotière (détruit en 1952)
  • 1838 : abattoirs de Perrache
  • 1839 : Création d'une commission pour la révision des anciens plans de la ville, prolongement Rue du Commerce jusqu’à la rue Casati, nivellement et pavages du clos de la colline Saint-Sébastien, ouverture de la rue de Flesselles, enquêtes publiques et plans d'alignement pour le centre-ville
  • 1840 : rectification des alignements du quartier de la Boucherie des Terreaux
  • 1842 : rectification des alignements de la rue des Bouchers et du quartier Saint Nizier
  • 1840 : démolition de la Maisons Gayet qui obstruait le débouché de la rue Trois-Carreaux, vers Saint-Nizier
  • 1840-1845 : création de la gare d'eau à Vaise
  • 1841 : achèvement de l’Hippodrome
  • 1841-1843 : Démolition de la boucherie des Terreaux, par délibération du Conseil municipal du 14/02/1839
  • dès 1842 : Établissement des Trottoirs en bitume, Éclairage public au Gaz, percement de la rue Bourbon
  • 1842-1843 : Perrons dans les quartiers nord de la ville dans la rue du Commerce
  • 1843 : Percement de la rue du Doyenné, destruction du pont du Change
  • 1844 : Passerelle du petit collège, Pont Mouton
  • 1844-1845 : Débarcadères du chemin de fer de Paris à Marseille. Il s’occupa d’une question très importante, titillant largement les esprits de 1844 à 1845, du fait des intérêts multiples qui se trouvaient en jeu. Ouverture de la rue du commerce sur le jardin des plantes. Prolongement de la rue Imbert-Colomés. Rectification de la rue Bouquetiers
  • 1845 : démolition des maisons quai Fulchiron, transfert de la Halle aux Grains à Sainte-Marie-des-chaines. Extension de l'éclairage au gaz. Plan d’embellissement de la Guillotière. 1ère gare de Perrache (chaussée Perrache)
  • 1846 : transfert de la Halle aux Grains à Sainte Marie-des-chaînes, extension de l’éclairage au gaz
  • 1845-1846 : Démolition des maisons formant le côté sud de l’entrée du pont du Change
  • 1847 : percement de la rue centrale depuis la place des Jacobins jusqu’à la rue Grenette, tracé de la rue allant de la place des Cordeliers et la rue Neuve de Cassini
  • 1847-1848 : Démolition des maisons formant le pâté Paillaisson
  • 1847-1855 : Caserne de la Part-Dieu
  • 1848 :modification du plan de 1843 entre place des Cordeliers, rue Gentil, place de la Comédie. Approuvé par le ministère de l'intérieur et par décret du Président Rectification du Plan général d’alignement de la ville, élaborés sous les mairies Martin et Terme Pont du Midi (Rhône). Démolition de la maison formant un angle au nord avec la place d'Albon, rue des Bouquetiers Mise en adjudication de l’enlèvement de la statue équestre de la Place Bellecour.
  • 1849 : nouvelle plantation de la promenade dite des Tilleuls à la place Bellecour, grotte de la statue Kléberger
  • 1851-1852 : Débarcadère provisoire, dit du Port Lépine, sur le quai Pierre Scize, ouverture du cours des Chartreux
  • 1851-1853 : Passerelle Saint-Georges
  • 1852 : décret du 24 mars sur le rattachement des communes limitrophes

Liste de ses dessins[modifier | modifier le code]

Dessins originaux de René Dardel, exécutés ailleurs qu’en Italie, en Algérie et en Espagne

Lyon[modifier | modifier le code]

  • Aquarelle, vue de la façade de la cathédrale
  • Au crayon, vue du couvent des Carmes déchaussés, 1823
  • Dessin à la plume, vue de la colline de Fourvière
  • Dessin au trait, ancienne église Sainte-Blandine
  • Sépia, la place des Minimes, 1859

Marseille[modifier | modifier le code]

  • Au crayon, Château d’eau de la place royale, 1826

Le Puy[modifier | modifier le code]

  • Vue d’ensemble du Cloître, de la cathédrale un dessin au crayon et deux encres de Chine

Vienne[modifier | modifier le code]

  • Dessin à la plume, vue d’ensemble de Chavanay, 1869
  • Dessin au crayon, Château de la Batie

Condrieu[modifier | modifier le code]

  • Dessin au crayon, route de La Roche éboulée, 1864
  • Dessin au crayon, quatre vues diverses de la maison des Vignes, 1864
  • Dessin au crayon, deux vues du Château de Rozay, 1854-1859

Béziers[modifier | modifier le code]

  • Sépia, vue de la façade de la Cathédrale de Saint-Nazaire, 1836

Narbonne[modifier | modifier le code]

  • Dessin à la plume, maison attribuée à Jean Goujon, 1836

Avignon[modifier | modifier le code]

  • Quatre dessins au crayon, tombeau du général de Charbannes, 1823
  • Dessin au crayon, vue générale du pont Saint Benezet

Siviers[modifier | modifier le code]

  • Huit dessins d’ensemble et des détails de maisons, 1864

Chenonceaux[modifier | modifier le code]

  • Dessin au crayon, vue du Château prise avec la tour de droite, 1837

Perpignan[modifier | modifier le code]

  • Deux dessins du Cloître d’Elne

Arles[modifier | modifier le code]

  • Sépia, le Cloître Saint-Trophime, 1843
  • Quatre dessins de l’Abbaye de Montmajour, 1864
  • Dessin au crayon, quatre vues de Baux

Saint Gilles[modifier | modifier le code]

  • Dessin au crayon de la façade de l’Église, 1836

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • En 1815, il reçut la médaille de Saint-Hélène dont il était un des plus jeunes titulaires.
  • En 1828, il fut admis à un concours pour la construction du Palais de justice de Lyon, le ministre l’avait nommé comme professeur d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Lyon
  • En 1830, il eut l’honneur à 34 ans d’être nommé par l’élection des officiers de la garde nationale membre de la commission provisoire qui devait remplacer l’autorité expirante.
  • Le 1er juin 1831, le maire choisit Dardel comme architecte de la ville
  • En 1847, il est nommé architecte du chemin de fer de Paris à Lyon, pour les gares de Vaise et de Perrache, par le ministre des travaux publics. Il est sous les ordres de Belin, ingénieur en chef.
  • En 1860, le 26 août, dans une inauguration solennelle, il reçut la croix d’officier de la légion d’honneur en même temps que des suffrages unanimes.

Postérité[modifier | modifier le code]

Oeuvres notables[modifier | modifier le code]

1832-33 : Première distribution des Eaux du Rhône[modifier | modifier le code]

L'histoire de la question des eaux du Rhône est une véritable Odyssée. Le premier projet de cahier des charges pour la fourniture d'eaux du Rhône ayant été présenté en 1836 au Conseil municipal et discuté en juillet 1838, a été approuvé lorsqu'est arrivé le rapport Mondot de la Gorse, en octobre 1838, pour les eaux de source ; deuxième décision du Conseil municipal du 11 décembre 1839 qui maintient la distribution des eaux du Rhône.

Mais survient le mémoire Dupasquier, en 1840, puis l'enquête ordonnée en faveur des eaux de source de Royes, par le préfet Jayr, le 28 décembre 1841, le projet de traité Bonand, le 21 juillet 1843, suivi du mémorable rapport Terme, de novembre 1843, sur lesquels se greffent les propositions Aristide Dumont, Rozet et Vergniais, Jules Renaux, Alphonse Perret-Lallier, etc. Le Conseil municipal s'assemble, discute ces projets en 1844 et finit par renvoyer le tout à sa Commission. Le rapporteur Prunelle reconclut pour les eaux du Rhône, et le Conseil s'empresse de l'approuver le 11 mai 1846. Mais ce n'est toujours pas fini ; la mairie fait dresser un projet grandiose de construction d’égouts et de distribution d'eau du Rhône et le porte au Conseil municipal du 3 juin 1847. Naturellement, on nomme encore une Commission, qui choisit Guimet pour son rapporteur. Celui-ci dépose son rapport en juillet 47 et enfin le 5 août, à l'unanimité, le Conseil approuve pour la quatrième fois la distribution d'eau du Rhône avec ses accessoires, lesquels entraînent un emprunt de sept millions. Toutefois, il n'y avait encore rien d'entrepris sérieusement,lorsque survint la mort de Terme et les événement de février 1848. Les hésitations sont telles que les maires et Conseillers municipaux qui s'étaient succédé, n'avait exactement fait que compliquer la question de manière à la rendre colossale, et peut être, périlleuse, si elle eut été exécutée par les moyens financiers et administratifs de la ville seule. On verra que ce ne fut qu'en 1852, seize ans après le commencement de l'étude sur la distribution, qu'un préfet-maire de Lyon, avec le concours de Dardel qui avait passivement assisté à tous ces débats, pu faire trancher la question d'une manière simple et définitive par une Commission municipale.

Bassin du jardin des Plantes-Ouverture de la rue dite de la Martinière – Halle de la Martinière[modifier | modifier le code]

L'école de la Martinière a prit possession des anciens bâtiments du couvent des Augustins en 1833. Les opérations s'engagent entre 1830 et 1850. Au cours de cette période, Laurent de Dignoscyo avait prévu une percée pour créer une liaison aisée entre le sud de le place Sarbonay et le quai Saint-Vincent, aboutissant au débouché du pont. Dardel avait poursuivi l'amélioration par le projet du marché couvert qui « sera établi sur la nouvelle place de la Martinière, anciennement le jardin des Augustins. Il sera composé de deux bâtiments construits en pierre, couverts en charpente et tuiles. Ils devront être ouverts de toute part et être disposés de manière à suivre l'alignement de la rue Martinière et laisser parfaitement libre, côté est, les masses que la ville se propose de vendre. Un emplacement sera pour les chevaux et le stationnement des voitures ». Son programme prenait en compte les alignements futurs et veillait à l'établissement des voies droites.

Critiques[modifier | modifier le code]

C'est un architecte qui a marqué la ville de Lyon. Ses confrères souligneront souvent sa probité et son culte des traditions professionnelles.

Membre du jury des Beaux-Arts durant toute sa carrière, président et fondateur de la société académique d’Architecture de Lyon en 1847, c’était un homme dont les avis étaient écoutés.

René Dardel appartiendra à une catégorie d’hommes bien rares, qui tenaient une place considérable pour leur caractère, lorsqu’ils n’étaient pas remarquables le plus souvent par leur talent.

L’existence de Dardel est la preuve de la justesse de ce raisonnement, il est arrivé à la célébrité sans coterie, sans secousses fâcheuses, sans trop d’envieux. Cette célébrité lui sera conservée dans l’avenir. C’était un littérateur instruit, il connaissait bien ses auteurs classiques, dont il citait souvent. Sa correspondance énorme comme celle de tous les hommes d’administration, peut passer pour un modèle de concision de clarté et de justesse.

Sa haute stature, sa démarche rapide, son habilité à tous les exercices du corps imposaient le respect. Sa tête, au profil sarcastique et ses yeux gris clair dont les regards perçaient à fond, indiquaient avant que lae bouche eut parlé, l’homme avec lequel il faut compter sur n’importe quel terrain. « Que des fois, nous l’avons trouvé calme, pleins de bonté, de condescende, en face des difficultés et des taquineries mesquines qui se rencontrent à chaque pas dans la carrière administrative. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Léon Charvet, Lyon artistique. Architectes : notices biographiques et bibliographiques avec une table des édifices et la liste chronologique des noms, Lyon, Bernoux et Cumin, , 436 p. (lire en ligne), p. 101 à 107.
  2. mguigiutiutu

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]