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Brouillon et essais modèles pour mes articles sur les menhirs suisse


Correction du Dolmen de Plant de Rives[modifier | modifier le code]

Menhir de BLA
Image illustrative de l’article Beleonore/Brouillon2
Vue générale de l'édifice
Présentation
Nom local Menhir bla
bla bla
Type Menhir
Période Âge de pierre / Âge du bronze
Caractéristiques
Matériaux Granit
Géographie
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Canton Neuchâtel

Tumulus du Bronze moyen

Alignement de menhirs



Le Menhir de Saint-Aubin-Sauges Publié[modifier | modifier le code]

Menhir de Saint-Aubin-Sauges

Intro: (Menhir du Pré de Devens[1])

Situation: Le menhir est à proximité de deux autres menhirs, le Menhir Tronque De La Forêt Du Devens[2] et Le Grand Menhir De La Forêt du Devens[3]. Les trois menhirs se trouvent sur le lieu-dit Le Devens, qui chevauche les anciennes communes de Saint-Aubin et de Gorgier. Ils forment un triangle avec quelques centaines de mètres de distance entre les points[1].

Description: "Constitué d'un bloc de granit" dont trois des quatre faces ont étés taillées, "la pierre mesure 1,65 m de hauteur pour 0,85 m de largeur et comporte deux entailles sur sa face occidentale", une profonde au sommet du bloc et une autre à la base[source 51].

En 1845, lorsque des paysans ont voulu enterrer le menhir (qui gênait pendant l'exploitation du champ), des ossements humains ainsi des gros morceaux de céramique ou des fragments de tuiles ont été retrouvés lors du creusement de la fosse. L'année suivante, le menhir est redressé à son emplacement d'origine "par Frédéric Dubois de Montperreux après des sondages" sur ordre du gouvernement de la Principauté de Neuchâtel1.[source 51]

Selon des récits de villageois interrogés à cette occasion, il semblerait qu'un squelette entier fût trouvé dans une fosse creusée à côté du menhir lors de son déplacement initial. [Vouga 158]

Lit. Bachelin Auguste (1868) Un menhir du bois du Devens, musée neuchâtelois, pp. 108-109

Vouga Albert (1881) Menhirs et pierres à écuelles de la côte occidentale du lac de Neuchâtel, Indicateur d'Antiquités Suisses, 3, pp. 157-160 et pl. XI


NOUVEAU Le Menhir Tronqué De La Forêt du Devens IMAGES Publié[modifier | modifier le code]

(Page inexistante -> Menhir de Gorgier)

Intro: Le menhir tronqué de la Forêt du Devens est un menhir partiellement conservé à proximité du menhir de Gorgier [source 53]

Situation: Il se trouve à 300m sud-oueste du Menhir de Gorgier et à 200m à l'est du Menhir du Pré de Devens[source 53].

Description: Le menhir tronqué de la forêt du Devens fut décrit par Albert Vouga en 1881 en tant qu'un bloc en granite avec une forme pyramidale régulière d'environ 3 mètres de hauteur et qui se trouvait en équilibre sur une base rectangulaire de 2 mètres sur 1 mètre. Le menhir étant trop couvert par de la végétation, il n'en existe pas de dessin ou de mesures exactes dans sa taille originale[Vouga 158-159; source 53]. Pendant la deuxième moitié du 19e siècle, la partie supérieure a été débité, probablement par des granitiers transalpins qui étaient venu s'installer dans la région. La base est encore visible sur 1 mètre de hauteur et porte des traces de ce débitage. Ce genre de débitage permettait aux granitiers de démontrer leur habileté et d'exploiter le granite dure pour la fabrication de fontaines, bassins, pressoirs ou de bornes routières [source 53].

Bachelin: le plus élevé des trois, pyramide à quatre faces, l'une d'elles parfaitement unie = travail de l'homme

Lit. Vauthier Bernard (1985) Terre entre Lac et Jura, la Béroche, Saint-Aubin, p. 27-33 -> granitiers; 15-26: tombeaux et mégalithes

Vouga

Le Grand Menhir de la forêt du Devens IMAGES Publié[modifier | modifier le code]

Menhir de Gorgier

Intro

Situation: Le menhir est à proximité de deux autres menhirs, le Menhir Tronque De La Forêt Du Devens[2] et Le Menhir du Pré de Devens. Les trois menhirs se trouvent sur le lieu-dit Le Devens, qui chevauche les anciennes communes de Saint-Aubin et de Gorgier. Ils forment un triangle avec quelques centaines de mètres de distance entre les points[1].

Description:

Constitué d'un bloc de granit, la pierre mesure environ 3 m de hauteur pour 1,4 m de largeur1,2. Sa forme est régulière et effilée.[3]

La fosse creusée autour du menhir est le résultat des fouilles entreprises dans les années 1860 par le Dr Gustave Clément, amateur d'antiquité[source 55]. A une profondeur de 30 centimètres environ, une large dalle de granit rouge ainsi que des fragments de céramique et des charbons de bois furent découverts lors de ces fouilles1.

La large dalle de granite rougi mis à jour à une trentaine de centimètres de profondeur était recouverte de charbon de bois en grande quantité, ce qui indique vraisemblablement l'existence d'un foyer au pied du menhir [source 55]. Les fragments de céramiques trouvés lors de ces fouilles datent de la préhistoire [source 55].

Bachelin Auguste (1865), le menhir de la forêt du Grand-Devin, musée neuchâtelois, pp. 50-51. -> mentionne les deux autres aussi, dessin

Vouga

NOUVEAU Le Dolmen démantelé de rote ou trou des âmes IMAGES Publié[modifier | modifier le code]

Fresens -> MonumentS

Le Dolmen démantelé de la Rota[modifier | modifier le code]

Le Dolmen démantelé de la Rota, aussi appelé le Trou Des Âmes, se trouve au nord du village, à la hauteur de virage des Coufavres[4] au bord de la route [archéoplus]. Il s'agit des restes d'un monument funéraire datant du Néolithique final[4][5][6].

Les dalles quadrangulaires ont étés une première fois recensées en 1940 par un bataillon de l'armée Suisse, qui relevait les monuments mégalithiques de la Béroche suivant l'ordre du Général Guisant, qui, en 1939, avait recommandé à l'armée de protéger les antiquités découvertes dans le territoire Suisse. Cinq dalles en pierres sont encore visible aujourd'hui: Quatre d'entre elles font partie d'une clôture et à quelques mètres d'elles se trouve la cinquième dalle qui mesure environ 1,3 m sur 1,3 m et est perforée d'un trou ovale de 40 cm sur 26 cm. Ce trou devait se trouver au centre d'un bloc, ce qui suggère que la dalle perforée ne représente que la moitié de la dalle d'origine.[4]

Ce genre de dalle perforée se retrouve dans le groupe de dolmens de type Schwörstadt, qui consistent de dolmens simples avec une dalle frontale percée (ou dalle-hublot) qui datent de la fin du IVe millénaire av. J.-C. jusqu'au IIIe millénaire av. J.-C.[4] Une petite sépulture collective a dû se trouver à l'intérieur du dolmen démantelé de la Rota, mais dont on ne connait pas l'emplacement aujourd'hui.[4]

Liens externes

https://www.lieux-insolites.fr/allemagne/schworstadt/schworstadt.htm


Lit. Gersbach Egon, zur Herkunft und Zeistellungen der einfachen Dolmen vom Typus Aesch-Schwörstadt, annuaire de la société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 53, pp. 15-28

Vauthier p. 41

Keller-Tarnuzzer Karl, Fresens (distr. Boudry, Neuchâtel), Annuaire de la Société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 33, 1942, pp.114-115.

Le Menhir de Vauroux IMAGES[modifier | modifier le code]

Menhir de Vauroux

Le menhir de Vauroux est un mégalithe datant du Néolithique de l'Âge de pierre ou de l'Âge du bronze situé sur le territoire de Cortaillod, dans le canton de Neuchâtel, en Suisse.

Situation: Le menhir se dresse dans un pré entre Cortaillod et Bevaix sur une petite colline, à une centaine de mètres du lac de Neuchâtel. Une ferme du même nom se trouve derrière le menhir.[7]

Description: Le monolithe a une hauteur de 2 m1,2 ; Haut de 3 m hors du sol, le menhir de Vauroux est un des plus grand des menhirs des rives du lac de Neuchâtel. La partie enfuie mesure 0,8 m. Sa forme est très régulière et légèrement ogivale.[7]. Le manque de vestiges autour de ce genre de mégalithes isolés rend leurs datations difficile, mais il a probablement été dressé pendant le Ve millénaire av. J.-C. (Néolithique moyen), lors de la première phase de construction mégalithique en Suisse, ou pendant le IIIe millénaire av. J.-C. (Néolithique final), lors d'une deuxième phase de construction.[8]

Les paysans de la région considéraient ce genre de mégalithes dans les champs ou les vignes comme des obstacle, ce qui a mené à un essai de déchaussement afin de l'enterrer dans les années 1860, mais le menhir était trop grand et trop lourd. Il resta cependant incliné jusqu'à ce que le propriétaire des lieux le fit redresser en 1934.[6]

Signification[modifier | modifier le code]

Les menhirs sont un phénomène du Ve millénaire av. J.-C. sur le territoire suisse qui coïncide avec l'arrivé de l'agriculture. On retrouve des menhirs principalement dans l'ouest du pays, notamment sur la rive nord du lac de Neuchâtel, la haute vallée du Rhône et dans le bassin lémanique.[8][9] Leur créateurs les taillent dans des blocs erratiques d'origine alpine, choisi pour leur résistance à l'érosion afin qu'ils durent, et on leur donne une forme géométrique ou anthropomorphique, choix néanmoins plus rare.[9] Certains sites, comme Treytel-A Sugiez ou Saint-Aubin Derrière La Croix, recèlent une multitude de menhirs, arrangés en alignements, et s'interprètent en tant que des lieux avec un caractère social et rituel. La signification des menhirs individuels éparpillés entre le bord du lac et les dernières moraines sur le flanc du jura à 650 m, implanté sur des terrasses, seuls monuments pérennes dans le paysage au Ve millénaire av. J.-C., est cependant plus difficile à saisir.[9][10] Des interprétations possible sont des balises de chemins, de croisements, de source d'eau ou de matières premières. A raison de leur pérennité dans le paysage, un lien avec l'orientation et la structuration des terres est possible.[9][10] Autrement, on peut aussi y voir une signification symbolique en tant que balises pour lieux sacrés ou rituels ou en commémoration de personnes ou représentations dieux.[9]


Incinération à 30cm au sud de la base (cendre + dalle dressée)

à la fin du xixe siècle, il était fortement incliné sur sa base et fut redressé par Adolphe Borei, un habitant de Bevaix3.


Vouga sans pl

Vauthier p. 16

P. (?) Vouga, Bevaix (distr. de Boudry, Neuchâtel), dans: Karl Keller-Tarnuzzer (dir.), Annuaire de la Société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 26, 1934, pp. 92-93.

NOUVELLE PAGE Le Dolmen de Plant de Rives à Auvernier IMAGES Publié[modifier | modifier le code]

Requière nouvelle notice, voir: Utilisateur:Beleonore/Brouillon3

NOUVEAU Ensemble mégalithique de Treytel-A Sugiez[modifier | modifier le code]

Grande Statue-Menhir de Treytel-A Sugiez
Image illustrative de l’article Beleonore/Brouillon2
la grande statue-menhir de Treytel-A Sugiez
Présentation
Type Menhir
Période Néolithique moyen et final
Visite Laténium
Caractéristiques
Matériaux Granit
Décor rostre apical et gravures
Géographie
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Canton Neuchâtel
Commune Bevaix

L'ensemble de Treytel-A Sugiez est un site mégalithique à Bevaix, Suisse, découvert en 1995 lors de la construction de l'autoroute A5.

Situation[modifier | modifier le code]

Le site n'est plus visible aujourd'hui. Il fut fouillé entre 1996 et 2000 après sa découverte en 1995 lors de la construction de l'autoroute A5.[11] Trois des douze[12] menhirs découverts, dont les deux statues-menhirs, sont aujourd'hui exposé au Laténium, Musée cantonal d'archéologie de Neuchâtel, à Hauterive.[11]

Tous les menhirs ont été découvert couchés, dont neuf encore entiers dans des fosses d'épierrement,[12][11] où des agriculteurs avaient rassemblé pierres et cailloux gênant l'exploitation des terres,[11] probablement au XVIe siècle sur raison de trouvailles faites dans les fosses d'épierrement[12] Le plateau de Bevaix comprend une multitude de sites mégalithiques, comme le site de Derrière la Croix à Saint Aubin à 6 km du site de Treytel-A Sugiez[12], et de pierres à cupules, ainsi qu'une forte densité de matière première potentielle sous la formes de bloc alpins.[12]

Description[modifier | modifier le code]

Au centre du site se trouvaient huit pierres en roche d'origine alpine[11] en alignement orienté nord-est/sud-ouest, complété par un menhir gisant hors ligne.[12][11] Un groupe de 3 monolithes se rajoutait à l'ensemble à 120 m au nord dans la projection de l'alignement.[11] Parmi les pierres de l'alignement, deux statues-menhir ont été identifiées.[11] A raison de la bonne conservation des vestiges accompagnant les menhirs, l'histoire du site a pu être reconstituée, ainsi que le déroulement de gestes ou rituels pratiqués par les occupants du site.[12]

A part les menhirs, le site comprend des fosses et des foyers, localisé à proximité ou en relation avec les groupements de menhirs. Par leur envergure, certains de ces foyers pourraient être le résultat d'événements collectifs,[11] pendant que les autres foyers plus petits semblent être issu d'un usage plus banal, soit l'éclairage, les petites cuissons ou le chauffage. Tous les foyers se trouvent en amont de l'alignement, ce qui pourrait indiquer la présence d'une interdiction ou d'une règle en relation avec l'utilisation du site, ce qui est aussi reflété dans le le nombre restreint de céramiques, comme si la communauté avait fait exprès de ne pas laisser de déchets à cet endroit.[12]

Une zone en amont du site montre des traces d'activités agricoles.[11] Lors de la deuxième phase d'occupation au néolithique final, des traces de fabrication de haches en roches vertes polies ont été trouvés dans deux aires d'artisanat semi-enterrées au pied de l'alignement principal, ainsi que des traces d'un bâtiment, dont la fonction en relation avec les menhirs n'est pas élucidé.[11]

Datation du site[modifier | modifier le code]

Le site est installé et occupé au néolithique moyen entre 4600 av. J.-C. et 3700 av. J.-C. et cette première phase d'occupation se distingue par le grand nombre de menhirs qui y sont dressés, y compris les deux statues-menhirs dans l'alignement principale.[11] Après 3'700 av. J.-C., le site est abandonné pendant plusieurs centaines d'années avant d'être réinvesti entre 2900 av. J.-C. et 1900 av. J.-C.,[12] pendant le néolithique final.[11] Cette deuxième phase d'utilisation est aussi visible dans les nouveaux motifs ajoutés aux statues-menhirs afin de les intégrer dans leur nouveau contexte socio-religieux.[11] Les motifs gravés dans les statues-menhirs ressemblent aux décors trouvés sur stèles gravées du Midi ou des Alpes du néolithique final.[12]

Fonction du site[modifier | modifier le code]

La signification précise des menhirs et du site de Treytel-A Sugiez n'est pas connue, mais en générale on accorde ä ce genre de site un caractère socio-religieux, a raison de leur emplacement sur des lieux de rassemblement de communautés sédentaires.[12]

Le site est instauré au Ve millénaire av. J.-C., ce qui coïncide avec le développement de l'agriculture dans la région[10] et il est vraisemblable que ce type de site mégalithique soit en relation avec les croyances et les rituels de ces premières communautés[12] de plus en plus sédentaires, bien que relativement mobiles à raison de la pratique de l'agriculture sur brûlis suivi par une longue jachère.[10] Les menhirs en tant que monuments pérennes donnent aux nouveaux rituels de la communauté un lieu consacré et réservé, un endroit qui ancre les croyances émergentes, et créé un lien entre la communauté et les terres sur lesquelles elle se sédentarise.[10][12] A Treytel-A Sugiez, la proximité de la zone agricole mène à penser à une visite du lieu en lien avec des rituels d'un culte de fertilité, au fil des saisons de l'agriculture de céréales, afin d'y faire des offrandes, des fêtes ou des échanges entre communautés, facilement accordable avec les foyers de grande taille trouvés sur le site.[10][12] Le culte des ancêtres pourrait y avoir trouvé une expression tangible et monumentale dans les statues-menhirs avec la preuve du respect envers les ancêtres établie à travers les visites périodiques des individus sur ce lieu.[12]

Une fonction plus profane serait celle d'une simple signalisation d'aires de rassemblements où se déroulait des échanges de biens et d'idées,[12] tout comme les menhirs isolés éparpillés sur la rive nord du lac de Neuchâtel auraient pu être des balises de chemins et de croisements.[9]

Au IIIe millénaire av. J.-C., après avoir été abandonné pendant plusieurs siècles, l'activité sur le site reprend lors d'une période de croissance de la population et des débuts de la métallurgie. Ce genre de changements dans la société et l'économie peuvent entraîner une instabilité, des tensions au sein de la communauté même ou entre celle-ci et d'autres qui a pu mener les communautés de néolithique final à réinvestir le site, afin de réaffirmer une identité communautaire et son droit sur les terres.[12]

Les Statues-Menhirs[modifier | modifier le code]

Les trouvailles les plus notable du site de Treytel-A Sugiez sont les deux statues-menhirs, érigé au néolithique moyen et redécoré au néolithique final.

La grande statue-menhir de Bevaix[modifier | modifier le code]

La plus grande des deux statue-menhir est un bloc de schiste qui mesure 3,35 m de haut et pèse 2 800 kg. D'une forme pyramidale allongée et étroite avec ses 1,4 m en largeur, il a été travaillé sur son côté gauche, ce qui lui a conféré une certaine asymétrie. Son côté gauche comporte une épaule dessiné par une échancrure naturelle. Au Ve millénaire av. J.-C., son décor consiste d'un rostre apical, une petite pointe ou protubérance tout en haut du menhir.[12]

Lors de son réinvestissement au IIIe millénaire av. J.-C., la statue-menhir est dotée d'un visage, de deux mains et d'éléments qui pourraient être des côtes ou des vêtements. Le visage est composé essentiellement des sourcils et du nez en relief, qui forment un "T" sur le sommet convexe de la statue-menhir. Les mains, en revanche, sont représentées par des lignes creusés dans la roche.[12]

La main gauche comporte 6 lignes en parallèle, dont 5 représentent des doigts, et une ligne courbe représentant le poignet qui relie les doigts. La signification de la sixième ligne reste sans explication. La main droite comporte aussi 5 lignes pour les doigts et une ligne courbe pour le poignet, bien que celle-ci ne renferme pas tous les doigts.[12]

Plus bas encore, deux séries de gorges parallèles qui vraisemblablement représentent des côtes, bien qu'une interprétation en tant qu'élément de parure ou de vêtement est aussi possible. La série gravée sur le côté gauche compte 9 lignes tandis que celle de droite n'en compte que 6.[12]

La petite statue-menhir de Bevaix[modifier | modifier le code]

La plus petite des deux statues-menhir mesure 2,5 m


Sonia Wüthrich: l'émergence du mégalithisme au 5e millénaire sur la rive nord du lac de Neuchâtel (Suisse): un phénomène lié à l'organisation socio-économique des premières communautés agricoles? Actes du 27e colloque interrégional sur le Néolithique (Neuchâtel, octobre 2005), p. 295-301.

Marie-Hélène Grau-Bitterli, Jean-Michel Leuvrey, Julie Rieder: Deux nouveaux espaces mégalithiques sur la rive nord du lac de Neuchâtel, Archéologie Suisse : Bulletin d'Archéologie Suisse, 25, 2002, 2, p.20-30.

Marie-Hélène Grau Bitterli, Elisabeth Fierz-Dayer: plateau de Bevaix, 6. Bevaix/Treytel-A Sugiez: histoire d'un complexe mégalithique néolithique, témoins d'habitats du Campaniforme et du Bronze Ancien, Achéologie Neuchâteloise, 47, 2011, Neuchâtel

Référencer dans: Bevaix, Liste des biens culturels d'importance nationale dans le canton de Neuchâtel,

NOUVEAU L'ensemble mégalithique de derrière la croix St.-Aubin IMAGES[modifier | modifier le code]

Vaumarcus


Sonia Wüthrich: l'émergence du mégalithisme au 5e millénaire sur la rive nord du lac de Neuchâtel (Suisse): un phénomène lié à l'organisation socio-économique des premières communautés agricoles? Actes du 27e colloque interrégional sur le Néolithique (Neuchâtel, octobre 2005), p. 295-301.

Marie-Hélène Grau-Bitterli, Jean-Michel Leuvrey, Julie Rieder: Deux nouveaux espaces mégalithiques sur la rive nord du lac de Neuchâtel, Archéologie Suisse : Bulletin d'Archéologie Suisse, 25, 2002, 2, p.20-30.

Sonia Wüthrich: Sanit-Aubin / Derrière la Croix. Un complexe mégalithique durant le Néolithique moyen et final, Archéologie neuchâteloise, 29, 2003, Neuchâtel.

Liste des sites mégalithiques en Suisse[modifier | modifier le code]

Liste des sites mégalithiques en Suisse

Remplacer "Allée couverte d'Auvernier" par "Dolmen de Plant de Rives" https://de.wikipedia.org/wiki/All%C3%A9e_couverte_von_Auvernier
rajouter Bevaix, dolmen de la rota,

effacer entrée des menhirs de la beroche

Menhire de Béroche[modifier | modifier le code]

Menhire der Béroche

VD Les deux micro-menhirs du site de clendy[modifier | modifier le code]

VD Les Statues-Menhirs de Clendy[modifier | modifier le code]


VD La Pierre à Cupules[modifier | modifier le code]


VD Les Menhir des Echatelards[modifier | modifier le code]


VD Le Menhir de Chateau La Cour[modifier | modifier le code]


VD Le Dolmen de Praz Berthoud[modifier | modifier le code]


VD Les Quatre Menhirs[modifier | modifier le code]


VD Le Menhir de la Vernette[modifier | modifier le code]

Alignement mégalithique de Lutry.

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Menhir situé sur le Pré du Devens, à Saint-Aubin NE, Suisse


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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (de), Julien Spielmann, Léonard Kramer, «Ein prähistorischer Bestattungs- und Megalithkomplex», Archéologie Suisse : Bulletin d'Archéologie Suisse, vol. 41, n° 2, 2018, p. 26-30
  • Sonia Wüthrich, « L'émergence du mégalithisme au 5e millénaire sur la rive nord du lac de Neuchâtel (Suisse): un phénomène lié à l'organisation socio-économique des premières communautés agricoles?», dans Marie Besse (dir.), «Sociétés néolithiques : des faits archéologiques aux fonctionnements socio-économiques : actes du 27e colloque interrégional sur le Néolithique (Neuchâtel, 1 et 2 octobre 2005)», Lausanne, coll. Cahiers d'archéologie romande, vol. 108, 2007, p. 295-301

Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich: D'un Mégalithe à l'Autre: Entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, 2012

Menhirs NE[modifier | modifier le code]

Julien Spielmann, Léonard Kramer: Ein prähistorischer Bestattungs- und Megalithkomplex, AS Mitteilungsblatt, Sonderausgabe, 41, 2018, 2, p. 26-30.

Sonia Wüthrich: l'émergence du mégalithisme au 5e millénaire sur la rive nord du lac de Neuchâtel (Suisse): un phénomène lié à l'organisation socio-économique des premières communautés agricoles? Actes du 27e colloque interrégional sur le Néolithique (Neuchâtel, octobre 2005), p. 295-301.

Marie-Hélène Grau-Bitterli, Jean-Michel Leuvrey, Julie Rieder: Deux nouveaux espaces mégalithiques sur la rive nord du lac de Neuchâtel, Archéologie Suisse : Bulletin d'Archéologie Suisse, 25, 2002, 2, p.20-30.

Albert Vouga: Menhirs et pierres à écuelles de la côte occidentale du lac de Neuchâtel, Indicateur d'Antiquités Suisses, 3, 1881, pp. 157-160 et pl. XI

Bernard Vauthier: Terre entre Lac et Jura, la Béroche, Saint-Aubin, 1985, p. 27-33

Auguste Bachelin: (1865), le menhir de la forêt du Grand-Devin, musée neuchâtelois, vol. 2, 1865, pp. 50-51.

Egon Gersbach: Zur Herkunft und Zeitstellungen der einfachen Dolmen vom Typus Aesch-Schwörstadt, annuaire de la société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 53, 1966-1967, pp. 15-28

Sonia Wüthrich: Sanit-Aubin / Derrière la Croix. Un complexe mégalithique durant le Néolithique moyen et final, Archéologie neuchâteloise, 29, 2003, Neuchâtel.

Marie-Hélène Grau Bitterli, Elisabeth Fierz-Dayer: Plateau de Bevaix, 6. Bevaix/Treytel-A Sugiez: histoire d'un complexe mégalithique néolithique, témoins d'habitats du Campaniforme et du Bronze Ancien, Archéologie Neuchâteloise, 47, 2011, Neuchâtel

Edouard Desor: Le Sépulcre préhistorique de la palafitte d'Auvernier, musée neuchâtelois, 1879, pp. 269-276

Daniel Vouga: Préhistoire du pays de Neuchâtel, des origines aux Francs, 1943, pp. 198-199

Petrequin Pierre, Piningre Jean-François: Les sépultures mégalithiques de Franche-Comté, Gallia Préhistoire, 19, 1976, pp. 287-381

Karl Keller-Tarnuzzer: Bevaix (distr. Boudry, Neuchâtel), Annuaire de la Société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 26, 1934, pp. 92-93

Karl Keller-Tarnuzzer: Fresens (distr. Boudry, Neuchâtel), Annuaire de la Société Suisse d'archéologie et de préhistoire, 33, 1942, pp.114-115..

Menhirs VD[modifier | modifier le code]

Elena Burri-Wyser (dir.), Alexandre Chevalier, Christian Falquet, Sébastien Favre, Alain Steudler: Destins des mégalithes vaudois. LUTRY, la Possession, CORCELLES, Les Quatre Menhirs et la Vernette, CONCISE, En Chenaux et Fin de Lance, ONNENS, Praz Berthoud, fouilles 1984-2012, Cahiers d'archéologie romande 159, Lausanne 2016

Alexandre Chevalier: Corcelles-près-Concise VD: menhirs de Corcelles. In: Chronique archéologique 1994. Annuaire de la Société suisse de préhistoire et d'archéologie, 78, p. 192.

Elena Burri-Wyser, Alexandre Chevalier, Christian Falquet, Sébastien Favre, Alain Steudler, Denis Weidmann: Les mégalithes vaudois en question, Archéologie Suisse: Bulletin d'Archéologie Suisse, 39, 2016, 1, p. 4-15.

Jean-Louis Voruz: Hommes et Dieux du Néolithique: les statues-menhirs d'Yverdon, Annuaire de la Société Suisse de Préhistoire et d'Archéologie, 75, 1992, p. 37-64

Bachelin Auguste (1868) Un menhir du bois du Devens, musée neuchâtelois, pp. 108-109

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 51
  2. a et b Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 53
  3. a et b Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 55
  4. a b c d et e Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 57
  5. « Fresens (NE) », sur archeoplus.ch (consulté le )
  6. a et b Bernard Vauthier, La Béroche. Terre entre Lac et Jura, Saint-Aubin, , p. 16
  7. a et b Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 59
  8. a et b Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 11-14
  9. a b c d e et f (de) Sonia Wüthrich (dir.), « Monumente für die Ewigkeit: Menhire in der Westschweiz », Archàologie in der Schweiz, Hier und Jetzt « Lebensweisen in der Steinzeit »,‎ , p. 168-171 (ISBN 978-3-03919-397-4)
  10. a b c d e et f Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, Musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 19-22
  11. a b c d e f g h i j k l m et n Elena Burri-Wyser, Christian Falquet, France Terrier et Sonia Wüthrich, D'un Mégalithe A L'Autre: entre Yverdon-Les-Bains VD et Hauterive NE, Yverdon-Les-Bains, musée d'Yverdon et région, , 84 p. (ISBN 978-2-8399-1052-1), p. 64
  12. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Marie-Hélène Grau Bitterli, Jean-Michel Leuvrey et Julie Rieder, « Deux nouveaux espaces mégalithiques sur la rive nord du lac de Neuchâtel », Archéologie Suisse: Bulletin d'Archéologie Suisse, 25e série, vol. 2,‎ , p. 20-30

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]