Utilisateur:Anya Sofia Corazon/Brouillon

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Delta Drone est un groupe international d’entreprises du secteur des drones civils à usage professionnel.

Les diverses entreprises du groupe lui permettent de proposer une offre global qui comprend la gestion réglementaire et sécuritaire préalable aux missions, la formation des télépilotes de drones, la conception et la fabrication d’une gamme de drones civils, la réalisation de missions d’acquisition de données, divers logiciels et algorithmes de traitement des données.

Tous les analyses de données sont réunies et accessibles via un système exclusif de Cloud computing dénommé Deltadrone CIS. Au niveau géographique, le groupe a une stratégie d’internationalisation, avec des filiales sur le continent africain.

Historique[modifier | modifier le code]

Fondée en 2011 à Grenoble[1],

basé à Dardilly dans le Rhône,

[2]


TechniDrone[3]

Juillet 2018 36,9 % Delta Drone entre au capital de Pixiel solution Neopter (système de drones automatiques qui assure une chorégraphie aérienne unique au monde pour la Cinéscénie du Puy du Fou

[4]

Comme beaucoup d'entreprises spécialisés dans les drones, le groupe mise sur les applications dans l'agriculture[5].

Le 24 septembre 2018, Delta Drone et la société suisse AgroFly International annoncent la création de la société de droit français AgroFly France. Cette dernière est chargée de distribuer au niveau international un système breveté d’épandage par drone mis au point par AgroFly International[6].

Delta Drone et Mare Nostrum créent Ergasia Campus, un campus de formation dédié aux métiers liés aux drones

Geodrones (inventaire en entrepôts) et Neosafe (drone de surveillance),

Drone autonome de DPS[7]

Prix Forbes Futur40

Filiales du groupe[modifier | modifier le code]

Le groupe a les filiales suivantes situées en Europe, Afrique et Mexique[8].

  • Aer’ness Group
  • AERO 41
  • Delta Drone Côte d’Ivoire
  • Delta Drone Maroc
  • Delta Drone South Africa
  • DSL South Africa
  • EMD
  • Ergasia Campus
  • Hydrogeosphere
  • MTSI – Mining Topographic Survey and Imaging
  • Pixiel
  • Rocketmine Ghana
  • Rocketmine South Africa
  • Technidrone

Chiffre d'affaires[modifier | modifier le code]

Sponsoring[modifier | modifier le code]

Tuks women[9]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Flipr (prononcez Flipper, comme le célèbre dauphin de la série télévisée éponyme) est une startup de l'IoT Valley à Labège qui développe un objet connecté visant à améliorer l'entretien des piscines.

Ses trois fondateurs sont Sven Fontany, Paul Costaseca, Florent Vidal

Historique[modifier | modifier le code]

1er Startup Weekend Perpignan[1]

[2]

éviter que l'eau tourne[3]

levée de fonds[1]

d’abord en France - 2e parc mondial avec 1,8 million de propriétaires -, puis rapidement en Espagne et Italie, qui suivent juste derrière[1].

CTAC-TECH[4]

CES de Las Vegas en janvier 2016[5]

[6]

[7]

levée de fond[8]

1600 unités de leur objet connecté analyseur d’eau ont été commercialisées en 2017 à travers près de 15 pays et territoires[5].

Flipr 2 pour le mois d’avril, ainsi qu’une plateforme de services aux pisciniers en 2018, plus compact, différent coloris [5].

adaptation aux spas[5]

dizaine de personnes[9]

Leroy Merlin[10]

La jeune entreprise a déjà enregistré 2.000 commandes, dont 300 par des particuliers, et livrera dans les jours qui viennent les premiers magasins spécialisés[9].

Avec Flipr, la start-up éponyme entend bien diviser par 5 le temps d'entretien de la piscine de son utilisateur tout en réduisant son coût d'entretien annuel de 32 %[11].

Objet connecté[modifier | modifier le code]

Récolte des données[modifier | modifier le code]

L'objet connecté, nommé Flipr, a la forme d'un aileron de dauphin et se fixe au bord de l'eau[12]. au bord de la piscine, aucune connaissance particulière[13]

fabriqué près de Castres. Il fonctionne grâce à un pile longue durée, ce qui équivaut à trois-quatre saisons et il transmet ses informations vers le portable grâce à la technologie radio Sigfox[9]

Syselec, Sigfox[4]

Ses capteurs embarqués lui permettent de fournir en temps réel des informations sur l'eau de la piscine en mesurant les niveaux de température, de pH, de chlore, de brome, la conductivité, l'alcalinité, le sel, les ultraviolets et la minéralisation[12].

redox, du pH, de la température de l'eau, ainsi que de son alcalinité et sa dureté[13]

les températures (eau et air) le taux d’acidité (Ph) la situation du produit désinfectant (chlore, brome, gros sel…)[4]

Pour ce faire, la solution connectée pensée par Flipr vient se fixer à la paroi de la piscine par le biais d'une ventouse et embarque 4 sondes qui analysent continuellement le pH, la température de l'eau, sa conductivité et le potentiel redox (ou ORP), c'est-à-dire le pouvoir oxydant de l'eau en fonction de la concentration de désinfectant qu'elle contient — un élément pas toujours évident à surveiller[11].

Analyse des données[modifier | modifier le code]

Le Flipr transmet les données acquises à une application installée sur le smartphone du propriétaire de la piscine. L'état précis de votre piscine peut être fourni à tout moment. Des alertes sont signalés lorsqu'il faut remettre du chlore ou du pH+ par exemple, et même être prévenu à l'avance pour des actions à réaliser[12].

Prise en compte de la météo[9]

algorithmes prédictifs[13]

Data Pool pour les professionnels[5]

L'objectif de la startup est de faciliter la vie des propriétaires de piscine, éviter les gaspillages, et assurer des baignades sûres dans une eau saine. Atuellement en phase de financement sur la plateforme de crowdfunding Wiseed, la société propose depuis juillet 2016 le Flipr en précommande sur son site internet, et livre ses premiers exemplaires en février 2017 pour un prix de 299 euros[12].

499 [3]

[14]

Toutes les données collectées sont transmises au smartphone via l'application dédiée compatible iOS et Android. Pour la connectivité, c'est le réseau Sigfox qui opère en complément du Bluetooth. Flipr a fait le choix de ce réseau basse consommation profitant d'une très bonne pénétration et dont la portée est très étendue. Depuis l'application, le propriétaire du bassin est directement averti dès qu'il y a une anomalie et reçoit des conseils de dosage personnalisés. L'application suggère également d'éventuelles actions de maintenance (installer la bâche s'il y a trop de vent, par exemple) et des "to-do lists" lorsqu'un problème est rencontré dans l'entretien du bassin[11].

Concurrence[modifier | modifier le code]

Blue by Riiot de Riiot Labs ou celles de la sonde ICO d'Ondilo[11].

ICO[15]

[16]

  1. a b et c https://www.usine-digitale.fr/article/flipr-la-start-up-qui-connecte-les-piscines-en-pleine-collecte-de-fonds.N428702
  2. https://www.lindependant.fr/2016/08/02/la-revolution-des-piscines-connectees-est-nee-a-perpignan,2237527.php
  3. a et b https://www.on-mag.fr/index.php/video-hd/news/maison-intelligente-domotique/16415-flipr-un-objet-connecte-predictif-pour-entretenir-sa-piscine
  4. a b et c https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/ne-toulouse-flipr-petit-robot-intelligent-surveille-piscine-temps-reel_11461620.html
  5. a b c d et e http://www.eurospapoolnews.com/actualites_piscines_spas-fr/58176-flipr,objet,connecte,piscine,plateforme,services,pisciniers.htm
  6. http://madeinperpignan.com/flipr-linnovation-catalane-selectionnee-pour-le-ces-2017-a-las-vegas/
  7. http://www.midilibre.fr/2017/01/07/flipr-la-start-up-catalane-dans-le-grand-bain-de-l-innovation-a-las-vegas,1449547.php
  8. https://www.ladepeche.fr/article/2016/09/21/2423518-startup-toulousaine-flipr-lance-collecte-fonds-wiseed.html
  9. a b c et d https://www.20minutes.fr/toulouse/2069243-20170516-flipr-objet-connecte-analyse-eau-piscine-place
  10. https://www.lindependant.fr/2018/01/15/las-vegas-un-catalan-dans-la-babytech,3087827.php
  11. a b c et d https://www.lesnumeriques.com/objet-connecte/flipr-flipr-p37291/flipr-agent-entretien-connecte-pour-piscine-n60067.html
  12. a b c et d https://www.ladepeche.fr/article/2016/08/25/2406063-flipr-le-meilleur-ami-de-votre-piscine.html
  13. a b et c http://www.eurospapoolnews.com/nouveautes_piscines_spas-fr/55444-flipr,objet,piscine,connecte,intelligent,analyse,eau.htm
  14. https://www.winkco.news/maison/exterieur/flipr-analyse-eau-piscine/
  15. https://www.winkco.news/maison/exterieur/ico-capteur-piscine/
  16. https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/marketing-vente/comment-les-start-up-de-la-piscine-intelligente-tentent-de-s-imposer-310888.php

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Campaign to Stop Killer Robots (campagne d’interdiction des robots tueurs) est une coalition internationale d'organisations non gouvernementales (ONG) qui souhaitent interdire de manière préventive la mise au point des systèmes d'armes létales autonome (SALA), surnommées « robots tueurs ».

Elle propose une interdiction préventive et globale du développement technologique, de la production et de l'utilisation d'armes entièrement autonomes. Cette interdiction peut prendre plusieurs formes, traité international, lois nationales et autres mesures juridiques.

Historique[modifier | modifier le code]

Le 19 novembre 2012, l'organisation non gouvernementale internationale (ONGI) Human Rights Watch (HRW) publie un rapport intitulé Losing Humanity: The Case against Killer Robots (Perdre l'humanité : l'affaire contre les robots tueurs). Les cinquante pages du rapport présentent les préoccupations de l'organisation en matière de système d'armes létales autonome. Ce système serait en mesure de choisir et de tirer sur des cibles sans intervention humaine. L'organisation avertit que les armes entièrement autonomes manqueraient intrinsèquement de qualités humaines qui fournissent des contrôles légaux et non juridiques sur le meurtre de civils. De plus, les obstacles à la responsabilité de quiconque pour les dommages engendrés par les armes affaibliraient le pouvoir de la loi de dissuader de futures infractions. HRW appelle les gouvernements à interdire de façon préventive l'usage d'armes entièrement autonomes en raison du danger qu'elles représentent pour les civils dans les conflits armés[1].

En mars 2013, au nom du International Committee for Robot Arms Control (ICRAC), le roboticien britannique Noel Sharkey lance un appel aux ingénieurs dans un article publié par The Engineer. Noel Sharkey invite ses collègues scientifiques a prendre parti sur l'interdiction des robots létaux autonomes« parce que vous êtes ceux qui savent à quel point les machines peuvent être limitées quand il s'agit de porter des jugements; les jugements que seuls les humains devraient faire; des jugements sur qui tuer et quand les tuer »[2]. Des ingénieurs, des roboticiens, des experts en intelligence artificielle et d'autres scientifiques signent la pétition disponible sur le site web de l'ICRAC.

Le 23 avril, une conférence de presse a lieu à Frontline à Londres pour lancer publiquement la coalition internationale d'organisations non gouvernementales Campaign to Stop Killer Robots. Dans sa première déclaration publique, la coalition appelle à une action urgente pour interdire préventivement les armes robotiques létales qui seraient en mesure de sélectionner et attaquer des cibles sans aucune intervention humaine[3].

Comité d'organisation[modifier | modifier le code]

Le comité d'organisation est composé des organisation non gouvernementales suivantes[4].

  • Human Rights Watch,
  • Article 36,
  • Association for Aid and Relief Japan,
  • IKV Pax Christi,
  • International Committee for Robot Arms Control,
  • Mines Action Canada,
  • Nobel Women’s Initiative,
  • Pugwash Conferences on Science & World Affairs,
  • Women's International League for Peace and Freedom.

Notes et références[modifier | modifier le code]