Aller au contenu

Utilisateur:Alexandre Lavallée/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.


François Lavallée (né le à Québec) est un auteur, traducteur, conférencier et chef d’entreprise québécois.


Biographie[modifier | modifier le code]

François Lavallée est titulaire d’un baccalauréat en traduction de l’Université Laval (1985), où il enseigne la traduction juridique et la traduction commerciale depuis 2002[1].


En 2005, il publie Le traducteur averti, un guide de traduction pratique composé de 70 articles et inspiré par ses 16 années comme pigiste. L’ouvrage est bien reçu dans le milieu de la traduction, notamment dans Circuit, le magazine officiel de l'OTTIAQ[2].


Un an plus tard, en 2006, il fonde Magistrad, une école de perfectionnement en traduction qui compte treize formateurs et qui recueille approximativement milles inscriptions chaque année. Son école offre principalement des cours à Québec, à Montréal, à Gatineau, à Ottawa et à Toronto, mais aussi ailleurs au Canada et aux États-Unis[3].


En 2009, François Lavallée met fin à sa carrière de traducteur autonome et rejoint le cabinet de traduction Edgar, où il travaille encore aujourd’hui à partir du siège social, à Québec, en tant que vice-président à la formation et à la qualité[4][5].


Pendant les années qui suivent son arrivée chez Edgar, il utilise fréquemment le réseau social Twitter (au nom de son entreprise Magistrad) pour partager des conseils de traduction avec les professionnels de son milieu. En 2012, la popularité de cet exercice l’amène à publier Tweets et gazouillis pour des traductions qui chantent, en collaboration avec Grant Hamilton, président du cabinet Anglocom, à Québec[6].


Auteur[modifier | modifier le code]

Parallèlement à sa carrière en traduction, François Lavallée est aussi l’auteur de deux recueils de nouvelles (Le tout est de ne pas le dire, 2001) (Dieu, c’est par où?, 2006), d’un recueil de fables (Quand la fontaine coule dans la vallée, 2007) et d’un roman (L’homme qui fuyait, 2013)[7][8].


Dans Quand la fontaine coule dans la vallée, il s’écarte des formes littéraires modernes et traite avec humour de divers sujets contemporains en suivant les règles de la versification classique et en s’inspirant du poète français Jean de La Fontaine, d’où le titre du recueil [9].


Le thème le plus récurrent dans ses œuvres est la quête de perfection, dont il décrit souvent les effets pervers en fonction de différents contextes. Il exploite aussi couramment la dualité paradoxale entre le besoin de s’améliorer constamment et celui de s’aimer tel que l’on est[10].


Oeuvres[modifier | modifier le code]

- Le tout est de ne pas le dire, Tryptique, Montréal, 2001, 172 p.

- Le traducteur averti, Linguatech, Montréal, 2005, 234 p.

- Dieu, c’est par où?, Guy St-Jean, Laval, 2006, 157 p.

- Quand la fontaine coule dans la vallée, Linguatech, Montréal, 2007, 62 p.

- Tweets et gazouillis pour des traductions qui chantent, Linguatech, Montréal, 2012, 164 p.

- L’homme qui fuyait, Guy St-Jean, Laval, 2013, 300 p.


Références[modifier | modifier le code]