Roxana Baldetti
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| Roxana Baldetti | |
 Portrait officiel, 2012 | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Vice-présidente de la république du Guatemala | |
| – (3 ans, 3 mois et 24 jours) |
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| Élection | 6 novembre 2011 |
| Président | Otto Pérez Molina |
| Prédécesseur | Rafael Espalda |
| Successeur | Alejandro Maldonado Aguirre |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Ingrid Roxana Baldetti Elías |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Guatemala (Guatemala) |
| Nationalité | guatémaltèque |
| Parti politique | Parti patriote |
| Diplômé de | Université de San Carlos |
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Roxana Baldetti, née le à Guatemala, est une femme politique guatémaltèque. Elle est vice-présidente de la République du au .
Biographie[modifier | modifier le code]
Roxana Baldetti est née à Guatemala. Elle vient d'une famille conservatrice et catholique. Elle a fréquenté l'école primaire du Colegio Monte Carmelo, où elle a obtenu son diplôme d'enseignement primaire à Sagrado Corazón de Jesús, au centre historique du Guatemala. Elle a obtenu un baccalauréat en journalisme à l'université de San Carlos du Guatemala.
Roxana Baldetti a commencé à travailler dans le journal télévisé Aquí el Mundo. Elle a été cofondatrice du programme d'informations TV Noticias. Elle a travaillé à Univisión en tant que correspondante du Guatemala pour l'émission Primer Impacto.
Elle a fondé une entreprise de produits de beauté et créé une chaîne de spas et de salons de coiffure.
Le , elle est élue vice-présidente auprès du président Otto Pérez Molina. Tous les deux prennent leurs fonctions le pour quatre ans.
Elle démissionne le après avoir été mise en cause dans un vaste réseau de fraudes douanières appelé La Línea[1]. Elle est condamnée en décembre 2022 à 16 ans de prison. Selon l’enquête, quelque 3,5 millions de dollars de pots-de-vin ont été versés, tandis que le montant détourné par le biais de la fraude fiscale a atteint près de 10 millions de dollars entre 2013 à 2015[2].
Elle est par ailleurs accusée de trafic de drogue et devrait faire l'objet d'une demande d'extradition vers les États-Unis[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Au Guatemala, le président fait front malgré le scandale de corruption », Le Monde, (lire en ligne).
- « Au Guatemala, l’ancien président Otto Perez condamné à seize ans de prison », Le Monde, (lire en ligne).
- « Guatemala: l'ex-vice-présidente accusée de trafic de drogue », AFP, (lire en ligne, consulté le ).
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
