Pierre-qui-vire (Longeville-sur-Mer)
Pierre-qui-vire | ||||
Présentation | ||||
---|---|---|---|---|
Autre(s) nom(s) | Menhir du Russelet | |||
Type | menhir | |||
Période | Néolithique | |||
Caractéristiques | ||||
Dimensions | 3,80 m | |||
Matériaux | grès | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 46° 25′ 13″ nord, 1° 30′ 25″ ouest | |||
Pays | France | |||
Région | Pays de la Loire | |||
Département | Vendée | |||
Commune | Longeville-sur-Mer | |||
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : France
| ||||
modifier |
La Pierre-qui-Vire, appelée aussi menhir du Russelet, est un menhir situé à Longeville-sur-Mer, dans le département français de la Vendée.
Description
[modifier | modifier le code]Le menhir est constitué d'un bloc de grès local. Il mesure 3,80 m de hauteur. Il est entouré de plusieurs autres blocs de grès couchés au sol d'origine naturelle, dans lesquels l'abbé Baudry avait cru reconnaître en 1861 un demi-cercle de pierres[1].
Folklore
[modifier | modifier le code]Son nom de Pierre-qui-vire, lui viendrait, selon la légende, de l'habitude du bloc à tourner sur lui-même, à minuit selon une version, au premier chant du coq selon une autre version[2].
Selon la tradition, le site servait de lieu de rendez-vous aux sorciers et à des êtres fantastiques appelés Garous et Garaches (loups-garous mâles et femelles)[2].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Bertrand Poissonnier et Jean-Loïc Le Quellec, Mégalithes de Vendée : légendes et archéologie, Geste éditions, , 62 p.
- Bertrand Poissonnier, La Vendée préhistorique, La Crèche, Geste éditions, , 367 p. (ISBN 2-910919-38-2), p. 157.