Paul Deribéré-Desgardes
| Paul Deribéré-Desgardes | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (7 ans, 8 mois et 13 jours) |
|
| Élection | |
| Réélection | 27 avril 1902 |
| Circonscription | Mayenne |
| Législature | VIIe et VIIIe (Troisième République) |
| Groupe politique | Républicains progressistes |
| Prédécesseur | Lucien Chaulin-Servinière |
| Successeur | Edmond Leblanc |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Saint-Gaultier |
| Date de décès | (à 75 ans) |
| Lieu de décès | Tours |
| Résidence | Mayenne |
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Paul Deribéré-Desgardes est un homme politique français né le à Saint-Gaultier (Indre) et décédé le à Tours (Indre-et-Loire).
Biographie
[modifier | modifier le code]D'abord avocat à Paris, il est ensuite clerc dans une étude d'avoué puis entre dans la magistrature.
Il est juge à Guéret, puis substitut à Paris, juge suppléant à Beauvais, substitut à Loudun, puis à Guéret et enfin, procureur à Château-Gontier, à Mayenne et à Laval, de 1882 à 1898.
Il s’est allié avec les familles Pommerais et Chrétien, qui ont l'une et l'autre de grandes propriétés agricoles dans les arrondissements de Laval et de Mayenne[1].
Il est présenté par le Comité Républicain[2] aux Élections législatives de 1898 dans la Mayenne, à la suite du décès de Lucien Chaulin-Servinière. Il est député de la Mayenne de 1898 à 1906, inscrit au groupe des Républicains progressistes. Il est réélu aux Élections législatives de 1902.
Battu aux Élections législatives de 1906 dans la Mayenne, il réintègre la magistrature, au sein du tribunal de la Seine, puis comme président du tribunal des dommages de guerre.
Distinctions
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Sources
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Paul Deribéré-Desgardes », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]- L'Avenir de la Mayenne, 28 août 1898.
- C'est un homme de talent et que je crois bien acquis à l'opinion républicaine, en dépit de son origine réactionnaire. Archives départementales de la Mayenne, lettre de Gustave Denis au préfet, sans date.
