María del Carmen González Guinda

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María del Carmen González Guinda
Illustration.
Fonctions
Députée aux Cortes Generales

(7 ans, 4 mois et 17 jours)
Élection
Réélection

Circonscription León
Législature XIe, XIIe, XIIIe et XIVe
Groupe politique Populaire
Biographie
Nom de naissance María del Carmen González Guinda
Date de naissance (63 ans)
Nationalité Espagnole
Parti politique PP
Diplômée de Université de Valladolid
Profession Professeure

María del Carmen González Guinda, née le , est une femme politique espagnole membre du Parti populaire (PP).

Elle est élue députée de la circonscription de León lors des élections générales de .

Biographie[modifier | modifier le code]

Vie privée[modifier | modifier le code]

Elle est mariée et mère de quatre enfants.

Études et profession[modifier | modifier le code]

Elle réalise ses études supérieures à l'université de Valladolid où elle obtient une licence en sciences physiques. Professeure de l'enseignement secondaire, elle enseigne la physique et la chimie.

Maire de Garrafe de Torío[modifier | modifier le code]

Elle se présente comme cheffe de file du Parti populaire à Garrafe de Torío à l'occasion des élections municipales de . Sa liste vire en tête avec 33,51 % des voix et remporte quatre mandats juste devant celle du PSOE qui obtient trois mandats sur les neuf à pourvoir. Elle est alors investie maire de la ville le suivant à la majorité simple[1]. Elle est cependant renversée 18 mois plus tard après l'alliance des trois autres partis d'opposition[2]. Elle postule à nouveau lors des élections locales de et récupère son fauteuil de maire en obtenant le même nombre de mandats. Elle est reconduite dans ses fonctions exécutives après le scrutin de .

Députée au Congrès[modifier | modifier le code]

Dans le cadre des élections générales de , elle est investie en troisième position sur la liste d'Eduardo Fernández García dans la circonscription de León[3],[4],[5]. En obtenant 35,6 % des suffrages exprimés, la liste ne remporte que deux des cinq mandats en jeu, attribués à Fernández García et à l'ex vice-maire de Madrid, Manuel Cobo. Victime de problèmes médicaux, ce dernier renonce toutefois à son mandat avant même l'ouverture de la législature et permet à Carmen González Guinda d'occuper un siège au Congrès des députés[6],[7]. Membre de la commission de l'Égalité et de la commission des Politiques d'intégration du handicap, elle est choisie comme porte-parole adjointe à la commission de l'Éducation et du Sport.

Elle remporte un nouveau mandat parlementaire lors du scrutin législatif anticipé de auquel elle concourt en deuxième position[8]. Intégrant les commissions de la Transition écologique, de l'Égalité et du Suivi et de l'Évaluation des accords du pacte contre la violence de genre, elle est confirmée comme adjointe à la commission de l'Éducation et de la Formation professionnelle.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (es) « La alcaldesa de Garrafe asegura que «sacará adelante» la residencia. », sur diariodeleon.es, (consulté le ).
  2. (es) « El PP apuesta de nuevo por José Santos Lorga para recuperar Vegas del Condado. », sur leonoticias.com, (consulté le ).
  3. (es) « El PP concurre a las elecciones con una lista “comprometida con su tierra” y con Manuel Cobo como gran sorpresa. », sur elbierzodigital.com, (consulté le ).
  4. (es) « Alfredo Prada deja la actividad pública para reincorporarse al ejercicio de la abogacía. », sur europapress.es, (consulté le ).
  5. (es) Junte électorale centrale, « Candidaturas proclamadas para las elecciones al Congreso de los Diputados y al Senado, convocadas por Real Decreto 977/2015, de 26 de octubre. », sur BOE.es, (consulté le ).
  6. (es) « Cobo no será parlamentario por León debido a problemas de salud. », sur laopiniondezamora.es, (consulté le ).
  7. (es) « Problemas de salud obligan a Manuel Cobo a abandonar la política tras 24 años de cargos. », sur diariodeleon.es, (consulté le ).
  8. (es) « Carmen González Guinda ocupará el número dos en la lista al Congreso del PP en sustitución de Manuel Cobo. », sur elbierzodigital.com, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Fiche sur le site du Congrès des députés : XIe, XIIe, XIIIe et XIVe législatures.