HMS Spiggen (1990)
Pour les autres navires du même nom, voir HMS Spiggen.
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| HMS Spiggen | ||
 Le HMS Spiggen. | ||
| Type | Sous-marin de poche | |
|---|---|---|
| Histoire | ||
| A servi dans |  Marine royale suédoise
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| Constructeur | Amfibieteknik | |
| Chantier naval | Stockholm Suède
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| Lancement | 1990 | |
| Statut | Désarmé en 2013 (?) | |
| Équipage | ||
| Équipage | 3 à 4 | |
| Caractéristiques techniques | ||
| Longueur | 11 m | |
| Maître-bau | 2 m | |
| Déplacement | 12 tonnes en surface 17 tonnes en plongée |
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| Vitesse | 6 nœuds | |
| Carrière | ||
| Propriétaire | Kalix | |
| Localisation | ||
| Coordonnées | 65° 54′ 52″ nord, 22° 38′ 50″ est | |
| Géolocalisation sur la carte : Suède
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Le HMS Spiggen était un sous-marin de poche de la marine royale suédoise, utilisé principalement comme navire cible pour la lutte anti-sous-marine[1]. Le premier sous-marin de poche de la flotte suédoise a été construit en 1954. Le Spiggen a été construit en 1990 pour la première flottille de sous-marins en tant que sous-marin cible dans les exercices de chasse aux sous-marins. Avec une longueur de 11 mètres et un déplacement de 12 tonnes en surface, il a de l'espace pour trois à quatre personnes[2].
Fabrication[modifier | modifier le code]
Le navire a été commandé à Amfibieteknik AB à Stockholm et il a été lancé en 1990[3].
Service[modifier | modifier le code]
Le Spiggen a cessé d'être utilisée dans les années 2000. Il a été stocké et radié de la flotte suédoise vers 2013[4]. En 2014, il a été donné à la municipalité de Kalix[5] et en octobre 2014, il était dans une salle de stockage municipale à Kalix en attendant d'être exposé plus tard[6].
Il a été décidé en 2015 que l'association du fort de Siknäs prendrait possession du sous-marin de poche[7], après quoi il a été déplacé vers le port de Töre pour devenir un navire musée. La raison de le placer juste à Töre était une chasse sous-marine contre un mini sous-marin de poche présumé qui s'est produite là-bas dans les années 1980[8].
Polémique[modifier | modifier le code]
Le désarmement et l'envoi du HMS Spiggen n'ont pas été appréciés par tout le monde, et un débat s'est élevé concernant la pertinence de réformer le matériel de défense en bon état de fonctionnement[9].
Même après le déménagement au port de Töre, une partie du public était bouleversée qu'il soit conservé dans un entrepôt de ferraille.
Salle du musée[modifier | modifier le code]
Après que le sous-marin ait été stocké pendant quelques années au port de Töre, l'Association du musée Siknäsfortet a construit une salle de musée dédiée qui a été inaugurée en 2019[10].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (fi) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en finnois intitulé « HMS Spiggen (1990) » (voir la liste des auteurs).
- Gustaf von Hofsten et Jan Waernberg, p. 56.
- (en) « The HMS Spiggen », sur Siknäs fortress, (consulté le ).
- Gustaf von Hofsten et Jan Waernberg, p. 296.
- Ubåtsflottilfchefen Fredrik Norrby bekräftar förrådshållning på Försvarsmaktens blogg 25 oktober 2012.
- Mini-ubåten "Spiggen" är nu i Kalix på Kalix kommuns webbplats den 26 juni 2014.
- Rapport av Pontus Johansson i radioreportage från förrådet i det direktsända programmet Nordegren i P1 den 21 oktober 2014.
- Josefin Silverberg, « Flytt av Spiggen är på gång » [archive du ], sur www.kuriren.nu, (consulté le ).
- Peter Lundgren, « Miniubåt tillbaka vid Törefjärden » [archive du ], sur www.nsd.se, (consulté le ).
- (sv) Niklas Wiklund, « Spiggen en symbol för kortsiktigheten », Svenska Dagbladet, (lire en ligne).
- « Prenumerera », sur pren.kuriren.nu (consulté le ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (sv) Gustaf von Hofsten et Jan Waernberg, Örlogsfartyg - Svenska maskindrivna fartyg under tretungad flagg, Svenskt Militärhistoriskt Bibliotek, Luleå, (ISBN 91-974384-3-X).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (en) « SPIGGEN (1990) », sur DigitaltMuseum (consulté le ).
- (sv) « SPIGGEN (1990) [sv] », sur KulturNav (consulté le ).
- (en) John Pike, « 1st Submarine Flotilla », sur GlobalSecurity.org (consulté le ).
