Environnement au Ghana
L'environnement au Ghana est l'environnement du Ghana, un pays d'Afrique.
Le Ghana est l’un des quinze pays où l’OMS a identifié la présence de décharges électroniques de grande envergure, toxiques.
La biodiversité au Ghana
[modifier | modifier le code]Milieux
[modifier | modifier le code]Faune et Flore
[modifier | modifier le code]Aires protégées
[modifier | modifier le code]Impacts sur les milieux naturels
[modifier | modifier le code]Activités humaines
[modifier | modifier le code]Exploitation forestière
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Chasse et braconnage
[modifier | modifier le code]Gestion des ressources
[modifier | modifier le code]Gestion de la ressource en eau
[modifier | modifier le code]Pression sur les ressources non renouvelables
[modifier | modifier le code]Pollutions
[modifier | modifier le code]Les émissions de gaz à effet de serre (GES)
[modifier | modifier le code]La pollution de l'air
[modifier | modifier le code]La pollution de l'eau
[modifier | modifier le code]La gestion des déchets
[modifier | modifier le code]Un habitant d'Afrique sub-aharienne génère en moyenne 165 kg de déchets par an et par habitants en 2023 (soit nettement moins que dans les pays plus riches)[1].
Le Ghana s'est spécialisé dans l'importation d'e-déchets, avec 170 000 tonnes par an importés. C'est l’un des quinze pays où l’OMS a identifié la présence de décharges électroniques de grande envergure. Or les déchets électriques et électroniques contiennent « plus de 1 000 substances nocives », souligne l’OMS, c’est-à-dire des composés cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ou perturbateurs endocriniens. A Agbogbloshie, décharge d'Accra, des fils électriques brûlés sur la décharge même pour récupérer du cuivre dégagent une fumée toxique. Par ailleurs, « Un enfant qui mange un seul œuf de poule venant d’Agbogbloshie, écrit Marie-Noel Brune Drisse, l’autrice principale du rapport, ingérera 220 fois la dose quotidienne tolérable de dioxines chlorées fixée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments. » Il s’agit des plus grandes doses jamais relevées de par le monde[2]. En 2023, la décharge a été récemment fermée[1].
L'importation de déchets textiles est également importante, avec 58 000 tonnes par an, entrainant également des décharges et pollutions[1].
Impacts de l'urbanisation
[modifier | modifier le code]L'exposition aux risques
[modifier | modifier le code]Risques naturels
[modifier | modifier le code]Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Politique environnementale au Ghana
[modifier | modifier le code]Accords internationaux
[modifier | modifier le code]Acteurs locaux, ONG...
[modifier | modifier le code]- Avec la plateforme Ecosia, le Ghana est engagé dans la plantation d'arbres, notamment les arbres de karité. Ce projet a pour objectif de restaurer une rivière (Daka) qui coulait autrefois toute l'année, mais qui, à l'heure actuelle, disparaît tous les ans après la saison des pluies. 900 000 arbres ont été plantés[3].
Évaluation environnementale globale
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Emilie Aubry, « Le dessous des cartes - Un monde de déchets », sur www.arte.tv, (consulté le )
- Augustin Langlade, « « Un tsunami de déchets électroniques » met en danger la santé de millions d’enfants », sur lareleveetlapeste.fr, (consulté le ).
- « Pourquoi planter des arbres fruitiers au Ghana ? », sur fr.blog.ecosia.org, (consulté le ).