Dolmens des Varennes de Cumeray
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| Dolmens des Varennes de Cumeray | ||||
 Le Grand dolmen | ||||
| Présentation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Nom local | Pierres cabrées (grand dolmen) | |||
| Type | dolmen | |||
| Faciès culturel | Néolithique | |||
| Caractéristiques | ||||
| Matériaux | grès | |||
| Géographie | ||||
| Coordonnées | 47° 21′ 45″ nord, 0° 16′ 40″ ouest | |||
| Pays |  France |
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| Région | Pays de la Loire | |||
| Département | Maine-et-Loire | |||
| Commune | Le Thoureil | |||
| Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : France
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Les dolmens des Varennes de Cumeray sont deux dolmens situés au Thoureil, dans le département français de Maine-et-Loire. Le plus grand des deux est aussi appelé les Pierres cabrées.
Les Pierres cabrées[modifier | modifier le code]
Le dolmen est orienté selon l'azimut 150°. Il est en grande partie effondré : la plus grande dalle s'est brisée en deux morceaux, une table de couverture s'est cassée en trois morceaux, un autre orthostate a basculé à l'intérieur de la chambre et la dalle de chevet s'est effondrée. La chambre comportait un plan octogonal. Elle était précédée d'un portique ou d'un court couloir très bas dont les éléments sont encore visibles. Toutes les dalles sont en grès[1].
L'édifice a été remanié et réutilisé tardivement comme l'atteste la présence de tuiles romaines dans le cairn[1].
Petit dolmen[modifier | modifier le code]
Il est situé à environ 30 m à l'ouest du précédent. Désormais totalement ruiné, seules quatre dalles sont encore visibles. Selon Godard Faultrier, il était encore intact vers 1832[1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Michel Gruet, Mégalithes en Anjou, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (1re éd. 1967, actualisation de Charles-Tanguy Le Roux), 417 p. (ISBN 2-84478-397-X, lire en ligne), p. 251-252.
