Discussion utilisateur:Eugène Fromentin

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 16:26 (CET)[répondre]

bonjour ; la page de discussion est à votre disposition si vous avez des remarques à faire sur l'article ; merci de votre compréhension ; cordialement : JLM (d) 20 janvier 2012 à 16:33 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 17:17 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 17:37 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 17:51 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 18:05 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 18:22 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 18:34 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 20 janvier 2012 à 19:24 (CET)[répondre]

attendez un peu !, la discussion vient de commencer Émoticône sourire ; vous ne pouvez pas être seul juge (et partie...)JLM (d) 21 janvier 2012 à 17:36 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 21 janvier 2012 à 18:57 (CET)[répondre]

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--Salebot (bot de maintenance) (d) 21 janvier 2012 à 19:53 (CET)[répondre]

Marcel Valtat[modifier le code]

Bonjour, de nombreuses révocations et coupes au sabre on été fait sur l'article depuis quelques jours. Dans l'intérêt de l'encyclopédie, et comme il vous a été demandé précédemment, veuillez passer par la page de discussion de l'article afin que l'ensemble de la communauté puisse donner son avis. L'article sera de nouveau accessible lorsque un consensus sera trouvé. AlpYnement vôtre, B-noa (d) 23 janvier 2012 à 14:00 (CET)[répondre]

Marcel Valtat[modifier le code]

Fromentin le23/01 2012 – 17h55

J’ai déjà fait des observations le 22/01/2012 :19h50

Bonjour, en effet depuis quelques jours je tente de rectifier un très grand nombre d'erreurs concernant la page Marcel Valtat. Plus de 80% des textes composant de cette page sont des copiés/collés, comble de l'ironie, de pages Wikipédia, et bien entendu, d'autres pages du web. Je pensais que Wikipédia désapprouvait ce type de procédés? Ses copiés/collés engendre évidement la reproduction d’erreur, de fautes, d’informations ni vérifiées, ni vérifiables, puisque tout le monde peut copier quelque site que ce soit. Les références données dans cette page sont contestables puisque toutes proviennent de personnes (journalistes ou autres) violemment engagées contre Marcel Valtat.

WIKIPEDIA dit : « Vous pouvez modifier la page en respectant à tout moment les règles de neutralité de point de vue. Ou sont ces règles de neutralité dans la pages présente ? Ne copiez pas de texte, ni d'une page web, ni d'un autre support : respectez le droit d'auteur. Fondez vos informations sur des sources vérifiables : citez vos sources. » Dans la page concernée, 80% du texte est un copié/ collé, de Wikipédia et d’autre pages d’Internet (avec les fautes !). Ceci explique sans aucun doute les erreurs à répétition… date décès, ... par exemple…


22/01/2012 :19h50 Comme vous le souhaitez, je vous prie de trouver ci-dessous de nouveau mes observations Déjà, permettez-moi de trouver la présentation douteuse, tant d’erreurs en si peu de lignes.


Marcel Valtat, mort le 20 décembre et non le 22 (votre correction faite). C’est un copié collé comme le reste de la page.


Il n’était pas « chef d’entreprise », mais dirigeant d’un cabinet de relations publiques et conseille en communication. Donnons la qualification conforme à son activité.


«Monsieur Amiante» est un épithète grotesque, sans queue ni tête, invention de journaliste en mal de copie, (je cherche la neutralité ?) Je ne vois pas ce que cela apporte de plus à la biographie, hormis le fait que cela soit péjoratif. Heureusement pour lui, Marcel Valtat n’a pas eu dans sa clientèle que le dossier amiante. Etrangement, dans cette page, je ne trouve trace de son passé entre la fin de la guerre et 1962 ? Il a pourtant eu une vie professionnelle durant cette période ! Malheureusement pour les copiés/colleurs, rien sur le web. Quid pour un rédacteur si bien informé ( ?) de cette période ?


Journaliste à L'Humanité1, éditeur. Copié / Collé de Wikipédia !!! Bravo! Il serait plus juste de dire ‘’’ancien’’’ journaliste à l’Humanité jusqu’en 1947. Journal et Parti qu’il quitta au moment du départ de Charles Tillon du gouvernement. Mais cette information aurait demandé un peu de recherche, et non pas des copiés/collés à la va vite.


Biographie[modifier] Cette présentation de sa famille est fausse. Après Serge et André et ‘’’non Claude’’’, (Copié/collé),(ça commence bien). Au demeurant, cela n’ajoute rien à la connaissance. Que l’on laisse Serge et André en paix. Mort pour la France, ils le méritent.


La famille est membre du Parti communiste,

Information redondante, je ne vois pas la nécessité de rappeler, une nouvelle fois, l’appartenance de la famille Valtat au parti communiste. Information donnée dés la première ligne de la présentation ?

Sa mère, personnalité importante du Parti et de la Résistance entraînera son fils dans cette voie. Le 13 juin 1942, il se marie à Saint-Léger-Vauban et échappe de peu avec sa mère à une rafle. Trois officiers allemands se présentent au milieu de la noce, ils n'arrêtent personne, mais font une mise garde et donnent le nom de la personne qui les a dénoncé pour réunion de communistes : la veuve P... Maria prudente décide quelques jours plus tard de rentrer dans la clandestinité. Le secteur de Saint-Léger étant un nid de collaborateurs. / Copié collé internet Phrase bâtie en dépit du bon sens : Je propose : Le secteur de Saint-Léger étant un nid de collaborateurs, Maria, prudente, décide quelques jours plus tard de rentrer dans la clandestinité.


Arrêté, il est conduit Généralement ont est incarcéré dans une prison !


Il entre au cabinet de Charles Tillon, alors Ministre de l'Air, dans le Gouvernement de Charles de Gaulle du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945, où il se voit confier la mission d'aller en Allemagne essayer … convaincre Wernher von Braun. Copié/collé Wikipédia. Absurde, même si c’est un copié/collé de la page Tillon ! S’il a bien était envoyé en Allemagne, ce fut pour tenter de convaincre des scientifiques allemands de venir travailler pour la France et jamais Von Braun, c’était un trop gros poisson. A quoi rime cette allégation ? Déprécier son engagement ? Pour ma part je trouve cela douteux. Et puis pour votre information, il eut été aberrant de vouloir lutter contre les services de renseignements américains beaucoup trop puissants, même pour le PC !


« D'un second mariage, il aura un garçon en 1952 et quelque temps plus tard d'une troisième union naîtra une fille en 1955 » Intolérable intrusion dans sa vie personnelle (tentative du rédacteur de montrer qu’il connait bien son sujet ?). Cette incursion dans sa vie privée, qui n’apporte objectivement rien à la démonstration que prétend faire le rédacteur, dénote clairement son intention d’instruire un véritable procès ad hominem.


A partir de maintenant, je m’interroge sur cette volonté de laisser à des partisans politiques le monopole de l’information (même quand ils écrivent dans « Le Monde », ce journal et ses journalistes n’ont pas le privilège de dire la vérité). Pour ma part, j’ai bien connu cette époque stalinienne. La liberté et la vérité n'autorise ni approximation, ni désinvolture. Avec de tels dysfonctionnements de la pensée et cette infaillibilité pontifiante affichée du rédacteur copié/colleur, Wikipédia se fait l’otage de l’intégrisme, au détriment de la vérité. Vous avez laissez paraître, sans poser aucune question, cette page pamphlétaire. C’est une faute et une erreur. Vous censurez mes corrections, Je crois que c’est une autre faute et aussi une autre erreur.

Je ne comprends pas Wikipédia.


Contrairement à ce que vous pensez, je ne laisse pas ce qui m’arrange. J’ai déjà, en 2005, mis en cause les informations d’un certain Benoît Hopquin dans « Le Monde ». C’est un habile militant anti amiante qui s’arroge doctement le droit de juger. Contester est compréhensible, sournoisement insulter est insupportable et diffamatoire. Sous la forme d'un réquisitoire, cette biographie sournoise est scandaleuse. Le rédacteur se veut "justicier", il règle ses comptes avec mon père. Il fait le procès de l’amiante au travers de Marcel Valtat. Marcel Valtat est l’homme à abattre...


Il est impensable que ce texte reste en l’état. Avec ce texte, le rédacteur rentre dans l'ère où les paroles, pour peu qu'elles dénoncent, devront être crues "sur parole". Peu importe ce qui pourrait s'opposer à elles, ce qui pourrait les constituer comme incomplètes, partielles, ou pire, partiales et même mensongères. Il ne faut pas y aller voir de trop près, ce serait inconvenant ! Procès en sorcellerie !

« En 1962, il crée le CES, Communications économiques et sociales, cabinet spécialisé dans la promotion des entreprises », il crée CES (Communications économiques et sociales) et non «le CES». Son cabinet était spécialisé dans le développement et la communication des entreprises et non «spécialisé dans la promotion» ! Adresse, nombre de collaborateurs et commentaire n’apporte rien. Ce cabinet n'existe plus aujourd'hui.

Je propose (voir plus bas) : En 1962, il crée CES (Communications économiques et sociales), cabinet spécialisé dans le conseil aux entreprises. Il mettra en avant de nombreuses industries. Son cabinet travaillera notamment pour de nombreux Syndicats professionnels et de nombreuses grosses entreprises dans l’alimentaire, les services, la production, Saint-Gobain, Flaminnaire, Eternit, les Vins de France, La Meunerie Française, le Sucre, L’Assurance,… Il conseille aussi les industriels de l’amiante. Pour cela il fut violemment attaqué pour cette activité. Editeur, il publiera de nombreux ouvrages dont notamment, « Numéro Spécial » magazine sans date fixe de parution, 100 000 exemplaires (l’actualité commandant le rythme), une collection de livres (une quinzaine) sur les métiers, l’apprentissage, « Sadate Pharaon d’Egypte » de Thierry Desjardins, plusieurs volumes de collection sur « le vieux Paris », « Colette au temps des Claudines », « 10 ans de prise d’Otages », …


C'est là que l'on va découvrir le visage de Marcel Valtat, Ceci est une appréciation, un commentaire de journaliste qui n'est pas neutre. Qu’elle est l’autorité de cet Alain Claude Galtié ? Pour en finir, je récuse dans son intégralité ce texte sur Marcel Valtat coupable, notes, liens et références ne sont que des référence en boucle ! Je connais le principe ! C’est un copié collé d’allégations (des prises de position) trouvées sur internet ! Ce texte a la forme d'un réquisitoire. C'est tout au plus un nébuleux "copier/collé" démagogique de sources diverses (quelle vérité peut-ont accorder à un jugement de valeur ?)


Il est écrit par ailleurs : "Pendant ces .années où se succèdent gouvernements de droite et de gauche, la structure ( le CPA, Comité Permanent de l'Amiante ) "se revendiquant"( ? ) comme "un lieu vide".


Je rappellerai qu’il ne s’agit en rien d’une revendication du « CPA », mais d’une expression employée par M. Dominique Moyen, alors directeur de l’INRS, pour caractériser une structure où ce problème de sécurité du travail pouvait être débattu par l’ensemble des parties prenantes de façon directe.


Je rappellerai que ce lieu – dit "vide" - rassemblait quand même, outre les représentants de l’industrie, des représentants des ministères du travail, de la santé, de l’industrie, de la recherche, du logement, les scientifiques qui avaient une réelle notoriété internationale dans le domaine traité, des délégués des principales centrales syndicales de salariés, des associations de consommateurs…


Pourquoi ne parle-t-il pas de ces divers représentants ? Tous corrompus ?

Ce lieu - dit « vide » - travaillait sur la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles, travaillait sur l'usage contrôlé de l'amiante. Alors lorsqu’il est affirmé "...va dicter en toute discrétion la politique en matière d'amiante à un Etat singulièrement passif (...) a conduit de facto la politique française sur le sujet (…), on peut légitimement s’interroger sur la portée de cette affirmation quand on voit, par ailleurs, la quasi inexistence d’accord collectifs signés par l’ensemble des syndicats de salariés, ou la très modeste efficacité des très nombreuses« missions » et autres « délégations », certes présidées par d’honorables Conseillers d’État, ou Conseillers Maîtres à la Cour des Comptes.


Autre affirmation péremptoire:"dès 1965, on connaît tout scientifiquement sur les risques de l'amiante...". Cette phrase, qui a certes traîné dans tous les articles de presse consacrés au sujet depuis dix ans, aurait mérité un examen un peu plus critique avant d’être reprise dans un article partisan du Monde, se prétendant de fond.


On connaît tout des risques sanitaires présentés par le plomb, mais on continue à fabriquer des batteries de démarrage automobile au plomb. C’est de l’usage contrôlé d’un métal réputé dangereux. Sait-on tout des risques liés à l’usage des éthers de glycol, dénoncés par certains scientifiques depuis 2 décennies ? Nous dira-t-on, dans 20 ans, que nous connaissions tout des risques liés aux ondes radio-électriques et que nos gouvernements actuels ont montré une coupable passivité en ne nous désintoxiquant pas de nos téléphones portables ?


Il est évidemment facile de relire le passé avec les lunettes du présent et de faire passer onze gouvernements, qui se sont succédés de 1965 à 1993 (année du décès de mon père) pour des pantins que mon père aurait manipulés en matière de politique sur l’amiante ? Où est la crédibilité de tout ceci ?


Il est fait état de la présence d’amiante dans une école "... Selon les procès verbaux de Marcel Valtat, leur «témoignage rassure les parents et permet de dédramatiser la situation »... Ce ne sont pas les procès verbaux de Marcel Valtat, mais ceux du CPA (Comité Permanent de l'Amiante), adoptés à l’unanimité par ses membres. Mais il est expédient pour votre commentateur d’insinuer ainsi, pour les lecteurs, que le CPA, donc mon père ( ? ) étaient peu ou prou prêts à faire courir de graves dangers à des enfants ! Ce sous entendu est inacceptable et diffamatoire.


Dans ce pamphlet d’un populisme phraseur atterrant où la "tyrannie" de l'émotion prend le pas sur l'information ( ...cette merveille qu'ils ont tout bonnement baptisée le "minéral magique"... affreuse agonie, entre morphine et masque à oxygène... Leurs poumons s'encombrent à en mourir de ces paillettes blanches...). J'ai, en vain, cherché quelle information, surtout quelle information nouvelle, était mise en avant ? Relecture après relecture, je n’y retrouve que les propos caricaturaux tenus à l’envi depuis plus de 20 ans. Si les approximations, les contrevérités, les exagérations ne sont jamais excusables, encore peuvent-elles être compréhensibles quand elles sont émises « à chaud ». Elles ne sont ni excusables, ni compréhensibles quand elles sont émises 10 ou 20 ans après les faits, 19 ans après le décès de celui dont on prétend faire le procès, sur la base d’une prétendue enquête.


Pour terminer, je ne vous dissimulerai pas le mépris que m’a inspiré la lecture de ce texte pour ceux qui le cautionnent. Ce n’est pas un texte biographique, mais un texte d’inquisition, de propagande. Si nous nous étions trouvés au XVIème siècle où les victimes, jugées "très douteuses", finissaient sur le bûcher. Ce personnage "très douteux" que serait mon père aurait connu le même sort. Forcément, si vous êtes jugé "très douteux", c’est qu’il y a un doute, n’est-ce pas ?


En publiant ces insinuations, vous portez atteinte à la mémoire de mon père, à son honneur et vous salissez notre nom. La liberté n'autorise ni approximation, ni désinvolture. Avec de tels dysfonctionnements de la pensée et cette infaillibilité pontifiante affichée, Wikipédia ( et je le regrette) se fait l’otage de l’intégrisme, au détriment de la vérité. Les robots sont sans doute biens, mais ils ne dénichent pas les supercheries et les mensonges. Je cherche la neutralité. Je pense qu'il s'agit de Marcel Valtat et non d'instruire le procès de l'amiante. Cordialement

Eugène Fromentin

Ci-dessous ma proposition pour une page corrigée[modifier le code]

Marcel Valtat, né le à Paris, mort le , résistant communiste français, dirigeant d’un cabinet de relations publiques et conseille en communication. Ancien journaliste à l’Humanité jusqu’en 1947. Journal et Parti qu’il quitta au moment du départ de Charles Tillon du gouvernement. Marcel est le troisième enfant d'une famille originaire de Saint-Léger-Vauban, dans le Morvan. Son père, Louis Valtat, (1872-1958) est un fonctionnaire des PTT, un des membres fondateurs de la CGT Poste. Sa mère, Maria Layma (1895-1977), est originaire de Tauriac, dans le Lot. Louis Valtat sera interné dès le début de la Guerre.

La Résistance[modifier le code]

Sa mère, personnalité importante du Parti et de la Résistance entraînera son fils dans cette voie. Le , il se marie à Saint-Léger-Vauban et échappe de peu avec sa mère à une rafle. Trois officiers allemands se présentent au milieu de la noce, ils n'arrêtent personne, mais font une mise garde et donnent le nom de la personne qui les a dénoncé pour réunion de communistes : la veuve P... Le secteur de Saint-Léger étant un nid de collaborateurs, Maria, prudente, décide quelques jours plus tard de rentrer dans la clandestinité. Arrêté, il est incarcéré à la Prison de la Santé d'où il parviendra à s'évader.

Après Guerre[modifier le code]

Il entre au cabinet de Charles Tillon, alors Ministre de l'Air, dans le Gouvernement de Charles de Gaulle du au , où il se voit confier la mission d'aller en Allemagne essayer de convaincre des scientifiques de venir travailler pour la France. Au mois de novembre 1948, il offre à Armand Simonnot, Commandant Théo dans la résistance, ami et frère d'armes de sa mère, le poste de garde du corps de Charles Tillon, Armand acceptera et va naître entre les deux hommes une amitié indéfectible. Après sa démission, mis au banc de toutes activités de presse par le Parti communiste, il deviendra (un peu moins de 10 ans) un mouton noir devant lequel toutes les portes se fermeront. Pour faire vivre sa famille, il part dans le sud, et à Aix en Provence, il décide d’apprendre la poterie chez un réfugié républicain espagnol. Quelques années plus tard, il s’installera à Cannes pour créer son propre atelier de poterie. En 1955, il laisse la poterie et remonte à Paris pour créer à Synergie (une grande agence de publicité) un département de relations publiques. C’est là qu’il découvrira les problèmes inhérents au monde de l’entreprise. En 1962, il crée CES (Communications économiques et sociales), cabinet spécialisé dans le conseil aux entreprises. Il mettra en avant de nombreuses industries. Son cabinet travaillera notamment pour de nombreux Syndicats professionnels et de nombreuses grosses entreprises dans l’alimentaire, les services, la production, Saint-Gobain, Flaminnaire, Eternit, les Vins de France, La Meunerie Française, le Sucre, L’Assurance,… Il conseille aussi les industriels de l’amiante. Il fut violement attaqué pour cette activité. Editeur, il publiera de nombreux ouvrages dont notamment, « Numéro Spécial » magazine sans date fixe de parution, (l’actualité commandant le rythme), une collection de livres (une quinzaine) sur les métiers, l’apprentissage, « Sadate Pharaon d’Egypte » de Thierry Desjardins, plusieurs volumes de collection sur « le vieux Paris », « Colette au temps des Claudines », « 10 ans de prise d’Otages », …

Décorations[modifier le code]

Refus de toutes décorations

Commentaire[modifier le code]

Bonsoir, du point de vu de la mise en forme syntaxique, il n'y a rien à redire cependant votre article n'est soutenu par aucune source à ce stade. AlpYnement vôtre, B-noa (d) 23 janvier 2012 à 19:15 (CET)[répondre]

Fromentin / 24-01-2012 / Réponse :

Bonjour, Votre interrogation appel de ma part des observations. D’abord, je suis étonné que Wikipédia laisse passer tant de copiés/collés, sans que vous soyez mal à l'aise ?

Cette page n’a pas été rédigée par une personne de la famille Valtat. Elle n’est pas consacrée à Marcel Valtat, mais à l’amiante. Cela me semble abusif. Il y a d’autres lieux pour cela. Elle n’est pour son auteur, qu’un faire valoir mettant en avant sa thèse sur l’amiante sans modération (contestable, mais vous ne semblez pas en tenir compte).

Sachant parfaitement qu’il est possible de copier sur Wikipédia, on annonce ensuite « source Wikipédia ». Justification en boucle. Ce cassage de gueule en règle n’as pas sa place et n’est pas très honorable. Je me battrai contre ce procédé.

Dans ma proposition modérée de correction, je site cet épisode amiante. Les industriels amiante n’ont pas rempli (heureusement) la vie professionnelle de Marcel Valtat. Mon interrogation est la suivante, vous me demandez des sources pour être validé dans l’encyclopédie ? Faut-il nécessairement des sources ? Faut-il être validé pour paraître dans Wikipédia ?

Que faire quand les sources présentes ne sont qu’une vérité arrangée, ou sont contestables, comme SuperNo – dans Marianne2.fr - Blogueur associé | Lundi 12 Octobre 2009 / Il annonce lui-même la couleur ! « En préambule, je précise comme d’habitude qu’il s’agit d’une narration romancée de cette soirée, écrite de mémoire et d’après les quelques notes que j’ai prises, que je ne garantis absolument pas le mot à mot, que j’en ai certainement oublié, peut-être rajouté (j’ai essayé de séparer quelques réflexions personnelles de celles du conférencier), et que j’espère ne pas avoir écrit trop de conneries,… »?

Que faire quand les sources sont en boucle et se justifient les unes avec les autres ? Un bon exemple : « www.looksante.fr/dictionnaire-medical/marcel-valtat, cette définition de Marcel Valtat est extraite des textes Wikipedia de l’article Marcel Valtat… » Il n’est pas infamant de dire que les journalistes n’ont pas le monopole de la vérité, encore moins ceux qui sont des militants.

A mon sens, soit, vous consacrée une page sur Marcel Valtat qui ne soit pas un réquisitoire (ayez la gentillesse de lire mon dernier message, je vous donne de nombreuses informations), soit vous modifiez par ma version, quand même plus modérée (et si le pensez utile, faites un lien sur le mot amiante qui renvoi sur les sites consacrés à ce sujet), soit vous supprimez cette page. Vous voulez une source, je suis une source. Vous pouvez aussi interroger Jean-Yves Boursier recteur de la faculté de lettres www.nice.maville.com/. Auteur de nombreux livres sur le PCF, les Partisans, ... il a bien connu Charles Tillon, Armand Simonnot, et la famille Valtat, tout comme Thierry Desjardins.

Fromentin

Bonjour, n'étant pas l'auteur du texte et n'ayant pas connaissance du sujet, je vous demande simplement d'apporter des sources pour chaque information (cf. Wikipédia:Citez vos sources et notamment Wikipédia:Sources primaires et secondaires). Que le texte doive être réécrit semble évident et une discussion s'est engagée dans ce sens sur la pdd de l'article, qu'il existe une polémique semble évident tout autant et chaque parti peut apporter son point de vue tant qu'il est sourcé.
Je vous invite donc à parcourir quelques Wikipédia:Bons articles/Justification de leur promotion afin de prendre connaissance des mises en forme et de ce qui est attendu pour un article. AlpYnement vôtre, B-noa (d) 24 janvier 2012 à 12:26 (CET)[répondre]

Bonjour, Je prépare un texte avec des sources. Cordialement Fromentin

J'ai bien reçu votre mail. La seule remarque sur la forme que je puisse faire c'est qu'il y a peu de sources pour la partie du début de sa vie, ou alors je ne les ai pas vus, alors que la partie sur l'amiante est elle plutot mieux sourcée. Je pense que pour la première partie on pourra à la rigueur mettre en lien vers le Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social qui comporte une entrée sur Valtat. Pour information, l'article peut être à nouveau modifié. Personne n'ayant réagit en page de discussion, il semble que vous puissiez modifier l'article et apporter votre travail. AlpYnement vôtre, B-noa (d) 31 janvier 2012 à 18:41 (CET)[répondre]

Bonsoir, Merci pour votre réponse. Vous avez raison, je vais chercher les liens que vous suggérez, c'est une bonne idée. Cordialement, Fromentin