Discussion:Speak White

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Bonjour, L'article mentione que cette expression n'est plus utillisée aujourd'hui. Je puis dire par expérience personnelle que ce n'est pas exact. En tant que francophone parlant en français à un autre francophone, je me suis fait invectiver cette injure par un anglophone à mainte reprise en Ontario (Toronto et Borden) ainsi qu'en Alberta (Calgary) dans les années 1980, 1990 et 2000 --206.47.245.252 (d) 22 juin 2012 à 19:33 (CEST)Michel Claes 2012-06-22 13:21--206.47.245.252 (d) 22 juin 2012 à 19:33 (CEST)[répondre]

Bonjour, j'ai actualisé la définition de l'injure, qui est toujours, de mon expérience, utilisée aujourd'hui (2006).

Sur le wikipedia anglais, dans l'article de Speak White le monde disent que ça n'a jamais été dit :( J'essaye toujours d'améliorer l'article mais le monde enlèvent tout mention de francophobie Dan Carkner 8 décembre 2006 à 04:13 (CET)[répondre]

Le texte du poème doit être retiré en vertu de la violation des droits d'auteurs [1]. Au plaisir. — Antaya @ 15 mars 2008 à 10:30 (HNE)

Usage continué?[modifier le code]

Si vous prétendez que cette insulte est encore largement en usage, vous devez être en mesure d'en fournir des preuves, car il s'agit d'une accusation assez sérieuse. On dirait que cela serait bien évident, mais soit. En attendant, je retire l'assertion de l'article.

Le seul cas bien précis qui est mentionné n'est pas cause juste pour alléguer que l'expression est encore largement répandue.

--24.200.212.244 (d) 23 mars 2009 à 04:02 (CET)[répondre]

Je ne pense pas que l'ont trouverai facilement de sources vérifiables et de qualité pour affirmer que cela est encore utilisé à un époque récente ou qu'il ne l'est plus du tout. J'ai remplacé par "Cette expression péjorative est rarement utilisée de nos jours." --Cairn2 (d) 14 janvier 2013 à 09:09 (CET)[répondre]
J'allais dire la même chose! C'est plus juste avec cette formulation...--Bad-Twin (d) 21 mars 2013 à 15:36 (CET)[répondre]
Désolé, je viens de voir que la modification est déjà là... xD --Bad-Twin (d) 21 mars 2013 à 16:11 (CET)[répondre]

Quelques Commentaires[modifier le code]

La traduction offerte dans l'article pour le suivant ne traduit pas bien le sens du mot anglais « discreditable »: For every twenty French Canadians you encounter in my house or yours, fifteen can affirm that they have been treated the discreditable "speak white". (Sur 20 Canadiens-français que vous rencontrez chez moi ou chez vous, 15 peuvent dire avoir été intimé ce méprisant speak white.) Je ne crois pas que le mot français « méprisant » soit correct. « Discreditable » indique déshonneur ou la honte de celui qui utiliserait la phrase. Ce n'est pas un adjective qui modifie l'insulte. Synonymes anglais serait « shameful ». Dans mon dictionnaire anglais - français (le Robert & Collins), les traductions « peu honorable, indigne, déshonorant ». À ces possibilités j'ajouterais aussi « méprisable ». En tout cas, l'important c'est que l'auteur original anglais voulait indiquer qu'il ou qu'elle considérait que l'emploi de l'expression « speak white » était chose détestable. Je note aussi qu'il manque la référence exacte pour la citation.

La diminution de l'emploi de l'expression ne serait-elle pas causée par un changement d'attitudes de la part des Canadiens-anglais envers le langage acceptable d'employer, plutôt qu'à la Revolution tranquille, qui aurait influencé les Québécois. À un certain point, surtout avec le « civil rights movement » aux É-U il est devenu complètement inacceptable d'employer certains mots et phrases qui étaient clairement racistes ou qui avaient des sous-textes racistes. Bien évident, c'était déjà trop tard pour laisser tomber une expression tellement dénigrante, parce que le dommage s'était déjà manifesté. (Je me suis évidemment trompé à l'égard des ÉtatsUnis. Ayant fait des rechereches à l'internet, il paraît que l'expression « speak white » est toujours employé dans certains contextes aux É-U.) Cascadien2 (d) 16 mai 2009 à 22:05 (CEST) Dans l'article anglais sur ce sujet on se réfère à la constation de l'emploi de cette phrase dans les journaux privés d'André Laurendeau (Commission Laurandeau-Dunton). Ce n'est pas scientifique, mais M. Laurandeau avait beaucoup de crédibilité et n'aurait aucune raison de fabriquer ce qu'il avait entendu des citoyens qui faisaient des représentations devant la Commission.(en) Denis Monière, André Laurendeau et le destin d’un peuple, Saguenay, Canada, Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi, , p. 324[2].[répondre]

La version anglaise de l'article constate aussi au moins un exemple de cette même phrase employée à Winnipeg envers quelqu'un (la mère du journaliste) qui parlait le Yiddish dans un lieu public, ce qui suggère que « speak white » n'était pas réservé uniquement pour les francophones.Larry Zolf. "Speak white." CBC News. 7 March 2007. L'article devrait en faire mention. Je me demande si l'expression était aussi d'usage répandu aux États-Unis contre les immigrants non-anglophones y inclus peut-être les immigrants québécois et acadiens en Nouvelle-Angleterre. Il me semble moins probable que ce soit un phénomène unique aux Canadiens-anglais qu'une manifestation d'une intolérance linguistique plus généralisée de l'époque.

Effectivement, je commence à trouver des exemples venant des États-Unis: [3] ;[4]; (un exemple donné d'enseignants dans l'état de Maine qui le disaient aux élèves franco-américains):[5];[6];[7]. Si l'article est une discussion de l'insulte, la discussion devrait inclure référence aux autres contextes hors Québec ou l'expression a été entendue ou s'utilise de nos jours. Cascadien2 (d) 16 mai 2009 à 21:56 (CEST)[répondre]

Finalement, je trouve le traitement du poème de Marco Micone un peu étonnant. Sans même donner au lecteur un résumé objectif du poème, l'article se lance à la réaction critique, avec une longue citation. Ce n'est pas une discussion neutre du sujet. N'est-il pas possible que le poète exprime des sentiments qui sont pour lui authentiques? Et, en plus, est-ce que Marco Micone a réagit lui-même à la critique féroce de Gaëtan Dostie? Cascadien2 (d) 16 mai 2009 à 19:02 (CEST)[répondre]

Racisme, glottophobie, ou les deux ?[modifier le code]

Bonjour Notification Onbec et Bertrand Labévue :,

Je remets l'article dans l'état « historique » en attendant que l'on tranche entre racisme et glottophobie, suite à vos modifications.

En effet, il me semble y avoir besoin de ce petit débat, puisque sauf erreur de ma part les sources ne mentionnent expressément ni l'un ni l'autre, alors que les deux sont plausibles. La glottophobie me semble un concept plus récent mais peu contesté pour autant.

Bref, vos sources et arguments liés à ces sources sont les bienvenus ici afin que l'on améliore ce passage de l'article.

Merci par avance ! — Kvardek du (laisser un message) le 29 octobre 2019 à 19:34 (CET)[répondre]

Bonjour Notification Kvardek du :. Ceci est un gros malentendu, en effet, @Bertrand Labévue a annulé mes modifications puisqu'elles contenaient des fautes d'orthographe. Je vous inviterais de visiter à nos pages de discussion respectives. Il est certain que la décision que vous avez prise n'est pas la plus appropriée. Néanmoins, j'ai employé le terme de discrimination linguistique parce que l'élément déclencheur de cette injure était l'utilisation d'une langue non-anglaise et non leur apparence physique. Merci de votre compréhension et j'ai hâte de voir cette situation se régler.--Onbec (discuter) 29 octobre 2019 à 22:57 (CET)[répondre]
Notification Kvardek du : Notification Onbec :Pas mieux ! Le terme "glottophobie" est moins "parlant" mais peut-être plus adapté à ce cas encore que "speak white" ne me semble pas vraiment faire référence à une langue mais à une couleur de peau ce qui est raciste. --Bertrand Labévue (discuter) 30 octobre 2019 à 08:26 (CET)[répondre]
Notification Kvardek du et Bertrand Labévue :Pour la énième fois, je parle principalement de discrimination linguistique. Tout d'abord, distinguons le racisme de l'ethnocentrisme: « La plus grande différence entre l'ethnocentrisme et le racisme réside dans la finalité des deux phénomènes. D'abord, l'ethnocentrisme vise la suppression de la distance culturelle par l'assimilation et la conversion. Les différences et les hiérarchies demeurent sur le plan socio-culturel, puisque si les autres sont considérés comme inférieurs, c'est du fait de leur genre de vie (mœurs, coutumes, langues, religion), c'est-à-dire "en raison de leur appartenance à un autre système socioculturel et non du fait de la couleur de leur peau ou de quelque autre trait physique" . Par conséquent, l'autre peut devenir égal à soi parce que la conversion ou l'assimilation culturelle est possible. Par exemple, il est possible d'apprendre une langue ou de changer de religion, mais il n'est pas possible de changer de couleur de peau. C'est là toute la différence entre l'ethnocentrisme et le racisme ; ce dernier visant la mise à distance et l' exclusion de l' Autre qu'il estime non-assimilable. » Bon, maintenant que ça c'est fait, nous nous devons pas retirer le terme de son contexte ! L'emploi de « Speak white » n'a en fait peu de choses à voir avec l'apparence physique de la victime, mais plutôt sa langue. Henri Bourassa et les Canadiens français étaient quand même vus comme appartenant à la race blanche selon les Anglo-Canadiens et selon eux-mêmes. Dans la langue anglaise, « white » n'est pas seulement une couleur, mais aussi un synonyme de « right », de ce qui est bon, de ce qui faut être. Par exemple, il existe plein d'expressions anglaises employant le mot white sans aucune connotation raciale tels que « white hope », « white magic », « white knight », « white lie », etc. La personne a juste ce mot-là pour lui signifier qu'il fallait « bien parler », « parler comme du monde », ce qui insinue que la langue française n'est pas une bonne langue et c'est donc de la discrimination linguistique. Bref, c'est la langue française qui est attaquée et non une race quelconque --Onbec (discuter) 31 octobre 2019 à 02:29 (CET)[répondre]
Si vous êtes d'accord, parfait ! Je vous laisse remettre la version qui vous sied le mieux. N'hésitez pas à utiliser intensivement le résumé de modification et la page de discussion la prochaine fois, afin de rendre ces débats plus traçables. Bonne journée. — Kvardek du (laisser un message) le 1 novembre 2019 à 20:19 (CET)[répondre]

Biais idéologique ? Vandalisme ? Pertinence de la chronique d'Émilie Nicolas[modifier le code]

Pourquoi Notification Onbec : avez-vous supprimé cette mention servant à préciser la contemporanéité de la critique d'Émilie Nicolas. De plus, si il devait y avoir une seule critique à mettre en avant dans cette article, est-ce vraiment celle d'Émilie Nicolas qui est la plus pertinente ?

En effet, en quoi la critique de Nicolas écrite en 2020 (!) vient-elle contextualiser le poème de Lalonde? C'est peut-être la critique la moins pertinente à inclure. On s'attend à lire la réception critique de l'époque et non pas à être parachuter dans la bien-pensance de 2020. C'est agaçant. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 76.69.226.130 (discuter), le 10 novembre 2020 à 04:29 (CET)[répondre]