Discussion:Sabbat (sorcellerie)

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The term Sabbath (witchcraft) comes directly from the Hebrew Sabbath. Anti-Semitic witch-hunters first applied the Hebrew term to gatherings of witches. 16 novembre 2008 à 16:03 (CET) Dan Holdgreiwe

Section "Dans le monde contemporain"[modifier le code]

Ces passages manquent singulièrement de références, voire s'apparentent à un travail personnel. Ainsi, le rapport avec le film de Kubrick m'apparaît pour le moins nébuleux. Guise (d) 30 septembre 2012 à 13:51 (CEST)[répondre]

Article Confus[modifier le code]

Au final qu'est-ce que le sabbat ? Que représente-t-il ? Quelle en est sa symbolique ? Comment se déroule la cérémonie (étapes) ? Quel en est le but ?

Beaucoup de travail, et merci de supprimer les délires des pseudo-catholiques, ne cherchant d'avantage qu'à instiller la peur des anciennes cérémonies, et de rendre encore plus opaque la connaissance sur le sujet (objectif recherché).

86.73.110.93 (d) 21 décembre 2012 à 16:14 (CET)Anthony[répondre]

Mais le diable apparait un peu plus tard comme un personnage sympathique, pas tellement satanique et cruel, mais plutôt aimable, comme dans le maitre et marguerite de Boulgakov ou le diable respecte Jésus et puni même mais sans jamais tuer ceux qui ne croient pas en l'existence du sauveur. Il en vient même à accomplir des actes justes en sauvant le maitre et en le ramenant à Marguerite.

Ce livre a été écrit sous la Terreur face à un mouvement anti-religieux.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Mylhaine C. (discuter), le 15 novembre 2016 à 00:17 (CET)[répondre]

Erreurs factuelles[modifier le code]

L'article contient la phrase suivante : "Le stéréotype du sabbat se forme vers 1400-1430 dans les Alpes françaises, plus précisément en Valais et les diocèses de Sion et de Lausanne". Hors, ni le diocèse de Sion ni celui de Lausanne ne se trouvent dans les "Alpes françaises". Le diocèse de Lausanne était pour sa part rattaché à la Savoie (qui n'était pas française).

Rectifié, merci. --Guise (discuter) 13 décembre 2017 à 15:41 (CET)[répondre]

Supprimer la section Interprétations des Para-sciences[modifier le code]

La section ne me semble pas pertinente. L'hypothèse de l'influence des anciens cultes, explorée par exemple dans l'ouvrage classique de Carlo Ginzbourg (qui malgré sa date de parution, mériterait ahma d'être exploité), peut être intégrée dans le corps de l'article : il ne s'agit pas de parasciences mais d'une question historique discutée. La parascience serait de considérer ces pratiques magiques comme avérées, réelles, efficientes, ce qui n'est pas la question. L'ouvrage de Margaret Alice Murray a été largement remis en cause avant que Ginzburg ne s'interroge sur le noyau pertinent. Une section historiographique peut rappeler ces débats. En l'absence de réaction, je supprimerai d'ici une semaine et ouvrirait la section historiographique avec l'intro du livre précité. Zythème Paroles dégelées 27 mai 2022 à 12:43 (CEST)[répondre]

Passage douteux en question :

Les cultes des religions païennes n’ont rien à voir avec le satanisme : c’est le christianisme qui voudra y voir le diable, qu’il assimilera à ce que les anthropologues appellent le « Dieu Cornu » (peut-être le Cernunos des Gaulois), divinité symbolisant la vie depuis les premières expériences religieuses des hommes et expression de la pensée magique au cours du paléolithique. Ce n’est qu’en 1303, dans un document où l’évêque de Coventry sera accusé de sorcellerie, que l’Église utilisera pour la première fois le terme de « diable » à propos du Dieu Cornu.

Un cercle de pierres à l'intérieur duquel ils[Qui ?] ont exécuté une danse rituelle est la seule trace tangible laissée par les participants au « sabbat ». Cette danse, au paléolithique comme dans certaines sociétés traditionnelles contemporaines, devait sans doute conduire les participants à un état proche de la transe de type chamanique. À partir du néolithique, avec la naissance de cultes liés à l’observation des astres et leur adoration en tant que divinités, la danse en cercle, un flambeau en main, fait sans doute son apparition, mais les deux types doivent coexister, selon les cérémonies liées aux périodes de l’année. Célébration des forces vitales de la Nature incarnées par le Dieu cornu, symbolisé par le cerf ou un autre animal à cornes tel le bouc ou le taureau, et dès les origines certainement personnifié par le chaman de la tribu s’ornant de ses attributs et portant un masque figurant l’animal, maître de la cérémonie, il s’agit d’un spectacle dont les participants sont les acteurs. Aussi la cérémonie se compose-t-elle d’un banquet où l’animal, de la préhistoire à l’antiquité, était sacrifié et consommé sur place. Des drogues extraites de plantes ayant un effet hallucinogène y étaient certainement consommées pour parvenir à la vision extatique durant la danse rituelle[réf. nécessaire]. En certains cas, chez les primitifs, une victime humaine, capturée dans une tribu ennemie, était probablement sacrifiée, d’où le cannibalisme rituel parfois évoqué.

Le « culte de Diane » évoqué est également appelé de manière générique « Ancienne Religion » et correspond aujourd’hui au néo-paganisme et à ses formes variées comme le néo-druidisme, ainsi qu'à ce qu’on nomme la Wicca dans le monde anglo-saxon. Margaret Murray soutient que les adeptes du culte de Diane se réunirent de tous temps par groupe de 13 formant un coven.