Discussion:Paul Veyne/LSV 17489
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[modifier le code]Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.
Des lettres à l'histoire
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- Auteur du livre « événement » Comment on écrit l'histoire, devenu un « classique », Paul Veyne est agrégé de grammaire.
Proposant : NAH, le 3 octobre 2019 à 13:12 (CEST)
Discussion :
Je suis désolé, je crois que je n'ai pas compris l'intérêt de l'anecdote. Tpe.g5.stan (discuter) 4 octobre 2019 à 16:48 (CEST)
- C'est que, quoique historien de renom, il est titulaire d'une agrégation qui n'est pas celle d'histoire. NAH, le 4 octobre 2019 à 20:59 (CEST).
- Dans ce cas, mettons l'accent sur cela : Bien qu'agrégé de grammaire, Paul Veyne est rendu célèbre par son livre « événement » Comment on écrit l'histoire (éventuellement : devenu un « classique) ». - Mylenos (discuter) 5 octobre 2019 à 14:33 (CEST)
- Je comprends mieux, merci NAH. J'aime bien la formulation de Mylenos. Tpe.g5.stan (discuter) 7 octobre 2019 à 18:04 (CEST)
- Dans ce cas, mettons l'accent sur cela : Bien qu'agrégé de grammaire, Paul Veyne est rendu célèbre par son livre « événement » Comment on écrit l'histoire (éventuellement : devenu un « classique) ». - Mylenos (discuter) 5 octobre 2019 à 14:33 (CEST)
Il n'est dit nulle part dans WP (ni, a fortiori, sourcé) qu'il s'agit d'un « livre événement » ou que PV lui doit sa célébrité. --Fanfwah (discuter) 14 octobre 2019 à 15:27 (CEST)
- Fanfwah : euh, « Événement plutôt isolé dans l'historiographie française, Comment on écrit l'histoire de Veyne propose d'unir un abaissement scientifique de l'histoire et de ses prétentions explicatives à une apologie de la notion d'intrigue [...] », ça ne veut pas dire « Comment on écrit l'histoire est un événement » ? NAH, le 21 octobre 2019 à 17:33 (CEST).
- Il est difficile d'affirmer quoi que ce soit, s'agissant d'un vocabulaire plus proche de la com que de la rigueur encyclopédique. Évidemment, toute parution de livre peut être qualifiée d'« événement » mais non, je ne pense pas que qualifier un ouvrage d'« événement plutôt isolé » revienne à en faire ce qu'on appelle un « livre-événement », et encore moins un « classique ». --Fanfwah (discuter) 21 octobre 2019 à 18:23 (CEST)
- Même si l'ouvrage n'a pas été un événement, l'anecdote garde son attrait. - Mylenos (discuter) 24 octobre 2019 à 00:39 (CEST)
- Suffit de la débarrasser de sa graisse « journalistique ». --Fanfwah (discuter) 24 octobre 2019 à 16:21 (CEST)
- OK. Désolé d'avoir trop graissé. NAH, le 24 octobre 2019 à 22:02 (CEST).
- Cela donnerait : " Bien qu'agrégé de grammaire, Paul Veyne est rendu célèbre par son livre Comment on écrit l'histoire (éventuellement : devenu un « classique) ». " - Mylenos (discuter) 29 octobre 2019 à 16:39 (CET)
- Encore une fois, rien ne dit et a fortiori rien ne source, ni dans l'article en gras, ni dans celui sur le livre, que c'est celui-ci qui a rendu son auteur célèbre. Le point de vue qui en fait un classique, qui figure dans l'article sur le livre, est nommément attribué, ce qui laisse plutôt penser qu'il n'est pas communément reçu. --Fanfwah (discuter) 30 octobre 2019 à 10:36 (CET)
- Cela donnerait : " Bien qu'agrégé de grammaire, Paul Veyne est rendu célèbre par son livre Comment on écrit l'histoire (éventuellement : devenu un « classique) ». " - Mylenos (discuter) 29 octobre 2019 à 16:39 (CET)
- OK. Désolé d'avoir trop graissé. NAH, le 24 octobre 2019 à 22:02 (CEST).
- Suffit de la débarrasser de sa graisse « journalistique ». --Fanfwah (discuter) 24 octobre 2019 à 16:21 (CEST)
- Même si l'ouvrage n'a pas été un événement, l'anecdote garde son attrait. - Mylenos (discuter) 24 octobre 2019 à 00:39 (CEST)
- Il est difficile d'affirmer quoi que ce soit, s'agissant d'un vocabulaire plus proche de la com que de la rigueur encyclopédique. Évidemment, toute parution de livre peut être qualifiée d'« événement » mais non, je ne pense pas que qualifier un ouvrage d'« événement plutôt isolé » revienne à en faire ce qu'on appelle un « livre-événement », et encore moins un « classique ». --Fanfwah (discuter) 21 octobre 2019 à 18:23 (CEST)
Sans faire de recherche, je ne vois rien de remarquable dans le fait qu'un agrégé dans une discipline littéraire devienne un professionnel d'une autre discipline littéraire : Normale Sup n'enferme pas ses élèves dans une discipline précise. Et en faisant quelques recherches rapides, on découvre que ce livre est en fait issu de la préface de sa thèse de doctorat[1] ; et que cette thèse relève de l'histoire la plus universitaire, ce que j'ai rajouté dans l'article. L'anecdote laisse entendre que Paul Veyne aurait déboulé dans le champ de l'histoire sans en être un spécialiste, un peu comme Susan Boyle dans la chanson de variétés, mais ce n'est pas le cas : il a publié dans ce domaine dès ses débuts et bien avant cet ouvrage. Seudo (discuter) 3 novembre 2019 à 10:26 (CET)
un peu trop promotionnel à mon goût. Paul Veyne n'est pas le seul historien moderne remarquable Ursus (discuter) 3 novembre 2019 à 17:29 (CET)
- Oui, toujours partante. L'anecdote ne le présente pas comme "le seul historien moderne remarquable" mais comme un grammairien devant sa notoriété à un ouvrage d'histoire. - Mylenos (discuter) 3 novembre 2019 à 23:46 (CET)
- Paul Veyne n'est pas grammairien puisqu'il a fait sa thèse sur l'histoire et non sur la grammaire : l'agrégation de grammaire est un diplôme professionnel pour aller enseigner les lettres. Vu le caractère très technique de cette agrégation, avec l'importance du grec et du latin, ça pouvait être une préparation pour aller faire ensuite de l'archéologie à l'École de Rome. Ou un moyen d'obtenir une bourse. Seudo (discuter) 4 novembre 2019 à 13:50 (CET)
- Il a pu faire sa thèse sur ce qu'il veut et devenir joueur de triangle mais il reste que préparer & obtenir l'agrégation de grammaire nécessite quelques compétences en la matière (outre grec, latin, linguistique voire logique mathématique...) que tout le monde ne possède pas, même des historiens. Et inversement, tous les forts en thème ou les linguistes distingués ne peuvent se transformer en historiens ou archéologues par l'opération du saint esprit, même si beaucoup de chemins en humanités se croisent.
- Maintenant, il y a 2 Non face à mon Oui, et c'est la loi du plus fort, euh, on est en démocratie. Cdmt' - Mylenos (discuter) 4 novembre 2019 à 16:48 (CET)
- Georges Ville, dont il est question dans l'article, a suivi grosso modo le même parcours : agrégé de grammaire dans la même promo que Veyne, Ecole françaie de Rome, thèse en histoire antique .. Ca n'a pas l'air exceptionnel. Abeille noire (discuter) 4 novembre 2019 à 17:54 (CET)
- Paul Veyne n'est pas grammairien puisqu'il a fait sa thèse sur l'histoire et non sur la grammaire : l'agrégation de grammaire est un diplôme professionnel pour aller enseigner les lettres. Vu le caractère très technique de cette agrégation, avec l'importance du grec et du latin, ça pouvait être une préparation pour aller faire ensuite de l'archéologie à l'École de Rome. Ou un moyen d'obtenir une bourse. Seudo (discuter) 4 novembre 2019 à 13:50 (CET)
- Oui, toujours partante. L'anecdote ne le présente pas comme "le seul historien moderne remarquable" mais comme un grammairien devant sa notoriété à un ouvrage d'histoire. - Mylenos (discuter) 3 novembre 2019 à 23:46 (CET)
Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001)
6 novembre 2019 à 13:00 (CET)
Nomen ad hoc : ton anecdote proposée le 2019-10-03 13:12:00 a été refusée. GhosterBot (10100111001)
6 novembre 2019 à 13:01 (CET)