Discussion:My Ladye Nevells Booke

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Bonjour Patachonf Émoticône
Pour moi, c'est bon : ce qui reste à « corriger » se fera en (re)lisant l'article, et on a un bon mois pour ça…
Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 29 septembre 2016 à 13:51 (CEST)[répondre]

Historique[modifier le code]

Sommaire et accessibilité[modifier le code]

Bonjour Patachonf Émoticône

Comme on l'avait observé pour les Études de Debussy, il faudrait modifier la présentation de la section « Détail des pièces », pour accéder plus facilement à chaque pièce (c'est long : il y en a quand même beaucoup…) et utiliser peut-être un {{Sommaire|niveau=2}} ?

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 22 septembre 2016 à 19:45 (CEST)[répondre]

Notification Flopinot2012 :, voui, j’avais pensé à la chose à un moment ou à un autre. Bon. Là, tu crois que c'est bon pour lancer la procédure AQ ? On a oublié des trucs métaphysiques de la mort qui tue, capable de relancer la guerre froide ? Est-ce que les polpoltos des wikitos serons aptent à pinailler sur autre chose que l'essentiel ? Patachonf (discuter) 23 septembre 2016 à 14:34 (CEST)[répondre]
Notification Patachonf : je me limiterai à un exemple symptomatique : Munsers Allmaine. Je cite :
« Modernisé en un Monsieur Alman par qui ?, il s'agirait peu clair de François, duc d’Alençon et plus tard duc d’Anjou référence souhaitée, soupirant d'Élisabeth – elle l'appelait little frogg référence nécessaire – et mort en 1584. Trois pièces réunies à la suite dans le Fitzwilliam qu'est-ce ? dont celle-ci, qui y apparaît sous le nom de Variatio (no 62) référence souhaitée forment donc trois étapes différentes pas clair : étapes de quoi ?. Semble dater des années 1580 phrase incomplète. »
Pas une seule référence sur cette pièce. C'est rédhibitoire (et comme disait Pierre Desproges, « dans rédhibitoire, il y a raidi… qui signifie Toujours prêt ! ») Émoticône
J'ai corrigé deux-trois fautes d'orthographe, mais ce n'est rien du tout. Comme je te l'ai déjà conseillé, il faut, le plus possible, des phrases référencées / sourcées / etc. Pour commencer, donc, il faut des phrases : « Uniquement dans le Nevell », ce n'est pas une phrase. Le ridicule des précieuses qui demandent « Voiturez-nous ici les commodités de la conversation » ne doit pas nous faire verser dans l'excès inverse : « Au pied, ma belle, et do do la mi ».
Quand l'article déclare « On pense que », le parterre gueulera (« d'une voix unanime », n'est-ce pas ?) « Qui ? Qui ? »
Et quand le débat s'orientera vers le fameux « Je ne suis pas heureuse » de Mélisande, les coucous du poulailler renchériront « Nous non plus ! »
Je suis persuadé (après avoir consulté Antoine Goléa) qu'il existe une littérature musicologique attestant de l'importance et de la postérité de My Ladye Nevells Booke : il faut y recourir. Et il faudrait encore que cela se retrouve en Résumé Introductif.
Voilà quelques pistes pour mettre un peu de bleu dans ce ciel tout en grisaille — tu n'as pas tort de te préparer pour une « guerre froide » (à tout prendre, une douche froide ?) puisque l'hiver approche.
Bon courage. Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 23 septembre 2016 à 20:01 (CEST)[répondre]

Questions diverses

Bonjour Patachonf Émoticône

Beaux progrès pour l'article : ça se présente beaucoup mieux. En fait, je pense qu'on peut tenter l'aventure, maintenant.

Je reste un peu mitigé pour les points suivants :

  1. autant je suis un maniaque des liens-en-bleu (pour la raison que tout le monde ne connaît pas l'accord pythagoricien, et que l'article existe) autant je ne suis pas convaincu de la nécessité de préciser les dates de naissance et de mort des personnes mentionnées, surtout entre parenthèses, surtout quand ces dates sont vagues, et surtout noté « († 1601) » par exemple.
  2. un détail, mais je me pose la question : pourquoi le mot pavane est-il quasi-systématiquement écrit avec majuscule ? Si c'est le titre, surtout en anglais, je comprends. Mais quand il s'agit de la forme (pavane et gaillarde) je ne pense pas que la majuscule soit due.
  3. ça me chiffonne de ne pas avoir une section « Postérité », de s'arrêter à un commentaire détaillé (ô combien !) des 42 pièces. Ça me chiffonne d'autant plus que les Variations sur Sellingers Rownde sont une partition-événement, que Charles Villiers Stanford a aussi réalisé une adaptation, qu'il y a certainement d'autres exemples. Est-ce qu'on n'aurait pas orchestré ces pièces, d'ailleurs ? (comme cela paraîtrait infiniment plus justifié pour des danses et pièces de caractère que pour des Études…) Le danger, c'est qu'il existe peut-être des centaines d'arrangements plus ou moins célèbres, plus ou moins inspirés — mais, si c'est le cas, quelle impasse !

Enfin, ce sont des détails. J'ai mis Goléa en « Ouvrages généraux ». Je ne détesterais pas d'y trouver Guy Sacre aussi… Enfin, chacun renvoie vers les ouvrages cités comme il l'entend. Il y a encore des phrases sans verbe, mais on peut les corriger en cours de procédure de labellisation (ou laisser d'autres utilisateurs les corriger Sourire diabolique) et des opinions et citations à référencer (Glenn Gould, par exemple) mais je m'attends à ce que ce soit fait très bientôt. Pour le reste… on verra bien !

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 26 septembre 2016 à 12:41 (CEST)[répondre]

Notification Flopinot2012 : Okay. On laisse dormir quelques jours et tu me dis ce qu'il faut faire ensuite, disons mercredi ou jeudi. a+ Patachonf (discuter) 26 septembre 2016 à 13:08 (CEST)[répondre]

« Dites-le avec des citations »[modifier le code]

Bonjour Patachonf Émoticône

Petite recherche dans


ô divine surprise, il y a un vrai commentaire, plein de formules heureuses :

p.119 :

La coupure était très nette entre la musique du peuple et la musique des cours. La musique du peuple, une des plus anciennes de l'Europe, celle qui, la première au Moyen Âge, devait donner droit de cité à l'harmonie de la tierce et de la sixte, était ignorée, sinon méprisée des musiciens professionnels (etc.)

Avec William Byrd, tout changea. C'était un musicien de génie, un des plus complets et des plus vastes que l'Angleterre ait jamais produits, un des plus importants du XVIe siècle aussi. La musique savante, certes, ne changea pas de destination. Elle resta le privilège des hautes castes de la société. Mais elle élargit incomparablement son horizon : Byrd était un grand polyphoniste et, sans que son œuvre eût atteint quantitativement celle d'un Lassus et même d’un Palestrina, elle les égalait certainement en qualité, tout en gardant son originalité, par sa variété et la richesse, très moderne pour l'époque, de son écriture déjà harmonique. La leçon du Moyen Âge et des premiers âges de la polyphonie n’était pas

p.120 :

oubliée, et le son de Byrd est bien celui d'un fils de cette musique des landes et des forêts primitives (etc. Considérations sur l'architecture des cathédrales en Angleterre)

Néanmoins, ce n'est pas par la musique religieuse que Byrd s'est acquis son immense importance dans l'histoire de la musique. La plus célèbre et aujourd'hui encore la plus vivante de ses œuvres est un volume pour le virginal ou le clavier, ce merveilleux « My Ladye Nevells Book », qui a été réédité au XXe siècle et qui montre à quel point toute la musique pour clavier, composée dans tous les pays depuis ce temps lointain, est redevable de son développement au génie de Byrd. Par ce seul aspect de son travail créateur, Byrd atteint à l'importance de Palestrina dans la musique religieuse, à celle de Josquin et de Lassus dans le domaine de la polyphonie. Cette Lady Nevell, comme on aimerait savoir qui elle était ! Mais on peut aisément se l'imaginer ; et son portrait, fondé sur nos connaissances de l'histoire, de la sociologie, du tableau psychique de l'Angleterre, permet de situer la musique anglaise de l'époque de merveilleuse façon : détournée du monde et de ses agitations comme, au fond, la musique espagnole, mais détournée non pas dans une protestation dramatique et désespérée, mais dans l'ignorance voulue de ses drames et de ses désespoirs, dans la préservation d'une vie privée qui veut tout ignorer de ce qui peut troubler sa quiétude, sa pureté, sa suavité.

De ce détournement,  la jeune fille de style ancien a toujours été l'incarnation : la jeune fille, sa pureté, son angélisme, sa naïveté, son imagination, ses rêves. Où rêve-t-on mieux que devant un clavier, dans l'intimité permanente où on peut rester

p.121

avec lui ? La musique pour clavier de Byrd est une musique de raffiné et d'esthète, une musique faite pour résonner à l'abri des rideaux de soie crème ou grise de salons à hauts lambris, au fond de parcs immenses qui tendent un espace spirituel et matériel infranchissable entre le monde et le rêve, entre les passions déchaînées et la pureté.

(Parallèle avec les pièces de Shakespeare…) Byrd nous livre son chef-d’œuvre dans ces délicates fantaisies, rythmes de danse et volutes mélodiques, d'une écriture aussi précise qu'aisée, aussi articulée que variée, sur laquelle plane toujours l'atmosphère de ce monde englouti pour lequel elle a été créée.

À copier-coller-attribuer sans modération ! Émoticône

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 23 septembre 2016 à 17:13 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur My Ladye Nevells Booke. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 3 avril 2018 à 21:38 (CEST)[répondre]