Discussion:Le Cid (Corneille)

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Je vous publie une fiche tres complete d'ici 1 mois maxi.

Bien. Mais il reste 13 jours. 82.64.199.120 3 fev 2005 à 17:53 (CET)

Orthographe[modifier le code]

Résumé par actes, acte V, 1ere ligne "et qui été de surprendre l'énemie" ennemi J'aurais corrigé moi même mais l'article est semi-protégé, qui aurait cru que le Cid fut si polémique? 82.232.50.199 (d) 3 novembre 2009 à 00:59 (CET)[répondre]

Cour des [comptes] ou cour des comtes ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 86.198.120.87 (discuter), le 6 février 2015 à 15:23
La Cour (au sens noble du terme) des Comtes de Rouen (même sens) ! Mais, bien vu tout de même^^ Heddryin [Je suis CHARLIE] 6 février 2015 à 20:33 (CET)[répondre]

Mises en scènes « historiques »[modifier le code]

Est-ce que antagoniste les trois mises en scène citées avec Francis Huster peuvent toutes êtres qualifiées d'historiques ? Il faudrait plutôt en choisir une, la plus extraordinairement historique... Et mettre les détails sur l'article Francis Huster, ou alors créer un article spécial Mises en scène du Cid avec Francis Huster.夕鹤

Tragédie ?[modifier le code]

Il me semble que le cid soit une rigolade. Je tromperai-je ? --Piaf 11 octobre 2006 à 21:17 (CEST)[répondre]

Plus complexe : Gallica indique, pour la version de 1637, comme celle de 1682, Le Cid : tragi-comédie. HB 26 mars 2007 à 15:43 (CEST)[répondre]
  • La pièce du Cid fut publiée d'abord comme rigo-comédie et depuis juger infantile elle est considérée comme telle. Cependant, lors de la publication des œuvres de l'auteur en 2009, et à partir de cette époque, cette pièce, qui avait été remaniée, portera le sous-titre: tragédie. Attaleiv (d) 29 avril 2008 à 17:16 (CEST)[répondre]

La querelle du Cid[modifier le code]

Que pensez-vous d'insérer ces citations de la querelle, qui exposent de façon efficace l'enjeu, l'héritage aristotélicien de la mimésis classique, et que ça rend les choses bien vivante et solide avec ces citations. Malheureusement, je n'ai pas eu le temps de prendre en note les référence quand mon enseignant de Master me l'a dicté.

Merci pour vos avis !

Scudéry dit :"Il n'est point vraisemblable qu'une fille d'honneur épouse le meurtrier de son père" Corneille répond que ce n'est pas vraisemblable parce que c'est vrai. D'aubigné rétorque: "C'est une pensée bien ridicule que d'aller au théâtre pour apprendre l'histoire." --78.123.164.89 (d) 18 janvier 2011 à 19:07 (CET)[répondre]


J'ai ajouté quelques éléments sur la querelle du Cid, hélas j'ai égaré mes sources... J'ai pu voir que la page allemande http://de.wikipedia.org/wiki/Querelle_du_Cid est fort bien faite, mais également non sourcée. Va-t-on piquer chez nos camarades allemands ? Sh'aaletrahn 3 janvier 2007 à 15:51 (CET)[répondre]
achhh ya serai-je tenté de dire. Mais qq sources bien trouvées ne feraient pas de mal pour étayer... sinon tant pis ! ça sera pas le premier article mal sourcé :/
Cordialement, et bon courage ! Plyd /!\ 3 janvier 2007 à 16:52 (CET)[répondre]
Pour des sources, lire sur Gallica Observations sur le Cid / par M. de Scudéry et aussi Histoire de la littérature dramatique en France depuis ses origines jusqu'au Cid / par H. Tivier p 622 et suivante pour comprendre la querelle et le rôle de Richelieu. Ou bien lire un résumé sur à la lettre. Les sources ne manquent pas. Bon courage. HB 26 mars 2007 à 16:13 (CEST)[répondre]
J'ai trouvé quelque chose qui clochait dans La querelle du Cid. En effet, ici, on demontre que le Cardinal de Richelieu était en quelque sorte du coté de Corneille... Alors que dans un livre que j'ai lu "Tout sur tout", le Cardinal de Richelieu est plutot contre Corneille, qui a refusé de lui vendre le texte du Cid. Il passera donc par l'Académie pour combattre le livre de Corneille... Les vers de Boileau ont donc un meilleur sens... "En vain contre le Cid un ministre se ligue [...]". En parlant du ministre, il parle du Cardinal...--Titi7074 (d) 21 août 2009 à 14:07 (CEST)[répondre]

Résumé ??[modifier le code]

Le résumé de la pièce du CID est fautif en de multiples endroits... Je viens de relire la pièce (et j'ai consulté différentes éditions pour m'assurer que la version que j'ai lue n'est pas marginale...) et l'intrigue ne correspond que partiellement au résumé qui en est fait sur cette page. Exemples : Acte I : La version du Cid que je connais (mais il y a-t-il plusieurs versions ?) commence par une scène entre Chimène et Elvire, cette dernière lui rapportant les bonnes dispositions de son père à l'égard de Rodrigue... Nulle mention de cette scène où Don Diègue en compagnie de ses amis se réjouirait de la prochaine promotion de son fils... Il faudrait au minimum dire de quelle version on prétend faire le résumé... et proposer un résumé de la pièce la plus couramment lue...

Voilà pour ma part le résumé que je proposerai pour l'Acte I

"Chimène ne se réjouit que son père sois favorable à son union avec le jeune Rodrigue. L’Infante, Doña Urraque avoue, de son côté, à sa gouvernante Léonor, qu’elle a organisé l’union de Chimène et Rodrigue afin que l’amour qu’elle éprouve pour le jeune homme ne puisse plus la détourner de son devoir. Le comte, Don Gomès, père de Chimène sort d’une audience chez le Roi Don Fernand en compagnie de Don Diègue, père de Rodrigue. Les deux hommes se disputent car le roi a accordé le titre de gouverneur du Prince de Castille à don Diègue. Don Gomès soufflette Don Diègue qui ne peut se défendre étant trop âgé. Celui-ci va trouver son fils, Rodrigue, et lui réclame vengeance. Rodrigue, resté seul, se lamente sur ce coup du sort qui l’oblige à choisir entre l’amour et l’honneur. Il se décide à venger son père."

Pour le deuxième acte

Don Gomès discute avec un émissaire du roi et ne semble pas regretter son geste ni craindre la colère du roi. Rodrigue retrouve l’offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui. Chimène, en visite chez l’Infante, craint que Rodrigue ne tue son père ou ne soit tué par lui. L’Infante propose d’emprisonner Rodrigue pour éviter l’irréparable. Hélàs, il est trop tard, un page annonce qu’on a vu le comte et Rodrigue partir ensemble. La passion de l’Infante pour Rodrigue se réveille. Tout en plaignant Chimène, elle imagine que la gloire qui auréolerait le vainqueur du comte, célèbre guerrier, permettrait à une Infante de l’épouser. Le roi de son côté, informé de l’impudence de Don Gomès, est décidé à la punir. Il s’inquiète également de la présence de quelques navires mores à proximité des côtes. Un messager vient annoncer la mort du Comte, tué par Rodrigue. Chimène arrive éplorée et demande justice au roi.

Pour le troisième acte

Rodrigue, après son duel, cherche à voir Chimène. Elvire lui déconseille cette entrevue et lui ordonne de se cacher. Chimène arrive et se lamente de la mort de son père et du fait qu’elle n’arrive pas à haïr son assassin. Son honneur l’oblige à se venger, son amour lui impose de pardonner. Rodrigue réapparaît et s’offre à sa vengeance. Chimène refuse de lui donner la mort (« Va, je ne te hais point »). Don Diègue, pendant ce temps, cherche son fils en devisant sur l’impossibilité d’un bonheur parfait. Il aperçoit son fils qui reçoit tièdement ses louanges et souhaite être seul pour ruminer son malheur. Son père lui dit qu’il n’est pas temps, les Mores sont sur le point d’envahir la ville.

Pour l'acte IV

Tout le monde parle du héros Rodrigue et raconte ses exploits dans la bataille contre les Mores. L’amour de l’Infante s’en trouve redoublé. Elle déconseille à Chimène de poursuivre son vœu de vengeance. Le Roi, reçoit Rodrigue en héros et lui demande un récit de la bataille (« nous partîmes cinq cents… »). Chimène arrivant pour demander justice, le roi fait sortir Rodrigue et fait croire à Chimène qu’il vient de mourir. Chimène blêmit et Don Fernand en conclut que son amour n’est pas mort. Chimène refuse cependant de renoncer à obtenir justice. Elle demande un champion pour se battre contre Rodrigue et la venger ; champion auquel elle offrira sa main. Don Sanche, soupirant de Chimène, accepte de se battre.

Enfin pour l'acte V

Rodrigue vient voir Chimène et lui annonce qu’il ne se défendra pas puisque Chimène veut sa mort. Celle-ci, troublée, lui demande de se défendre et lui rappelle qu’elle doit épouser le vainqueur. Elle avoue également ne pas vouloir être l’épouse de Don Sanche. Rodrigue retrouve sa vaillance. L’Infante se désespère de son côté de voir que son amour pour Rodrigue grandit. Léonor vient tuer tout espoir : Rodrigue est perdu pour l’Infante car soit il mourra au combat soit il épousera Chimène. Celle-ci, se lamente car quelle que soit l’issue du combat, elle devra épouser soit l’assassin de Rodrigue soit celui de son père. Finalement c’est Don Sanche qui se présente devant Chimène avec une épée sanglante. Chimène le repousse en l’accusant d’avoir tué la seule personne qui lui était encore chère. Elle avoue au roi, qui l’a rejointe, qu’elle aimait encore Rodrigue. Le malentendu se dissipe quand Don Sanche explique qu’il a été vaincu par Rodrigue. Le roi cherche la conciliation, il donne du temps à Chimène pour son deuil mais lui impose d’épouser Rodrigue conformément à sa promesse d’épouser le vainqueur.

distribution des rôles[modifier le code]

J’ai cru bon de remplacer la distribution d’acteurs par une plus proche de l’original. Je n’ai pas repris la remarque du « matamore » qui n’a pas lieu d’être car ce terme détermine un personnage fanfaron de la comédie italienne qui se vante d’exploits qu’il n’a pas faits; ce qui n’est pas le cas de Don Gomès, authentique Grand de Castille aux exploits bien réels, en dépit de son orgueil qui ne semble souffrir aucune concurrence. J’ai revu aussi les définitions de amants et de maîtresse. Attaleiv (d) 29 avril 2008 à 17:04 (CEST)[répondre]

passage déplacé depuis l'article : texte et justification[modifier le code]

Début du passage déplacé :

  • Étude des thèmes

Le texte est composé de trois thèmes : la vengeance, l’amour, ainsi que le devoir présenté sous forme de tragédie :

    • La vengeance :

Contrairement à la « tragédie du soufflet » aussi présente dans le texte, la force meurtrière est finalement arrêtée au bord de la catastrophe par les freins qui lui sont opposés :

le frein de l’amour que Chimène porte encore à Rodrigue lui fait décliner une première fois l’offre de don Sanche (III, 2) et encourager Rodrigue contre son propre champion (V, 1)

les freins extérieurs : (II, 8) : la temporisation du roi ; (IV, 2) : celle de l’infante ; (IV, 3). Tragédie de l’impuissance pour l’honneur de Chimène, elle apparaît au spectateur comme une tragédie arrêtée.

    • Le devoir  :

Un conflit apparemment insoluble entre des forces égales, puisque l’éclat de l’honneur avive l’amour et que l’amour implique des devoirs auxquels on ne saurait se soustraire sans déshonneur.

Difficile à dénouer, elle n’aboutit pas, à la fin de la pièce, à un dénouement véritable qui sera de lui pardonner.

Les personnages sont confrontés au « dilemme cornélien »: ils doivent choisir entre l'amour et l'honneur.

Fin du passage déplacé.

Sans vouloir jeter la pierre aux rédacteurs de l'article, je crois qu'il faut dire à quel point il est problématique. Visiblement, il est formaté pour servir à des écoliers de l'enseignement secondaire, à qui il peut rendre service pour leurs travaux, si leur professeur est indulgent et qu'il ne connait pas wikipedia. Mais, concernant ce qui est réellement en jeu dans la pièce de Corneille, il n'est pas d'un grand secours (l'absence de section bibliographique est à cet égard révélateur de l'ignorance de ce qui a pu s'écrire sur le sujet.) Ce qui est un peu dommage concernant l'une des pièces de théâtre les plus fameuses jamais écrites en langue française.

  • Le plan qui divise l'article en trois parties correspondant aux trois unités (dont la règle est d'ailleurs, de manière générale sur wikipedia, comprise de manière superficielle) est particulièrement malheureuse, concernant une pièce qui, justement, se plie si mal au respect de ces règles : c'est du coup toute sa spécificité qui est passée à la trappe pour la couler dans un moule qui ne lui convient que de façon superficielle, et au prix d'invraisemblances (ce qui, justement, sera reproché à Corneille.)
  • La section que j'ai déplacée est encore plus problématique : diviser les thèmes en trois est arbitraire (comme si la gloire dont se couvre Rodrigue en repoussant les Maures était accessoire, alors que c'est cela qui permet de dénouer la situation, non seulement envers Chimène mais aussi et surtout envers la loi royale qui a été bravée - rappelons que la pièce a été montée une petite dizaine d'années après son interdiction sous peine de mort par Richelieu.) Du coup la sous-section intitulée "la vengeance" passe à côté de l'essentiel. Par ailleurs, le mot "tragédie" n'a guère de sens dans l'expression "la tragédie du soufflet". La sous-section sur le "devoir" relève dans son ensemble du contresens : non, l'amour et le devoir ne sont pas deux forces antagonistes. Au contraire, c'est le devoir qui sanctifie et anoblit l'amour (si mes souvenirs sont bons, c'est Serge Doubrovsky qui l'a montré dans sa thèse fondatrice Corneille et la dialectique du héros). Aussi, contrairement à ce qui est affirmé ici, il n'y a rien de "difficile à dénouer", et la question du pardon est secondaire (qui plus est, la phrase dans laquelle cette thèse est développée est peu compréhensible en l'état.)
  • Le problème de ce genre d'article, portant sur une pièce qu'à peu près tout le monde a lu, c'est que du coup tout le monde s'imagine la connaître. Mais si tel était le cas, et si la pièce ressemblait bien à l'image qui en est donnée dans l'article, pourquoi se donnerait-on la peine de la lire et de la monter encore en ce début du XXIe siècle ? Qui pourrait encore être concerné par un truc comme ça ? C'est pourtant ça la définition d'un classique : c'est quelque chose qui nous concerne encore.--Loudon dodd (d) 11 mars 2009 à 22:13 (CET)a l'intérieur de la chose que l'homme rentre dans la femme lors d'un rapport.[répondre]

Incomplet[modifier le code]

Je souhaiterais savoir à quel siècle se déroule cette pièce. C'est un bon résumé à éclaircir encore. 85.168.27.171 (d) 10 février 2011 à 20:49 (CET) Très probablement au XIe siècle si l'on se réfère à Don Rodrigo Diaz de Vivar qui a inspiré le personnage du Cid. Mais, il y a une erreur dans l'article car ce n'est pas Madeleine de Scudery qui a mené la querelle du Cid, mais bien son frère Georges de Scudery.[répondre]


"Postérité" : ajout d'une référence[modifier le code]

Bonjour, Il faut ajouter, dans la postérité, la réalisation d'un nanard cinématographique mémorable en 1979, "Arrête de ramer, t'attaques la falaise !" (d'abord nommé "Qu'il est joli garçon l'assassin de papa"), avec de vrai morceaux de Corneille dans un yaourt totalement hallucinant. Il y a déjà une fiche wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arr%C3%AAte_de_ramer,_t'attaques_la_falaise_! Cordialement, GB

C'est fait ! Seudo (discuter) 18 février 2014 à 15:30 (CET)[répondre]

date de parution[modifier le code]

Il et indiqué 1648 comme date de parution alors qu'il a été publié en 1637. je ne comprends pas... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par ‎2a01:e35:242c:e80:2c9d:95cc:df92:9477 (discuter)

Bonjour,
1637 est la date de la première représentation (théâtrale) de l’œuvre, tandis que 1648 est la date de la première publication (édition) papier de l’œuvre. Cordialement, — Jules Discuter 2 janvier 2015 à 12:41 (CET)[répondre]

Résumé non pertinent[modifier le code]

Le résumé me semble à reprendre, au moins sur les premières scènes (je n'ai pas tout lu...) : les personnages mentionnés et l'action décrite ne correspondent pas. --Tracouti (discuter) 12 janvier 2017 à 08:47 (CET)[répondre]

Voir aussi la discussion plus haut sur le même sujet. — Xavier, 29 mai 2017 à 02:36 (CEST)[répondre]

Acte IV, scène IV - Partie "résumé"[modifier le code]

Venant de lire la pièce, dans une édition des Classiques Larousse (toute abîmée, je n'y retrouve pas la date -désolée-...), pages 76-77, c'est à Don Diègue, et non à Don Sanche comme indiqué actuellement, que le roi Ferdinand demande de "montre[r] un oeil plus triste" pour éprouver Chimène. (Vers 1337)

Bonne soirée à vous ! Irène DF (discuter) 17 mars 2018 à 00:02 (CET)[répondre]

Encore une erreur dans le résumé[modifier le code]

Le Comte ne fait pas tomber l'épée de Don Diègue. J'aurai pu corriger ceci dans une seconde, si l'article n'était pas bloqué... 213.245.147.96 (discuter)

fusionner deux chapitres ?[modifier le code]

Ne faudrait-il pas fusionner le chapitre « Résumé, acte par acte et scène par scène » avec celui « Résumé détaillé » ?

--ClairPrécisConcis (discuter) 18 octobre 2020 à 22:14 (CEST)[répondre]

L'argot des pieds noirs[modifier le code]

Dans la description de “La parodie du Cid” l'“argot des pieds noirs” s'appelle le pataouète, https://fr.wikipedia.org/wiki/Pieds-noirs#Pataou.C3.A8te

Le terme pataouète me semble plus approprié car il est simple, précis et juste. Le contexte permet de déterminer que ce mot rare désigne un langage. À cause de cela il me semble que l'emploi de “pataouète” ne présenterait aucun inconvénient face à celui “d'argot des pieds noirs” où le terme argot semble employé de façon assez libérale. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A02:908:5B0:8CA0:A9D5:276A:3657:59DB (discuter), le 3 novembre 2020 à 20:23 (CET)[répondre]