Discussion:Contrefaçon
Article à retirer du portail Droit ?
[modifier le code]Cet article n'a rien à faire dans le portail Droit vu qu'il traite de la contrefaçon au sens courant et non au sens juridique.
- Contrefaçon au sens courant = reproduction ou imitation d'un produit de marque. C'est de cela que parle l'article.
- Contrefaçon au sens légal = toute utilisation d'un produit (matériel ou non) non autorisée (définition légale )
Contrairement à une idée largement répandue - et répétée dans l'article Wiki -, le délit de contrefaçon n'exige pas de fabriquer soi-même son produit. Par exemple il n'y a pas besoin d'utiliser une copie modifiée d'un logiciel pour que cela constitue une contrefaçon. Utiliser gratuitement un logiciel payant (par crack ou tout autre moyen) constitue une contrefaçon dès lors que c'est une utilisation non autorisée par l'auteur. Le fait que le logiciel cracké soit l'officiel, téléchargé sur le site de l'auteur, ne fait pas disparaître la qualification de contrefaçon.
La dernière section de l'article essaye de rectifier le tir concernant le sens juridique, mais vu que tout ce qui précède parle des rolex chinoises - qui ne sont pas représentatives du délit de contrefaçon - le lecteur ne va rien comprendre.
En attendant que l'article soit rectifié en ce sens (je ne me sens pas le courage de le faire ce soir), je suis d'avis de le retirer du portail Droit vu qu'il ne traite pas du juridique. --Kappalambda (discuter) 10 juillet 2014 à 23:43 (CEST)
Au sujet de la "copie pirate" (téléchargement en ligne, etc.)
[modifier le code]Si l'on en considère l'un des sens donné au mot pirate par le dictionnaire [Trésor de Langue Française Informatisé], le piratge est un "individu qui s'empare du contenu des oeuvres artistiques ou intellectuelles en les copiant ou les plagiant, ou en les reproduisant illicitement." Il s'agit d'un sens "Vieilli", donc complètement indépendant du débat moderne sur le piratage. Donc le "glissement sémantique" est en fait une sorte de retour à un sens ancien. --AZ, 14 déc 2005
Certainement AZ, mais en ce qui concerne le rapport "piratage" / "piraterie", la question n'est pas résolue par tes recherches. "Piratage" est peut-être une invention afin de ne pas traduire "piracy" par piraterie, justement. --EvrenK 24 octobre 2006 à 10:35 (CEST)
Un truc à voir et qui concerne wiki : On dirait un truc de piratage à la page : http://seclin.tourisme2.free.fr/Mag-AMP_1.pdf C Quoi ?
Confusion Hacker - Pirate (traité)
[modifier le code]Je conseil la lecture de l'article Hacker, la lecture de la définition du mot hacker et celle du mot pirate informatique. Un pirate informatique et un hacker ne sont pas du tout animés du même type d'intention et ne correspondent pas du tout à la même définition !! Faire une redirection de pirate informatique vers hacker ne me parait pas du tout approprié. Tant qu'à faire une redirection, je pense que rediriger vers le terme cracker est plus approprié. Je pense qu'il est nécessaire de remettre en question cette redirection ... Vos opinions ...? Mika 22 nov 2004 à 22:26 (CET)
Je suis tout à fait d'accord. JiM 10 jun 2005 à 22:32 (CET)
- Idem. Je me demande qui a fait l'amalgame entre hacker et cracker (pirate). C'est inadmissible ! ©éréales Kille® | |☺ 10 jun 2005 à 22:38 (CEST)
J'ai restauré les articles dans leur état initial. Pirate informatique redirige vers cracker et hacker a retrouvé sa virginité ! ©éréales Kille® | |☺ 10 jun 2005 à 22:42 (CEST)
L'histoire des chapeaux
[modifier le code]Merci pour tes modif Tieno. Concernant l'histoire des chapeaux, je pense que le white-hat hacker n'a pas sa place dans cet article, car contrairement à ce qui est dit, un white hat hacker n'est pas un délinquant-criminel. Epommate 23 jun 2005 à 23:00 (CEST)
- Il faut a mon avis au moins en parler pour expliquer qu'eux ont choisi de travailler dans le sens des lois. Et puis la difference entre chapeaux blancs et les autres peut etre tres reduite. Aussi, certains black hats sont devenus white hats avec l'age, le temps, l'experience, la lassitude, voire peut etre et surtout la taule ! Je pense qu'on peut en faire reference dans cet article, au moins pour dire que ca existe et que c'est le cote pile des chapeaux noirs, mais c'est certain qu'on n'a pas besoin de s'y attarder. De toute facon, on en parle aussi (peut etre pas assez) dans l'article sécurité informatique. --Tieno 23 jun 2005 à 23:44 (CEST)
- Le problème c'est que la dénomination complète est white hat hacker et black hat hacker, avec le terme hacker pris dans le sens pirate informatique. Et si les white hat travaille dans le sens des lois, il ne peuvent être délinquant et de ce fait pirate informatique... Je pense que Linus Torwald et Richard Stallman sont des white hat et donc la notion recoupe celle de hacker. Mais je viens de trouver une autre notion qui précise qu'un white hat cherche des failles (logiciels, réseau) pour alerter les organisme de sécurité (cette définition me convient mieux). A-t-on des exemple de white hat ? (hormis l'omniprésent Kevin Mitnick). Epommate 24 jun 2005 à 00:03 (CEST)
- La difficulté c'est que les chapeaux blancs peuvent être considérés comme des pirates. Prenons l'exemple de Guillermito, un expert en virologie qui a démontré que l'antivirus Viguard ne bloquait pas "100% des virus connus et inconnus", comme le clamait haut et fort son éditeur [1]. Il a été condamné alors qu'il ne souhaitait que faire avancer les choses. En fait, la définition de "white hat" ne me parait plus si bonne que ça. Je viens de lire ailleurs que les white hats hackers ont pour but « d'aider à l'avancée et l'amélioration des technologies informatiques, sans déteriorer les données auxquelles ils auront accès durant leurs intrusions ». Ainsi, lorsqu'un white hat s'introduit sur un système pour en démontrer sa faiblesse, ou cherche des failles (logiciels, réseau) sans autorisation, même si c'est pour le bien dudit système ou de la communauté, il est généralement, suivant le point de vue du propriétaire du système (et aussi la plupart du temps du point de vue légal), un pirate. Encore un autre exemple de white hat est le pote de Kevin, Tsutomu Shimomura. Sur en: il y a aussi un article sur Horatio Huxham. Tiens, juste pour info, je viens de découvrir l'article Six Thinking Hats. --Tieno 24 jun 2005 à 10:25 (CEST)
- Même si mon arrivée est tardive, sur ce point je suis d'accord, le white hat a sa place dans cet article, pour montrer la différence avec black hat. Le terme pirate informatique lui convient aussi puisque la définition adoptée pour "pirate" (qui est: personne qui contourne ou détruit les protections d'un logiciel, d'un ordinateur ou d'un réseau informatique) ne mentionne pas l'utilisation qui est faite des failles eventuellement découvertes. Donc, white hat ou black hat, tout deux sont des pirates.--¤ Mzelle Laure 13 septembre 2006 à 21:37 (CEST)
Différenciation hacker/cracker
[modifier le code]Je crois que ce n'est pas la peine de vouloir différencier hacker et cracker. Les cracker se disent tous hackers et monsieur tout le monde ne fait aucune différence entre les deux et d'ailleurs les journalistes sont les premiers à faire cet amalgame!
- Dans ce cas, ce n'est pas la peine de faire une encyclopédie :-) Nous ne pouvons pas nous contenter de définir les choses de manière vague ou imprécise. Les termes hacker, cracker et pirates informatiques existent et sont défini de différentes manières par différents groupes. C'est à nous de déméler cette pelote de laine. Et si tu venais participer en t'inscrivant ? Epommate 23 jun 2005 à 23:22 (CEST)
- Je pense pareil : Beaucoup de mes amis qui se considèrent comme Black hats n'acceptent pas que le terme "cracker" leur soit adressé. Aris 28 jun 2005 à 00:52 (CEST)
Il y a une répétition entre la Catégorie Classification et Controverses (notamment White Hat et Black Hat Hackers). Il serait utile de réorganiser l'article
Manque de précision dans les termes
[modifier le code]Un exemple :
Le mot hacker désigne simplement en Outre-Atlantique une personne apte à modifier astucieusement un objet pour le destiner à un autre usage que celui prévu initialement.
Autrement dit si je prends un ticket de bus et que j'en fait un avion en papier je suis un hacker ? Il faut employer des termes précis, comme "logiciels", "applications", "code", "failles", etc... quitte à renvoyer aux définitions du wikipedia.
Le terme de pirate ?
[modifier le code]Bonjour;
Le terme de pirate dans l'informatique est employé à tort et à travers.
En effet, dans ce mot on inclus usuellement aussi bien des contrefacteur de produit numérique ( voir même de produit non numérique : bande dessiné scanné ) que le délit consistant à s'introduire dans un système informatique sans autorisation (Article 323-1 du code pénal).
Pourquoi ce terme c'est généralisé ?
- Les victimes de contrefaçon (souvent de grand groupes industriels réalisant d'énormes bénéfices) ont pu noircir le trait des contrefacteurs qui ne font que perpétrer un délit probablement vieux comme la première pièce de monnaie.
- Les média (parfois détenu par des victimes de contrefaçon) peuvent ainsi utiliser un terme plus glamour.
- Les contrefacteurs et les Hackers à la petite semaine qui ainsi se sentent pousser une aura qui ne leur est pas dû.
- L'utilisateur-consommateur de base qui trouve là un terme pour parler de quelque chose parfois obscure pour lui, que se soit d'un point de vu informatique ou d'un point de vu légal.
La question est donc : Est ce qu'une encyclopédie doit relayer un mot dont l'usage est galvaudé imprécis et utilisé de manière impropre ?
Je propose donc de remplacer la 1° phrase :
"La contrefaçon numérique ou piratage informatique est, à l'instar de la contrefaçon classique, le fait de reproduire ou d'imiter de manière illégale, appliqué sur une information numérique. En revanche, une contrefaçon numérique souffre rarement d'une qualité inférieure à l'originale."
Par:
La contrefaçon numérique est, à l'instar de la contrefaçon classique, le fait de reproduire ou d'imiter de manière illégale, appliqué sur une information numérique. En revanche, une contrefaçon numérique souffre rarement d'une qualité inférieure à l'originale. La contrefaçon numérique est souvent appelé de manière impropre "piratage informatique""
sujet de l'article Contrefaçon numérique ?
[modifier le code]Sauf erreur de ma part la contrefaçon c'est "le fait de reproduire ou d'imiter de manière illégale" (première ligne de l'article) C'est donc un délit qui n'a pas grand chose à voir avec le terme Hacker (un hacker peut faire de la contrefaçon mais peut aussi commettre d'autres délit)
Les termes suivant sont, pour moi, dans le même cas :
- des chapeaux noirs
- des script-kiddies
- un crasher
- un carder
- un phreaker
Donc pour moi le titre de cet article est mal choisi ou sont écriture à dévié du sens original. Le titre devrait être quelque chose comme "Crimes et Délits numérique".
Pirates informatiques célèbres
[modifier le code]Bonjour,
Je lis sur son article que John Draper (Captain Crunch) était un phreaker, un pirate téléphonique. Peut-on dire dans ce cas qu'il était un pirate informatique ? Si non, il faudrait retirer son nom de cette section.
- Khayman (contact) 27 octobre 2008 à 16:34 (HAE)
Piraterie de machine à voter
[modifier le code]J'ai lu que l'article avait deux titres: Pirate et contrefaçon numérique.
Un pirate peut notamment modifier le logiciel d'une machine à voter.
Pour autant, une fraude électorale réalisée par piratage d'une machine à voter est-elle une contrefaçon numérique?
Si oui, pourquoi l'article n'aborde pas ce sujet?
Article à recycler
[modifier le code]Cet article est fouillis et mérite à mon gout d’être retravaillé à fond.
Petite critique du manque de pertinence de l’article, non dénuée de mauvaise foi :
- j’arrive depuis Pirate informatique présent sur Pirate (homonymie). Soit, je ne doute pas que l’article expliquera en détail en quoi le piratage informatique est intimement lié à la contrefaçon numérique ;
- « La contrefaçon numérique ou piratage informatique ». C’est donc la même chose, merci Wikipédia ! À se demander quand même pourquoi on utilise des termes qui font mal à la tête plutôt que ceux de la télé ;
- « Autour du terme “ hacker ” ». Voilà donc nos fameux pirates…
- « pirates informatiques : crackers ». Ah ben non finalement, ça sera les crackers…
- « bien que ce terme soit parfois utilisé pour désigner des personnes cassant les protections des logiciels ». L’utilisation de ce terme est donc bien entendu correct uniquement dans le cas de contrefaçon numérique, pour désigner les responsables de contrefaçon numérique, sinon, il n’est pas correct ;
- « White hat hackers, qui eux contribuent à renforcer la sécurité des sites web » D’ailleurs, parfois ce sont des bisounours qui ne font pas de contrefaçon numérique mais du piratage informatique pour le plus grand bien (donc ce n’est finalement pas la même chose, la contrefaçon numérique et le piratage informatique, non ?) ;
- « Le téléchargement de fichiers ». Le seul passage bien écrit, et d’ailleurs le seul à être en rapport direct avec le sujet de l’article, en dehors du fait qu’il ne parle pas des méthodes techniques (le P2P n’est pas cité, un comble) et les raisons sociologiques du téléchargement. On a juste les composantes juridiques et la critique (fondée) de la terminologie employée dans les médias. En gros, tout ce qui devrait être dans l’article est dans ce paragraphe, et ce qui devrait être dans ce paragraphe est absent ;
- je passe vite sur la suite qui est à réorganiser à fond, et de toute manière uniquement lié au piratage informatique, et aucunement avec la contrefaçon numérique.
Il est vrai que je fais exprès de mal comprendre ce qui peut être mal compris. D’après la loi de Finagle, je ne serai malheureusement pas le seul…
Fichtre, mais que faire me direz-vous ?
- lire Keep it Simple, Stupid et s’en empreindre ;
- renommer l’article en quelque chose du genre « comportements illégaux liés à l’utilisation des réseaux informatiques » (et non « piratage informatique » qui ne veut rien dire, mais par contre veut sous-entendre beaucoup) ;
- faire un article propre, donc séparé, sur la contrefaçon numérique.
Je ne m’y mets pas tout de suite par manque chronique de temps et histoire d’avoir des réactions/suggestions avant de faire des modifs.
Il Palazzo-sama ( discuter ) 17 février 2009 à 17:38 (CET)
- J'arrive ici depuis ton appel sur le Bistro.
- Je crois que le problème essentiel provient du renommage, il y a presque un an, de Piratage informatique vers Contrefaçon numérique, avec pour motif que le titre n'était pas neutre. C'est certes vrai, mais comme tu le dis, l'expression « contrefaçon numérique » ne recouvre qu'une partie de ce qu'on entend par « piratage ». Par exemple un type qui s'introduit dans un système (et donc pirate) ne fait pas de contrefaçon (il ne recopie pas une œuvre protégée). Je souscris donc totalement à tes recommandations (celles formulées sous la forme d'une liste à puces).
- Pour trouver un titre convenable en lieu et place de « piratage » qui est effectivement très connoté, on peut peut-être se tourner du côté du vocable utilisé par la loi. La loi française parle ainsi de « fraude informatique » et d'« infraction en matière informatique » (loi n° 88-19 du 5 janvier 1988 relative à la fraude informatique). Car si je peux me permettre, ta proposition est un peu longue je crois, et il me semble que la référence aux « réseaux informatiques » est trop spécifique (j'imagine qu'il peut y avoir piratage sans recours à un réseau).
- Sinon, à part dans le paragraphe que tu pointes sur le téléchargement, cet article tombe dans l'écueil du lexique (une liste de définitions). Hr. Satz 17 février 2009 à 18:21 (CET)
- L'article ne parle quasiment pas de la contrefaçon, et quand il le fait, il ne fait qu'émettre des hypothèses très critiquables et non-sourcées. Je serais pour faire un redirection de contrefaçon numérique vers contrefaçon (aucune différence juridique, la différence principale étant l'ampleur de la première), et faire de pirate informatique une page d'homonymie renvoyant vers contrefaçon et vers hacking. Pwet-pwet · (discuter) 17 février 2009 à 21:08 (CET)
- Finalement, j’ai manqué de temps, (comme prévu ) mais ça reste sur ma todo list prioritaire. (PS : ma formulation était de l’ordre de la blague, je pars donc sur la bonne suggestion de « fraude informatique ») Merci pour les suggestions, ça donne une bonne base de travail. Il Palazzo-sama ( discuter ) 7 mars 2009 à 09:43 (CET)
- Bon, bah c'est fait... Pwet-pwet · (discuter) 6 mai 2009 à 12:40 (CEST)
- Finalement, j’ai manqué de temps, (comme prévu ) mais ça reste sur ma todo list prioritaire. (PS : ma formulation était de l’ordre de la blague, je pars donc sur la bonne suggestion de « fraude informatique ») Merci pour les suggestions, ça donne une bonne base de travail. Il Palazzo-sama ( discuter ) 7 mars 2009 à 09:43 (CET)
- L'article ne parle quasiment pas de la contrefaçon, et quand il le fait, il ne fait qu'émettre des hypothèses très critiquables et non-sourcées. Je serais pour faire un redirection de contrefaçon numérique vers contrefaçon (aucune différence juridique, la différence principale étant l'ampleur de la première), et faire de pirate informatique une page d'homonymie renvoyant vers contrefaçon et vers hacking. Pwet-pwet · (discuter) 17 février 2009 à 21:08 (CET)
Belgique
[modifier le code]La Belgique, plaque tournante européenne de la contrefaçon, titre le journal belge L'Echo du 15 novembre 2006. en effet, 19 millions d'articles saisis en Belgique en 2005, soit un quart des saisies de l'Union européenne.--Poulsen 17 novembre 2006 à 01:01 (CET)
Fusion abandonnée entre infraction au droit d'auteur et contrefaçon
[modifier le code]L'infraction au droit d'auteur constitue juridiquement un acte de contrefaçon (atteinte aux droits de propriété intellectuelle). Economiquement, les conséquences de l'infraction sont comparables à celles qui résultent des atteintes portées aux autres droits de propriété intellectuelle, comme le brevet ou la marque de fabrique.
Satansoft (d) 21 octobre 2009 à 22:20 (CEST)
- Contre Il y a bien assez de contenu pour avoir deux articles. Le contenu actuel n'est pas redondant. --Anneyh (d) 22 octobre 2009 à 18:50 (CEST)
- Contre Considéré l'infraction au droit d'auteur comme relevant d'une contrefaçon est peut-être juste juridiquement, mais dans l'esprit de montre surprise, cela serait peut claire pour beaucoup de monde. --Nouill (d) 22 octobre 2009 à 19:03 (CEST)
- Mollement Pour. L'addition des deux ne ferait que 50000 octets environ, ce qui reste raisonnable ; le niveau de développement d'infraction au droit d'auteur ne justifie pas vraiment un article détaillé, et sa réorganisation serait j'ai l'impression plus facile au sein d'un article large. Mais tout ça c'est très flou, je passe par hasard ; l'avis de ceux qui travaillent ou ont l'intention de travailler sur ces articles devrait être prépondérant : si c'est juste pour le plaisir de fusionner, sans ensuite refonder tout ça, ça n'apporte pas grand chose et peut faire du mal si ça dérange un contributeur actif sur un des deux articles. Touriste (d) 22 octobre 2009 à 19:15 (CEST)
- Contre, mais on peut créer une section Infraction au droit d'auteur dans l'article contrefaçon et y mettre {{article détaillé|Infraction au droit d'auteur}} Peter17 (d) 23 octobre 2009 à 03:11 (CEST)
- Contre la contrefaçon va au-delà de la protection de la stricte création artistique. --Priper (d) 24 octobre 2009 à 11:19 (CEST)
- Plutôt Pour. Je ne suis pas du tout spécialiste en droit, mais il me semble que la contrefaçon est une des nombreuses infractions aux droits d'auteurs. L'article pourrait donc être inclus dans Infraction au dr. d'a., mais c'est tout l'article qui devra ensuite être remodélé et complété, surtout si l'on veut embrasser l'ensemble des droits (et donc des infractions) concernant la propriété intellectuelle, un gros boulot qui ne pourra être réalisé que par un(e) spécialiste, once more... Bon courage ! ;-) --Polofrfr (d) 28 octobre 2009 à 00:18 (CET)
- Contre. Je reconnais que ces sujets ne sont pas correctement traités dans ces articles, mais la réalité c'est exactement le contraire de ce qui vient d'être écrit. C'est l'article infraction au droit d'auteur qui doit être inclus dans l'article contrefaçon. Il y a notamment un sujet très important non évoqué ici, c'est la contrefaçon des brevets, rien à voir avec le droit d'auteur. Bref, ce sont deux sujets différents. Pour information, je travaille dans ce domaine. AntonyB (d) 28 octobre 2009 à 00:34 (CET)
...dont acte et merci pour cette importante précision, que je découvre avec plaisir :-) Reste à rationaliser la présentation et l'articulation de tous ces sujets. Actuellement : a) l'article propriété intellectuelle englobe la propriété industrielle (brevets et marques) et la propriété littéraire et artistique (droits d'auteur et il manque les droits dérivés). Faut-il les éclater en deux articles ?
b) Il parle très peu des infractions et seulement pour une partie de la P. I. (en dérives). Il faudrait donc y incorporer Contrefaçon et Infraction au droit d'auteur... à la bonne place, puis remanier et compléter l'article ?
Tout ça est sacrément pointu/précis, et délicat à manipuler si on veut être clair et complet, see what I mean ? --Polofrfr (d) 28 octobre 2009 à 15:13 (CET)
Oui tu as raison, c'est pointu et on ne peut pas se satisfaire de choses approximatives voire erronées. En résumé, la propriété intellectuelle regroupe la propriété industrielle et la propriété littéraire et artistique. On doit en faire un seul article car ces deux notions sont très liées, notamment dans les explications juridiques relatives à la contrefaçon.
La propriété industrielle permet de protéger :
- les créations industrielles basées sur un acte créateur de l'esprit et qui ont une destination utilitaire :
- les inventions et les connaissances techniques
- les dessins et modèles de l'art appliqué,
- les signes distinctifs tels que les marques de fabrique, de commerce et de service.
La propriété littéraire et artistique (via le droit d'auteur et/ou le droit de copie) permet de protéger les œuvres de l'esprit :
- dans les domaines de nature essentiellement artistique et littéraire dans lesquels les notions d'unicité et d'authenticité sont importantes (œuvres chorégraphiques, compositions musicales, œuvres dramatiques, œuvres audiovisuelles, conférences/plaidoiries/allocutions, dessins/peintures/œuvres d'architecture/sculptures/gravures, œuvres graphiques, illustrations, plans/croquis)
- dans les domaines ouverts à des exploitations industrielles dans lesquels les œuvres s'assimilent à des produits destinés à être fabriqués ou édités à de multiples exemplaires (œuvres d'arts appliqués, créations des industries saisonnières de l'habilement, logiciels).
La contrefaçon doit être traitée dans ce même article. Quant à la « contrefaçon au droit d'auteur », l'appellation n'est pas correcte. Il faudrait parler de « contrefaçon au droit de copie », et non pas de contrefaçon au droit d'auteur : le droit d'auteur, c'est le droit patrimonial qui appartient à l'auteur d'une œuvre quelle qu'elle soit, on ne peut donc pas le contrefaire - par principe. Le droit de copie, c'est le droit que l'auteur d'une œuvre donne (éventuellement contre espèces sonnantes et trébuchantes) à un tiers pour l'autoriser à exploiter son œuvre. Cordialement. AntonyB (d) 28 octobre 2009 à 16:14 (CET)
- Proposition de fusion rejetée. --Nouill (d) 7 novembre 2009 à 00:20 (CET)
Copycat ?
[modifier le code]Quelle est la différence entre le terme - a priori seulement anglais - copycat et notre contrefaçon ?
Je suis... pestique, because :
- d'un côté, la page d'homonymie sur wp évoque surtout une personne ayant un comportement de mimétisme favorisé par la publicité médiatique accordée à un acte particulièrement dramatique, mais renvoie vers l'article anglophone sur :en
- de l'autre, wikt:saillie ne parle que d'un terme anglais, qui se traduit par copie et copieur, imitation et imitateur, mais aussi faussaire
- Pour moi, ce terme n'est pas encore passé en français
- Peut-on considérer que sa traduction irait jusqu'à donner contrefaçon et/ou contrefacteur, puisque le mot faussaire est mentionné sur le wiktionnaire ?
Thanks a looot ;-) --Bibliorock (d) 26 mars 2013 à 22:49 (CET)
Photographie non judicieuse ?
[modifier le code]A ce jour, l'article comprend 2 illustrations, dont [l'une montrant un marchand (marchand de rue, de braderie ou brocante ?) vendant des CD et DVD étalés au sol], que la légende décrit comme "piratés". En est-on certain ? (si les pochettes étaient des photocopies en noir et blanc de pochettes originales, ce serait plus crédible, mais ici ? Il pourrait aussi bien s'agir d'une vente d'objets de seconde main - ou un détail m'échappe-t-il ? qui dans ce cas pourrait aussi échapper à d'autres lecteurs) --Lamiot (discuter) 27 avril 2015 à 12:49 (CEST).