Discussion:Cagoule (Osarn)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Propositions[modifier le code]

Quelques éléments qu'il faudrait inclure (recensés ici à titre de proposition pour l'instant)

Les activités pratiques du CSAR: Ce n'était pas un club de buveurs de thé, cf notamment l'attentat contre la confédération du patronat français, l'affaire Rosselli, la mise en place d'un arsenal réel en vue d'un coup d'état)

Les liens avec l'Italie et l'Espagne

La relation de la cagoule avec l'armée, et singulièrement avec Petain qui n'en était sans doute pas membre lui-même, mais était bien entouré.

Par contre, Il me semble abusif de citer Miterrand parmis les membres de la cagoule. A ma connaissance, cette rumeur ne s'appuie que sur son parrainnage pour la francisque par des membres de la cagoule, et n'est corroborée par rien d'autre. Il me semble que Gabriel Jeantet devait plutôt le connaître des mouvements de jeunesse des croix de feux, ce qui n'est tout de même pas la même chose

--Poltronghost 20 septembre 2005 à 01:24 (CEST)[répondre]

La date de création de l'OSARN reste controversée. Elle n'est pas connue. Elle se serait constitué entre juin et juillet 1936 mais le projet pouvait avoir été élaboré avant. Il est bon de rappeler que l'OSARN est constitué comme une force d'autodéfense visant à répondre aux risques d'un coup d'état communiste. Les soviétiques n'ont jamais eu cette intention. Mais les évenements allant du 6/2/1934 au Front Populaire font craindre à une partie de la bourgeoisie, de l'armée et de certains milieux réactionnaires un "1917" en France. Enfin l'OSARN, qui avait des ramification importante dans l'armée et les services de renseignements (son organisation interne est d'ailleurs calqué sur celui de l'état major de 'armée française), n'avait aucun lien avec le régime nazi.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par PierreRobin (discuter), le 30 novembre 2009 à 11:46 (CET)[répondre]

Grossière erreur[modifier le code]

François Mitterrand n'a jamais fait partie de la Cagoule ! Cf. Pierre Péan Une jeunesse française et Jean Lacouture, Mitterrand, une histoire de Français. Pourquoi pas de la Milice ?— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Lucrèce (discuter), le 2 novembre 2005 à 22:57 (CET)[répondre]

Autres erreurs[modifier le code]

Vérification faite, Jean Védrine non plus. Cet article est très lacunaire et imprécis. Par exemple, Charles Maurras n'est pas simplement le défenseur des Camelots du roi, puisque cette organisation est organiquement liée à l'Action française !— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Lucrèce (discuter), le 2 novembre 2005 à 23:12 (CET)[répondre]

Désambiguïfication[modifier le code]

Il faudrait renommer cet article ! Même si ça n'existe pas encore, le titre « cagoule » devrait être réservé à une entrée sur le vêtement, pas sur un groupuscule qui se trouve avoir choisi ce nom. --Gro-Tsen 8 janvier 2006 à 21:40 (CET)[répondre]

La cagoule est un nom non pas autoproclamé par un groupuscule mais par des opposants: c'est Maurice pojo qui faisait partie de l'action française qui en est à l'origine "dépité de voir les plus entreprenants des camelots du roi échapper au contrôle de chefs qui étaient davantage des hommes de plume que des hommes d'épée." - jean mabire— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Olivier cl (discuter), le 21 avril 2014 à 00:23 (CEST)[répondre]

"Organisation" et non "Comité"[modifier le code]

Selon les travaux de Bernadac, qui a eu accès à des documents de première main (carnets de Dagore), il y a eu confusion, le "O" du sigle a été mal lu et pris pour un "C".

J'ai donc mis la précision.

Cordialement.

ClaudeLeDuigou 30 janvier 2006 à 10:47 (CET)[répondre]

Ça devient lassant...[modifier le code]

Non seulement F. Mitterrand n'a pas adhéré à la Cagoule, mais il n'a pas sympathisé avec ses idées. Ses lettres et ses articles de l'époque ne témoignent en rien d'une sympathie pour le fascisme, l'antisémitisme et l'action violente. Il en a fréquenté quelques membres de base, mais faut-il rappeler que les militants de cette organisation n'avaient pas le droit de révéler leur activité, sous peine de mort (l'unique sanction pour toutes les fautes chez ces gens-là) ? --Lucrèce 13 juin 2006 à 23:13 (CEST)[répondre]

Aucune justification à cette censure d'un fait avéré sur les fréquentations de Mitterrand rappelées par Georges Marc Benamou et Pierre Péan dans leurs livres.
"Et enfin la Cagoule c'est la famille intime, secrète, presqu'adultérine de Mitterrand : sa soeur la plus proche, Marie-Josèphe, marquise de Corlieu, divorsée, sera des années durant (de 1942 à 1947) la maîtresse de Jean Bouvyer, ancien cagoulard charentais et fonctionnaire aux Questions juives à Vichy (Pierre Péan, Une jeunesse française, François Mitterrand 1934-1947, Fayard 1998, p. 537-554). Mitterrand suit les méandres et les vicissitudes de cet amour interdit, fréquente assidûment, comme nous l'apprend Péan (p. 229), l'appartement de la rue Zédé, puis celui de la rue Chernoviz, du côté de Passy, où fraie le Tout-Cagoule d'avant-guerre ; rend visite à la Libération à Bouvyer, en prison, reste fidèle à la mère de Jean, Antoinette Bouvyer qui deviendra la marraine de Jean-Christophe (Mitterrand)". .
On sait que les Mitterrandistes ont été furieux de ce petit rappel mais il n'y a aucune raison de se courber devant leur révisionnisme historique. Georgio 14 juin 2006 à 09:42 (CEST)[répondre]
1) Je vous conseille d'éviter vos injures et d'éviter les copiés-collés contenant des erreurs grossières. J'ai la p. 229 du livre sous les yeux, je ne vois pas de fréquentation assidue du Tout-Cagoule.
2) Puisque vous êtes soudain pris d'un intérêt pour les ouvrages de Pierre Péan, je suppose que vous ne verrez aucun inconvénient à ce que je cite les passages sur les liens entre de Gaulle et des cagoulards. --Lucrèce 14 juin 2006 à 10:23 (CEST)[répondre]
Tenterez-vous encore de blanchir un fait avéré que n'importe quel internaute, administrateur ou contributeur de Wikipédia pourra corroborer en cherchant sur internet où les références à Benamou et Péan sur ce sujet sont nombreuses ?— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Georgio (discuter), le 14 juin 2006 à 10:32 (CEST)[répondre]
Je n'ai l'intention de caviarder aucun fait, j'ai réécrit les passages avec le livre de M. Péan sous la main, en citant les pages. Chacun peut vérifier à la bibliothèque de son quartier ou de sa commune. Lucrèce 14 juin 2006 à 10:34 (CEST)[répondre]
On connait bien votre habitude de citation partielle ou partiale pour dédouaner Mitterrand de son passé d'extrême-droite et le réimputer sur De Gaulle sans aucune finesse. Georgio 14 juin 2006 à 10:41 (CEST)[répondre]

Commentaires déplacé depuis le corps de l'article[modifier le code]

le duc corse, Joseph Pozzo di Borgo ( est-ce exact? Il est plutôt issu des Croix de feu, dont il est un des dirigeants avant de quitter cette ligue suite à des désaccords avec la Rocque );

cf [1] sand 24 janvier 2007 à 21:20 (CET)[répondre]

Le duc di Borgo a toujours nié être membre de la "Cagoule". Il a effectivement rompu avec le Colonel de La Rocque en 1936 dont le comportement le 6/02/1934 a empêché de faire tomber le Parlement. Il était par contre membre de l'Union des Comités d'Action Défensive (UCAD) qui devait servir de forces supplétives aux forces de l'ordre en cas de coup d'état par les communistes.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par PierreRobin (discuter), le 30 novembre 2009 à 11:55 (CET)[répondre]

Informations à vérifier[modifier le code]

À La Celle-Saint-Cloud, la cave d'une maison aurait été aménagée en centre de détention par la Cagoule[1].

La même année [1938], deux membres de la Cagoule se rendent chez un officier[réf. souhaitée] afin de le recruter pour l'organisation. L'officier saisit l'occasion pour infiltrer la Cagoule et transmet les informations recueillies aux autorités compétentes dans plusieurs rapports rédigés en double exemplaire. C'est ainsi que nous savons[réf. souhaitée] que la Cagoule voulait porter Pétain au pouvoir et organisait dans ce but la défaite de l'armée française (trahison de certains officiers, détournement d'armes) devant l'armée allemande. Nous savons aussi[réf. souhaitée] que le siège de la Cagoule se trouvait dans une ville de province et comportait entre autres une ou plusieurs maisons closes et un réseau de prostitution de mineurs. L'officier infiltré a rencontré et identifié le cagoulard qui s'occupait de l'organisation des assassinats, dont l'un a été empêché. Cet officier infiltré est mort en 1948 dans des circonstances douteuses, deux semaines après l'assassinat de son fils.[réf. souhaitée] — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Ske (discuter), le 29 octobre 2007 à 14:53‎.

  1. Selon une émission radiophonique[réf. nécessaire].
Problème résolu [2] par Ske, le 29 octobre 2007. Daniel*D, 19 avril 2015 à 11:52 (CEST)[répondre]

Et L'Oréal??[modifier le code]

Depuis ma dernière visite de cet article, il y a un an, toute mention des liens de L'Oréal avec les membres de la Cagoule... a été supprimée... Et rien non plus sur la page de discussion... Censure?? "Nettoyage" de l'article par les employés de L'Oréal? ... En tout cas c'est triste, et c'est très grave... Wikipedia ne fonctionne pas si bien...— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.83.78.225 (discuter), le 26 novembre 2007 à 01:16 (CET)[répondre]

De quel liens s'agit il ? L'amateur d'aéroplanes (d) 19 décembre 2007 à 01:11 (CET)[répondre]

Importance disproportionnée[modifier le code]

Il est possible de mentionner les interprétations de Michel Rateau, bien qu'il ne s'agisse pas d'un historien professionnel... Mais une sous-section entière dédiée à son ouvrage, cela pose actuellement un problème. --Guise (discuter) 15 août 2018 à 12:48 (CEST)[répondre]

Guise : j'aurais même envie de demander, si l'ouvrage est auto-édité, quelle proportion pourrait-on lui donner à part 0 ? Cet ouvrage ne semble avoir rencontré aucun écho, et pourrait tout aussi bien être de la roupie de sansonnet. SammyDay (discuter) 20 août 2018 à 11:07 (CEST)[répondre]
SammyDay : Michel Rateau a bel et bien effectué des recherches et son ouvrage avance indubitablement plusieurs réflexions intéressantes mais l'ensemble me donne davantage l'impression d'un essai spéculatif que d'une étude historique, faute d'archives étayant certaines de ses hypothèses.
Outre mon avis personnel (dont on se moque), il faut effectivement prendre en compte le fait qu'il s'agit d'un livre auto-édité. Cela dit, avec quelques réserves qui rejoignent les miennes, l'historien universitaire Jean-Marc Berlière évoque favorablement l'ouvrage de Rateau dans un numéro de la Lettre aux amis de la police (2017, p. 16-17). En conséquence, je suis d'avis de citer judicieusement Rateau ici ou là dans le présent article (encore bien trop incomplet) mais pas de lui consacrer une sous-section historiographique entière. En attendant, que diriez-vous de déplacer tout cela dans la PDD ? --Guise (discuter) 20 août 2018 à 11:43 (CEST)[répondre]
Guise : très bonne idée. SammyDay (discuter) 20 août 2018 à 11:47 (CEST)[répondre]
Dans ce cas, let's go ! je copie-colle ci-dessous. Émoticône sourire --Guise (discuter) 20 août 2018 à 11:52 (CEST)[répondre]
A la lecture de ce fatras, je proposerai :
"L'essayiste Michel Rateau propose une relecture polémique de l'histoire de l'OSARN, selon lui émanation ultime d'un complot politico-militaire visant à une prise de pouvoir contrôlée de l'État républicain, en vue de le réformer. Ce complot aurait été approuvé et appuyé par les plus hauts gradés militaires et certains dirigeants politiques (dont le président du Conseil André Tardieu). Rateau décrit également dans son ouvrage une supposée « omerta » des historiens français sur le sujet."
Qu'en penses-tu ? SammyDay (discuter) 20 août 2018 à 12:39 (CEST)[répondre]
SammyDay : impec' ! Émoticône Je supprimerais juste l'adjectif « polémique » puisque l'ouvrage n'a guère suscité d'échos critiques (ce qu'on peut regretter puisque cela nous prive de mises au point et autres rectifications argumentées), à l'exception de la courte mention par Berlière. --Guise (discuter) 20 août 2018 à 13:25 (CEST)[répondre]

Interprétations de Michel Rateau[modifier le code]

Dans un essai auto-édité en 2016[1], Michel Rateau estime que l’organisation paramilitaire montée en 1936 par Eugène Deloncle et le général Duseigneur n’est que l’émanation ultime (et violente) d’un vaste complot politico-militaire constitué dès la fin des années 1920, sous l’égide de ce qu’il appelle le « réseau militariste français »[2], réseau réactionnaire qui aurait été proche du lobby colonial et initialement composé des plus hauts gradés militaires (Foch, Weygand, Lyautey, Pétain), du président du Conseil André Tardieu, des industriels Ernest Mercier (magnat de l’énergie, fondateur du Redressement Français) et André Michelin (fondateur de la Ligue de Défense Aérienne), du colonel de La Rocque (co-président de la ligue précédente et futur président des Croix de Feu) ainsi que des services secrets militaires. Ce réseau aurait œuvré à une prise du pouvoir par la voie légale en se fixant comme double objectif de bouter le communisme hors de France et de réformer l’État républicain (plus d’autorité, plus d’efficacité, en particulier grâce à une présidence de la République aux pouvoirs étendus). D’après Rateau, la Cagoule devrait être vue comme une vaste conjuration issue de ce réseau à la suite de l’humiliation ressentie par le patronat après la victoire du Front populaire de mai 1936, avec des ramifications débordant largement l’organisation paramilitaire susmentionnée.

Rateau affirme également que l’intervention armée à laquelle se préparent les troupes de l’OSARN (Deloncle) et de l’UCAD (Duseigneur) s’intègre aux divers plans de défense contre-insurrectionnels élaborés par les autorités militaires en cas de soulèvement communiste, non seulement à Paris mais aussi en province[3]. En raison des rumeurs persistantes de coup de force communiste (rumeurs savamment entretenues par les divers réseaux cagoulards[4]), de tels plans de défense auraient été demandés expressément par le ministre de la Guerre Édouard Daladier en décembre 1936. L'institution militaire aurait alors pris l'initiative de renforcer localement ses effectifs au moyen de troupes supplétives telles que celles de l'OSARN et de l'UCAD, dans la continuation directe du travail effectué depuis 1933 par le colonel de La Rocque dans le cadre du plan de défense de Paris (création d'une milice secrète sur la base des meilleurs éléments Croix de Feu). Travail interrompu en décembre 1935 par la loi Laval d’interdiction des ligues armées, les Croix de Feu ayant dû se transformer en mouvement politique classique[5] pour éviter la dissolution.

L'essayiste insère également dans son ouvrage une description généalogique des divers réseaux du lobby militariste de 1930 à 1937, dans lequel il inclut le Redressement Français, l’Entente Internationale Anticommuniste (EIA, sise à Genève), la Ligue de Défense Aérienne, la Défense Aérienne du Territoire, les Croix de Feu, le Comité Technique pour la Réforme de l’État (contrôlé par le patronat), l’OSARN et son service de renseignements (le réseau du docteur Martin), l’UCAD, le réseau Corvignolles, le Parti Populaire Français (Jacques Doriot), le Comité Central des Armateurs de France, le Comité de Prévoyance et d’Action Sociale (service de renseignements du patronat), les services secrets militaires français. Par ailleurs, l'auteur énonce l’appartenance au réseau du docteur Martin de deux anciens membres de premier plan du Redressement Français puis du Comité Technique pour la Réforme de l’État : le conseiller d'État Raphaël Alibert et l’historien-publiciste Jacques Bardoux[6]. La propagande de peur de l’automne 1936 (rumeur d’un coup de force communiste) dans les hautes sphères administratives publiques et privées serait ainsi à mettre en grande partie à leur actif et à celui des sénateurs Henry Lémery et Gustave Gautherot, le principal agent français de l’EIA selon Rateau[7].

En outre, Rateau signale l'entrée en scène du baron autrichien Georg von Potters, agent double de l’Abwehr et des services secrets militaires français[8], dans le cadre du trafic d’armes de la Cagoule, appuyant ainsi, en complément des liaisons de cette dernière avec l’Italie fasciste et l’Espagne franquiste, la thèse d’une liaison avec l’Allemagne nazie, déjà envisagée par Frédéric Monier[9]. L'auteur déclare que l’hésitation des plus hautes autorités de l’État, en particulier de Léon Blum, dans la gestion de l’enquête judiciaire, s'explique en raison de l'implication d'officiers de très haut rang et des services secrets militaires[10]. Rateau critique les témoignages écrits tant du colonel de La Rocque que des anciens officiers des services spéciaux, dans le sens où ceux-ci auraient toujours voulu se démarquer soigneusement d’un complot dont ils auraient été partie prenante[11]. Ainsi, il est avancé que le colonel de La Rocque appartenait aux services secrets militaires (Deuxième Bureau) jusqu’à une rupture que l’auteur situe aux alentours de la fin d’année 1935, après la loi Laval[12].

Enfin, l’auteur dénonce l'existence en France d’une « omerta généralisée » qui dissuaderait les historiens de sortir d'un « récit politicien » sur la Cagoule, un récit né de l’épuration d’après 1945 et où il est admis que l’entreprise de Deloncle n’avait qu’un but : détruire le régime républicain, ainsi que le fit le maréchal Pétain après la défaite de 1940. Tout autre discours viendrait, dixit Michel Rateau, heurter de plein fouet la mémoire collective de la démocratie française, structurée à partir d'un mythe d’une République éclairée terrassant l’hydre totalitaire[13].

  1. Rateau 2016.
  2. Rateau 2016, p. 77-86.
  3. Rateau 2016, p. 160 ; 215.
  4. Rateau 2016, p. 213-216 ; 218-222.
  5. Rateau 2016, p. 86-98 ; 113-114 ; 123-135.
  6. Rateau 2016, p. 99-103.
  7. Rateau 2016, p. 116 ; 218-219.
  8. Rateau 2016, p. 180-185.
  9. Monier 1998, p. 309-310.
  10. Rateau 2016, p. 216-218 ; 241-243.
  11. Rateau 2016, p. 202-210 ; 230-236.
  12. Rateau 2016, p. 123-125.
  13. Rateau 2016, p. 254-256.