Discussion:Apis mellifera

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Redirection ?[modifier le code]

A ce jour, le lecteur qui cherche des infos générales sur les abeilles est automatiquement redirigé vers la page de l'article Apis mellifera, qui n'est qu'une des espèces d'abeille parmi beaucoup d'autres. Cette redirection est-elle pertinente ? Ne serait-il pas plus logique d'avoir une page sur les abeilles, et des sous-articles sur les abeilles solitaires, "à miel", etc.
--Eiffele 30 août 2007 à 09:35 (CEST)[répondre]


pour le changement de Hybride en métisse, voir la discussion derrière le lien Buckfast.

Info récente à vérifier et à ajouter à l'article.[modifier le code]

Les abeilles s'éteindraient par milliards depuis quelques mois, faits graves et sans précédents qui se produisent dans l'indifférence des médias français. Leur disparition pourrait sonner le glas de l'espèce humaine.

C'est une incroyable épidémie, d'une violence et d'une ampleur faramineuse, qui est en train de se propager de ruche en ruche sur la planète. Partie d'un élevage de Floride l'automne dernier, elle a d'abord gagné la plupart des Etats américains, puis le Canada et l'Europe jusqu'à contaminer Taiwan en avril dernier. Partout, le même scénario se répète : par milliards, les abeilles quittent les ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible, pas plus que de squatter pourtant prompt à occuper les habitats abandonnés.

En quelques mois, entre 60 % et 90 % des abeilles se sont ainsi volatilisées aux Etats-Unis où les dernières estimations chiffrent à 1,5 million (sur 2,4 millions de ruches au total) le nombre de colonies qui ont disparu dans 27 Etats. Au Québec, 40 % des ruches sont portées manquantes.

En Allemagne, selon l'association nationale des apiculteurs, le quart des colonies a été décimé avec des pertes jusqu'à 80 % dans certains élevages. Même chose en Suisse, en Italie, au Portugal, en Grèce, en Autriche, en Pologne, en Angleterre où le syndrome a été baptisé >, du nom du navire dont l'équipage s'est volatilisé en 1872. En France, où les apiculteurs ont connu de lourdes pertes depuis 1995 (entre 300.000 et 400.000 abeilles chaque année) jusqu'à l'interdiction du pesticide incriminé, le Gaucho, sur les champs de maïs et de tournesol, l'épidémie a également repris de plus belle, avec des pertes allant de 15 % à 95 % selon les cheptels. Certains mettent en cause l'accumulation et la la pullulation des ondes electro-magnétiques (portables,TV ,satellittes etc) qui désorienterait les abeilles. Les abeilles sont indispensables pour assurer la pollinisation des éspèces. SoCreateD'aprés un article du site creatifsculturels.com

voir Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles--SuperManu SuperMessage 25 octobre 2007 à 12:15 (CEST)[répondre]

D'aprés Jean-Marie Pelt ,la cause majeure de la disparition des abeilles est que les abeilles n'ont simplement plus grand chose à manger avec la disparition des fleurs sauvages et les pesticides et donc les abeilles sont mal en point et facilement victimes de maladies .SoCreate (d)

Autres infos à prendre en considération afin d'éviter la partialité de l'article...[modifier le code]

Les ondes électromagnétiques ne datent pas d'aujourd'hui et le phénomène que vous décrivez ne concerne que les abeilles en ruche d'élevage et non celles que l'on trouve naturellement dans les édifices ou les arbres creux en forêt. Nombre d'apiculteurs continuent de capter un nombre important d'essaims sauvages dans les milieux forestiers très étendus pour repeupler leurs ruches. De plus, les apiculteurs "industriels" ont eux aussi à reconnaître leurs erreurs : utilisation d'essence de mirbane pour la récolte (essence issue de la pétrochimie qui a provoqué la fuite de colonies entières d'abeilles), pulvérisation de bacillus thurigensis sur les cadres de cire pour les protéger de l'attaque des fausses teignes -lesquelles ne peuvent pulluler que dans les ruches faibles- alors que c'est ce bacille que l'on fait produire au maïs transgénique tant décrié... Élevages à partir d’œufs prélevés par l'apiculteur et insémination artificielle des reines d'abeilles sans aucune connaissance du mode de sélection naturelle par les abeilles elles-mêmes, ce qui a pu avoir pour conséquence de fragiliser l'héritage génétique de lignées entières de colonies d'abeilles et pourrait également expliquer ces morts subites en nombre considérable. De plus, tout porte à croire que c'est la concomitance de tout un spectre d’événements négatifs qui tendent à influer sur la mort des abeilles et non la seule utilisation de pesticides...

Noms français[modifier le code]

Bonjour, l'article fait la part belle au nom Abeille européenne mais je trouve peu de traces de cette apellation et en cherchant des ref. sur les noms vernaculaires d'abeilles je n'ai rien trouvé non plus dans les dicos spécialisés pour étayer ce choix. De plus, Abeille européenne n'est repris que 38 fois dans les articles de Google scholar contre 2050 fois pour Abeille domestique. Itis donne aussi Abeille domestique comme nom français. Ne conviendrait-il donc pas de privilégier plutôt Abeille domestique dans l'infobox ? D'autant plus que certaines sous-espèces et hybrides sont orientales ou africaines (cf. Liste des races d'abeilles d'élevage). --amicalement, Salix ( converser) 31 août 2010 à 17:40 (CEST)[répondre]

L'appellation européenne me parait un peu large pour Apis mellifera. Comme ne le dit pas (encore Émoticône sourire) l'article, Apis mellifera aurait en effet évolué en trois branches distinctes au gré des migrations depuis le berceau asiatique d'Apis: A. mellifera mellifera (et d'autres) dans toute l'Europe, A. mellifera ligustica (et d'autres encore) sur les côtes N-E de la Méditerranée et A. mellifera scutellata (et d'autres toujours) dans toute l'Afrique.
Vu le peu de référence, je ne pense pas que'abeille européenne soit un nom vernaculaire. Par contre, le terme peut se justifier pour mettre l'espèce en opposition aux autres espèces d'Apis qu'on trouve en Asie, bien que la présence d'A. mellifera jusqu'au Sud de l'Afrique fasse que européenne est légèrement abusif.
On peut aussi comprendre abeille européenne comme l'abeille qu'on trouve en Europe, mais dans ce cas, on fait référence à plusieurs sous-espèces (dont Apis mellifera mellifera de la branche européenne, Apis mellifera ligustica de la branche méditerranéenne, etc.).
Ce serait intéressant de développer cette évolution de l'espèce dans l'article, mais j'aimerais trouver des sources secondaires sur le sujet plutôt que mon traité Rustica de l'apiculture qui est plutôt une source tertiaire...
--EdouardHue (d) 2 septembre 2010 à 00:56 (CEST)[répondre]