Christophe Giovaninetti
Pour les articles homonymes, voir Giovaninetti.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
.svg){kind=small}
Cet article peut avoir été modifié (voire créé) en échange d'une rémunération ou d’avantages non déclarés, ce qui constitue le cas échéant une violation des conditions d'utilisation de Wikipédia ().
L'article doit être relu — et modifié si nécessaire — par des contributeurs indépendants pour apporter un regard critique aux contributions effectuées en violation des conditions d'utilisation de Wikipédia, tant sur la forme (notamment concernant le style encyclopédique, la proportionnalité) que sur le fond (la neutralité de point de vue, la qualité et l'indépendance des sources).
(Politique pour les contributions rémunérées | Comprendre le dépubage | En discuter)
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
| Nationalité |
Française |
|---|---|
| Activité |
Violoniste, compositeur |
Christophe Giovaninetti est un violoniste professionnel.
Biographie[modifier | modifier le code]
Dès l'âge de neuf ans, Christophe Giovaninetti s'oriente vers le violon. Après une formation musicale au Conservatoire national de Bucarest en Roumanie, en Allemagne ou suit l’enseignement du Quatuor Amadeus à Cologne[1], puis en France, Christophe Giovaninetti rencontre les quatre membres du Quatuor Amadeus. Rencontre déterminante qui va lui permettre d’acquérir une générosité et un élan dans son jeu[2]. Yehudi Menuhin a dit de lui : " je dois à cet ange musicien une des plus pures émotions musicales de ma vie"[3].
En 1984, aux côtés de ses condisciples du Conservatoire de Paris Romano Tommasini, Miguel da Silva, Carlos Dourthe, ils donnent naissance au Quatuor à cordes Ysaÿe, ou Christophe Giovaninetti était premier violon. Par la suite, en 1995, c’est le Quatuor à cordes Elysée[4] qui est créé, comptant parmi ses membres Sullimann Altmayer, Adeliya Chamrina, Igor Kiritchenko et Christophe Giovaninetti en tant que premier violon. En parallèle de son activité de concertiste, il est Professeur au[5] Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Il fonde également l'ensemble Zik avec quatre musiciens, Frank Braley (piano), Marc Desmons (alto), Michel Poulet (violoncelle) et Francis Touchard (clarinette)[6]
Carrière[modifier | modifier le code]
Imminent chambriste, il se produit dans les plus grandes salles de concert, comme le Carnegie Hall de New York, le Mozarteum de Salzbourg, le Théâtre des Champs-Élysées de Paris, auprès des grands artistes, comme Maria Joao Pires, Jean-Philippe Collard, Augustin Dumay, Renaud Capuçon.
Il capture aussi à plusieurs reprises des enregistrements disques chez les labels Decca, Philips, et autres.
Compositions[modifier | modifier le code]
Christophe Giovaninetti partage ses compositions pour la première fois en 2024 sur le disque "Six Pieces for Violins" en compagnie Sarah Nematanu, Deborah Nemtanu et Yibin Li. Les six pièces pour violons, composées sur une période de dix ans, explorent un langage minimaliste et répétitif. En hommage aux maitres, elles s’inspirent sur des thèmes tirés des œuvres de Bach, Vivaldi, Paganini et Bruckner.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « CONCERT - « ZIK », cinq musiciens étonnants - Musique de chambre, autrement », sur www.lorientlejour.com, (consulté le )
- (fr-fr) Christophe Giovaninetti HD 720p 1 Consulté le .
- « Christophe Giovaninetti », sur Ensemble Calliopée, (consulté le )
- Ouest-France, « Le Quatuor Élysée présente son répertoire, vendredi », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
- « Christophe Giovaninetti et Yibin Li enregistrent pour un album russe », sur midilibre.fr (consulté le )
- « Les concerts « surprise » de Zik », sur ladepeche.fr (consulté le )
