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Brahim Izri

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Brahim Izri
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Brahim Izri
Informations générales
Naissance
Aït Lahcène, Aït Yenni, Algérie
Décès (à 50 ans)
4e arrondissement de Paris
Activité principale Chanteur, auteur-compositeur-interprète, musicien
Genre musical Folk, world music
Instruments Voix, guitare
Années actives 1973 - 2004

Brahim Izri (en tifinagh: ⴱⵔⴰⵀⵉⵎ ⵉⵣⵔⵉ), né le à Aït Lahcen, commune d'Ait Yenni en Algérie, et mort le à Paris 4e[1], est un chanteur et auteur-compositeur-interprète algérien d'expression kabyle[2].

Durant son enfance, Brahim Izri est emmené par son grand-père écouter les chants religieux de la zaouïa de Sidi Belkacem dans la région d'Ait Yenni[3]. À l'adolescence, il fonde avec deux de ses amis du lycée, Naït Abdelaziz et Aziz Berrahma, du groupe Igudar (les aigles) à l'époque durant laquelle de nombreux groupes sont engagés dans le combat culturel, linguistique et identitaire en Algérie, à l'exemple de Isulas, Inasliyen, les Abranis, Imazighen Imoula[4]. Pendant les années 70, il a été guitariste pour le chanteur Idir[5]. Il entreprend ensuite une carrière solo et publie ses premiers albums. En 1999, il chante avec Idir et Maxime Le Forestier la chanson intitulée Tizi-Ouzou, reprise de San Francisco[6]. Dans ses textes se retrouve les thèmes sur la défense des droits des femmes et de l'égalité entre hommes et femmes.[réf. nécessaire]

Il meurt le à Paris d'un cancer[7].

Discographie

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Notes et références

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  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Kahina Hammoudi, « Brahim Izri… le chantre de la cause berbère », Midi Libre, no 1348,‎ , p. 15 (ISSN 1112-7449, lire en ligne)
  3. Brahim Izri sur le portail officiel de la ville de Béjaïa.
  4. L’artiste Brahim Izri n’est plus sur le site www.algerie-dz.com
  5. nassima-v, « Biographie de Brahim Izri », sur vitaminedz.com, (consulté le ).
  6. Fara C., « Vingt ans après A Vava Inouva : Les identités d'Idir », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  7. Bouziane DAOUDI, « Mort du chanteur kabyle Brahim Izri. », sur Libération (consulté le )

Liens externes

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