Aller au contenu

Henry Abram

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 25 juillet 2022 à 11:05 et modifiée en dernier par Epok (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Henry Abram
Naissance
Saint-Paul-de-Fenouillet, France
Décès (à 81 ans)
Perpignan, France
Nationalité française
Pays de résidence France
Profession
Autres activités
Ascendants
Louis Abram (père)

Modèle:Infobox Biographie/Aviateur

Henry, Joseph Abram, né le à Saint-Paul-de-Fenouillet (Pyrénées-Orientales) et mort à Perpignan (Pyrénées-Orientales) le , est un industriel et aviateur français. De formation technique, il apprend, pendant son service durant la Première Guerre mondiale, à réparer des moteurs d'avions. Entre les deux guerres, il devient un pilote émérite. Il développe l'entreprise familiale et en crée d'autres, dans le domaine de l'industrie, notamment la production d'électricité.

Il est le fils de Louis Abram, dont il reprend l'entreprise de production et de distribution d'électricité en 1936.

Biographie

Famille et jeunesse

Né à Saint-Paul-de-Fenouillet le , Henry Joseph Abram est le fils de Louis Abram (1860-1945), industriel, et de Virginie Manaut (1863-1902), sœur de l'homme politique Frédéric Manaut. Henry Abram est donc le cousin de René Manaut (1891-1992), qui fait également carrière dans la politique. La sœur d'Henry, Louise (1888-1972), épouse Étienne Argelliès, médecin et homme politique qui devient son beau-frère. Henry est donc l'oncle de René Argelliès, également médecin et homme politique[1].

Tôt intéressé par la mécanique, il passe dans sa jeunesse beaucoup de temps avec son beau-frère Étienne Argelliès, qui est un des premiers à posséder une automobile de type phaéton dans le canton. Il se forme à l'électricité et à la mécanique à l'école professionnelle Vaucanson à Grenoble, associée aux Arts et métiers. Mobilisé en 1915, ses compétences de mécanique le font affecter au service des ambulances. Il est ensuite envoyé dans les Dardanelles dans un atelier automobile. Il y apprend à réparer des moteurs d'avion, puis à piloter, et se prend de passion pour l'aviation[1].

Carrière

De retour de la guerre, Henry Abram rejoint les affaires de son père, dans la production et la distribution d'électricité.

Annexes

Bibliographie

  • Nicolas Marty, « Abram (Henry, Joseph) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414).

Notes et références

  1. a et b Nicolas Marty, « Abram (Henry, Joseph) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414)

Articles connexes