Tête Noire (mont Rose)

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Tête Noire
Vue de la tête Noire au premier plan.
Vue de la tête Noire au premier plan.
Géographie
Altitude 4 318 ou 4 322 m[1],[2]
Massif Mont Rose (Alpes pennines, Alpes)
Coordonnées 45° 54′ 54″ nord, 7° 51′ 43″ est[1],[2]
Administration
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Région
Région à statut spécial
Piémont
Vallée d'Aoste
Province Verceil
Ascension
Première , par Marco Maglionini, Albert de Rothschild avec N. et Peter Knubel et E. Cupelin
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Tête Noire
Géolocalisation sur la carte : Vallée d'Aoste
(Voir situation sur carte : Vallée d'Aoste)
Tête Noire
Géolocalisation sur la carte : Piémont
(Voir situation sur carte : Piémont)
Tête Noire

La tête Noire (en allemand Schwarzhorn, en italien Corno Nero), culminant à 4 321 m est un des sommets du massif du mont Rose dans les Alpes pennines. Il est le dix-neuvième plus haut sommet des Alpes, selon les critères de l'Union internationale des associations d'alpinisme.

Bien que d'une altitude élevée, son accès est relativement aisé sur son versant ouest glaciaire alors que le côté est (versant Macugnaga), mixte, est particulièrement abrupt.

Géographie[modifier | modifier le code]

La tête Noire est située à 215 m au sud-ouest de la Ludwigshöhe, dans le mont Rose. Elle se situe entièrement en territoire italien alors que la Ludwigshöhe se situe sur la frontière italo-suisse.

Il se trouve sur la ligne de crête qui sépare la haute vallée du Lys dans le val d'Aoste du haut Valsesia au nord de la province de Verceil.

Premières ascensions[modifier | modifier le code]

  •  : versant nord-ouest par les guides Peter Knubel, Nicolas Knubel, Édouard Cupelin, Niklaus et Peter Knubel, Marco Maglionini, Albert de Rothschild et trois porteurs.

Alpinisme[modifier | modifier le code]

  • Versant nord-ouest : PD ; point de départ : refuge Gnifetti (3 647 m).
  • Traversée des sommets sud du Mont Rose, du Giordanispétz à la pointe Gnifetti : PD (voie normale) ; point de départ : refuge Gnifetti.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Helmut Dumler et Willi Burkhardt, Les 4000 des Alpes, Paris, Arthaud, .