Sœurs minimes de Notre-Dame des Douleurs

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Sœurs minimes de Notre-Dame des Douleurs
Ordre de droit pontifical
Approbation diocésaine 26 octobre 1879
par Mgr Parocchi
Approbation pontificale 20 mars 1934
par Pie XI
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
Spiritualité des servites
But enseignement, soins des malades, aide aux pauvres
Structure et histoire
Fondation 1er mai 1868
San Giovanni in Persiceto
Fondateur Clelia Barbieri
Abréviation M.I.N.
Patron Notre-Dame des Douleurs, François de Paule
Rattaché à Ordre des Servites de Marie
Site web (it) site officiel
Liste des ordres religieux

Les Sœurs minimes de Notre-Dame des Douleurs (en latin : Institutum Sororum Minimarum a Virgine Perdolente) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.

Historique[modifier | modifier le code]

Le , Clelia Barbieri (1847 - 1870) et trois compagnes, sous la direction du père Gaetano Guidi, commencent à mener une vie commune dans une maison près de l'église de Le Budrie de San Giovanni in Persiceto pour enseigner le catéchisme et préparer les jeunes aux sacrements. La communauté prend le nom de Minimes de Notre-Dame des Douleurs en l'honneur de saint François de Paule et de Notre Dame des Douleurs dont le culte est particulièrement important dans la paroisse[1].

Le cardinal Lucido Maria Parocchi approuve la congrégation ad experimentum le et son successeur le cardinal Domenico Svampa la reconnaît comme congrégation de droit diocésain[1].

L'institut est affilié à l'ordre des Servites de Marie le et reçoit le décret de louange le , il est approuvé officiellement par le Saint-Siège le [1].

Teresa Veronesi (1870-1950), religieuse professe de cette congrégation, est reconnue vénérable le 17 décembre 2022[2].

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Les sœurs minimes se dédient à l'éducation et l'assistance envers les pauvres, les malades et les personnes marginalisées.

Elles sont présentes en Italie, Brésil, Inde et Tanzanie[3].

La maison généralice est à Bologne.

En 2017, la congrégation comptait 298 religieuses dans 40 maisons[4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Suore minime dell'Addolorata » (voir la liste des auteurs).
  1. a b et c (it) Guerrino Pelliccia et Giancarlo Rocca, Dizionario degli Istituti di Perfezione, vol. V, Milan, Edizione Paoline, 1974-2003, p. 1348-1349
  2. (it) « Papa Francesco dichiara Venerabile suor Teresa Veronesi », sur minimesantaclelia.it (consulté le ).
  3. (it) « Nel Mundo »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur minimesantaclelia.it (consulté le ).
  4. (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, , 2329 p. (ISBN 978-88-209-9975-9 et 88-209-9975-7), p. 1467

Liens externes[modifier | modifier le code]