Nicholas Saputra
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Formation |
Université d'Indonésie SMA Negeri 8 Jakarta (en) |
| Activité | |
| Période d'activité |
depuis |
| Taille |
180 cm |
|---|---|
| Distinction |
Asia's Most Influential Indonesia (d) () |
Nicholas Saputra Schubring né le à Jakarta, est un acteur et activiste indonésien[1],[2].
Biographie[modifier | modifier le code]
Nicholas Saputra est né d'un père Allemand et d'une mère Indonésienne-Javanaise. Après avoir obtenu son diplôme du lycée SMA Negeri 8 Jakarta, Nicholas Saputra a poursuivi ses études à l'Université d'Indonésie. Il a été nommé comme l'un des valedictorians au lycée[3]. Il est titulaire d'un diplôme en architecture de l'Université d'Indonésie[4],[5].
Il s'est d'abord fait connaître en tant que Rangga dans le film à succès What's Up with Love? de 2002, un rôle qu'il a repris dans What's Up with Love? 2 en 2016. Depuis, il s'est imposé comme l'un des acteurs les plus acclamés d'Indonésie avec deux prix Citra Award du meilleur acteur en tant que personnage titulaire dans Gie de Riri Riza en 2005 et Meilleur acteur dans un second rôle dans Aruna et son palais d'Edwin en 2018.
Nicholas Saputra est également connu comme un activiste consacré aux questions environnementales et conservation ainsi qu'aux droits de l'enfant. Il a été producteur exécutif et producteur de plusieurs films environnementaux par l'intermédiaire de sa société de production Tanakhir Films. En 2019, Nicholas Saputra a été nommée UNICEF Indonésie Ambassadrice de bonne volonté.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (id) KapanLagi.com, « Profil Nicholas Saputra » [archive du ] (consulté le )
- (id) Viva.co.id, « Profil Nicholas Saputra » [archive du ], (consulté le )
- (id) « Nicholas Saputra: Saya ini Pemain Film » [« Nicholas Saputra: I'm a film worker »], Fimela, (lire en ligne)
- (id) Mariska Tracy, « Nicholas Saputra Ingin Bekerja Sesuai Passion » [« Nicholas Saputra wants to work according to passion »], Gadis, (lire en ligne, consulté le )
- « Observing Nicholas », New Straits Times, (lire en ligne, consulté le )
