Les enfants sont partis

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Les Enfants sont partis

Titre original El nido vacío
Réalisation Daniel Burman
Scénario Daniel Burman
Acteurs principaux
Sociétés de production BD Cine
Classic Film
Paradis Films
Wanda Visión
Pays de production Drapeau de l'Argentine Argentine
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie dramatique
Durée 91 minutes
Sortie 2008

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Les enfants sont partis (titre original : El nido vacío) est un film argentin, coproduit avec l'Espagne, l'Italie et la France, réalisé par Daniel Burman et sorti en 2008.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Un dramaturge d'une cinquantaine d'années se retrouve seul : sa dernière fille vient de se marier et son épouse reprend des cours à la faculté. Dès lors, l'inspiration lui manque tandis qu'une belle dentiste le met en émoi...

Fiche technique[modifier | modifier le code]

  • Titre du film : Les enfants sont partis
  • Titre original : El nido vacío
  • Réalisation : Daniel Burman
  • Assistant réalisation : Magdalena Cernadas
  • Scénario : D. Burman, Daniel Hendler
  • Photographie : Hugo Colace
  • Musique : Nico Cota
  • Son : Juan Ferro
  • Montage : Alejandro Brodersohn
  • Direction artistique : Aili Chen
  • Production : BD Cine, Classic Film, INCAA - D. Burman, Diego Dubcovsky
  • Pays d'origine : Drapeau de l'Argentine Argentine - Drapeau de l'Espagne Espagne - Drapeau de l'Italie Italie - Drapeau de la France France
  • Format : couleur - 1,85 : 1
  • Durée : 91 minutes
  • Genre : comédie dramatique
  • Dates de sortie :

Distribution[modifier | modifier le code]

Commentaire[modifier | modifier le code]

Daniel Burman choisit de traiter des sujets ordinaires voire rebattus. El nido vacío obtient 262 700 entrées et devient le troisième film le plus regardé en Argentine au cours de l'année 2008. « Il réalise une comédie douce-amère - critique du milieu intellectuel - où il est parfois hasardeux de se situer entre réalité et fantasme, entre désirs inassouvis et retour aux sources. Un film foisonnant qui, par sa construction, maintient l'intérêt. »[1]

Références[modifier | modifier le code]

  1. C.B.M. in : J. Tulard : Guide des films, T.4, Éditions Robert Laffont, 2010.

Liens externes[modifier | modifier le code]