Léon Stekke

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Léon Stekke
Description de l'image Contrabasson basson.JPG.

Naissance
Soignies
Décès (à 65 ans)
Ixelles, Bruxelles
Activité principale Compositeur
Activités annexes Directeur de l'Académie de musique de Saint-Gilles
Maîtres Joseph Jongen, Paul Gilson
Élèves Pierre Bartholomée

Œuvres principales

  • "Impression de Cinema", op. 22
  • Poème sylvestre pour cor solo en fa et orchestre ou piano
  • Ode orphéonique pour chœur à 4 voix d'hommes
  • "L'âme des forgerons", pour chœur à 4 voix d'hommes.

Léon Stekke est un compositeur belge, professeur de solfège et d'harmonie, né le à Soignies et mort le à Ixelles (Bruxelles).

Biographie[modifier | modifier le code]

Léon Stekke naît à Soignies le [1].

Il étudie à Bruxelles avec Joseph Jongen et Paul Gilson, avant d'enseigner au Conservatoire royal de Bruxelles de 1942 jusqu'à sa mort[1].

Il a, entre autres, pour élève Pierre Bartholomée qui dira de lui: « Comme professeur d'harmonie, il s'est révélé rayonnant, inspiré, non dogmatique, travaillant à partir de l'œuvre plutôt qu'à partir des règles scolaires »[2].

Léon Stekke meurt le à Ixelles (Bruxelles)[1].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Comme compositeur, Léon Stekke est notamment l'auteur d'un opéra, Les Cornes du croissant (Bruxelles, 1952), et de deux cantates, Héro et Léandre (1931) et La Légende de saint Hubert (1933)[1]. Figurent également à son catalogue[1] :

  • Fantaisie-rhapsodie, pour orchestre ;
  • Burlesco, pour hautbois et orchestre ;
  • Fantaisie élégiaque, pour cor anglais et orchestre ;
  • Prélude et danse, op. 12, pour clarinette et piano ;
  • Concerto pour trompette, op. 17 (Bruxelles, 1948) ;
  • Poème sylvestre, op. 21, pour cor solo en fa et orchestre ou piano ;
  • Impression de cinéma, op. 22, pour basson ou clarinette et orchestre ou piano ;
  • Variations en fa dièse mineur, op. 24, pour trombone et orchestre ou piano (1942) ;
  • L'âme des forgerons, op. 39, pour chœur à 4 voix d'hommes (poésie de Paul Lisse) ;
  • Ode orphéonique, pour chœur à 4 voix d'hommes ;
  • des mélodies ;
  • des pièces pour piano.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Baker et Slonimsky 1995, p. 4007.
  2. Robert Wangermée (dir.), Pierre Bartholomée : parcours d'un musicien, Wavre, Belgique Bruxelles, Mardaga Conseil de la musique de la communauté française Wallonie-Bruxelles, coll. « Musique, musicologie. », , 245 p. (ISBN 978-2-87009-989-6, lire en ligne)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]