Jean Noireau
| Jean Noireau | ||
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| Naissance | Meilly-sur-Rouvres (Côte-d'Or) |
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| Décès | (à 66 ans) Angers (Maine-et-Loire) |
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| Origine |  France
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| Arme | Gendarmerie | |
| Grade | Général de brigade | |
| Années de service | 1773 – 1816 | |
| Distinctions | Commandeur de la Légion d'honneur Chevalier de Saint-Louis |
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Jean Noireau, né le à Meilly-sur-Rouvres (Côte-d'Or), mort le à Angers (Maine-et-Loire), est un général français de la Révolution et de l’Empire.
États de service[modifier | modifier le code]
Il entre en service le , dans la Gendarmerie de France pour servir dans la compagnie écossaise, puis le , il passe dans la compagnie de la connétablie.
Le , il est nommé lieutenant dans la gendarmerie à Arnay-le-Duc et le , il devient chef de brigade commandant l'escadron de gendarmerie de Tours. Le , il commande la place de Saint-Maixent et le suivant, il commande le département des Deux-Sèvres, par intérim.
Le , il est mis à la tête de la 5e division de gendarmerie à Angers et le , il prend le commandement de la 5e légion de gendarmerie, poste qu’il occupe jusqu’au . Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le , officier de l’ordre le suivant, puis commandeur le .
Lors de la Première Restauration, il est maintenu à la tête de sa légion de gendarmerie devenue 6e légion et il est fait chevalier de Saint-Louis le .
Pendant les Cent-Jours, il est promu général de brigade le et il prend les fonctions d’inspecteur général de la gendarmerie. Il est mis en non-activité le et il est admis à la retraite avec le grade de maréchal de camp le .
Il meurt le , à Angers.
Sources[modifier | modifier le code]
- (en) « Generals Who Served in the French Army during the Period 1789 - 1814: Eberle to Exelmans »
- « Les généraux français et étrangers ayant servi dans la Grande Armée » (consulté le )
- « Cote LH/1999/47 », base Léonore, ministère français de la Culture
- Léon Hennet, État militaire de France pour l’année 1793, Siège de la société, Paris, , p. 291.
- (pl) « Napoléon.org.pl »
- Charles Théodore Beauvais et Vincent Parisot, Victoires, conquêtes, revers et guerres civiles des Français, depuis les Gaulois jusqu’en 1792, tome 26, C.L.F Panckoucke, , 414 p. (lire en ligne), p. 118.
