Isabelle Courteau
Pour les articles homonymes, voir Courteau.
Cet article est une ébauche concernant une écrivaine québécoise.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Isabelle Courteau est une poète québécoise[1], née à Shawinigan, le .
Elle a étudié à l'Université du Québec à Montréal, puis à l'Université de Montréal, où elle a terminé une maîtrise en littérature.
Elle est directrice générale et artistique du Festival de la poésie de Montréal, qu'elle a fondé en 1999 avec la collaboration de Bernard Pozier, de Denise Brassard, de Jean-François Nadeau et de Stéphane Despatie.
Elle a remporté en 2015 le prix de poésie Lèvres urbaines[2] pour son implication exemplaire dans la diffusion de la poésie, ainsi que le prix Henri-Tranquille, pour la promotion de la littérature de langue française.
Publications[modifier | modifier le code]
- Isabelle Courteau (préf. Jacques Brault), L'Inaliénable, Montréal, Éditions de l'Hexagone, (lire en ligne), p. 86[3]
- Isabelle Courteau, Mouvances, Montréal, Éditions de l'Hexagone, (lire en ligne), p. 96[4].
- Isabelle Courteau, Ton silence, Montréal, Éditions de l'Hexagone, coll. « L'appel des mots », (lire en ligne), p. 72[5].
- Isabelle Courteau, À la lisière du monde, Trois-Rivières, Écrits des Forges, (lire en ligne), p. 60.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Isabelle Courteau : écrivain, auteur | Les Éditions de l'Hexagone », sur www.edhexagone.com (consulté le )
- « Remise du prix de poésie Lèvres urbaines », sur www.ledevoir.com, (consulté le )
- « Sourcier et voyeur »
- « Femmes : sujets et objets du poème »
- « Ton Silence - Nuit blanche »
