Discussion:Groupe des Écoles centrales

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Euh le lien sur "Etats-Unis", c'est peut-être un peu exagéré, non ? :d

un peu d'accord, je voulais faire le commentaire, mais c'est déjà fait ;) Plyd /!\ 20 janvier 2006 à 16:13 (CET)[répondre]
J'ai supprimé : "L'intergroupe a une taille équivalente au Massachusetts Institute of Technology à Boston, États-Unis."


Ordre d'énonciation des écoles de l'Intergroupe[modifier le code]

Avant de commencer une guerre d'édition, suite à la modification de 196.206.252.2 qui échange l'ordre des écoles, je propose de faire le classement dans l'ordre alphabétique, tel qu'il apparait sur [le site du groupe].

Dans un premier temps j'annule la modification, avec un lien sur la page de discussion, dans un deuxième temps, il sera peut-être intéressant de contacter des utilisateurs comme Centralien, qui doit avoir une idée sur comment gérer cette question...

Zeugma fr (d) 16 juillet 2009 à 18:41 (CEST)[répondre]

L'ordre d'énonciation des Ecoles centrale est arbitraire :
  • L'ordre alphabétique intégral me parait le plus neutre et le plus utilisé. C'est celui utilisé par le groupe des écoles Centrale et c'est aussi celui utilisé pour les Associations des ingénieurs Centraliens (voir par exemple Lettre publique des présidents des associations des Centraliens de Lille, Lyon, Marseille, Nantes en 2009 et les communiqués de presse Lille, Lyon, Nantes, Paris pour la création de Centrale Pékin ainsi que le logo commun). D'où l'ordre Centrale Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris, Pékin.
  • L'ordre alphabétique + préséance parisienne me parait conforme à un certain esprit du centralisme parisien hérité du XIXè siècle. En outre, en anglais, Pékin c'est Beijing et il est préférable que le lecteur consulte Centrale Paris en premier pour une meilleure compréhension historique du sujet .... d'où Centrale Paris Lille Lyon Marseille Nantes Pékin
  • L'ordre historique de création des écoles est aussi possible mais prête éventuellement à débat en fonction du critère de création des Ecoles, qui ont toutes changé de nombreuses fois de statuts, de tutelle et de dénominations : en effet, l'école centrale de Marseille est récente sous cette dénomination mais est l'héritière de l'école d'ingénieurs de Marseille crée en 1890 et donc antérieure à Centrale Nantes (1919), l'Ecole centrale lyonnaise remonte à 1857 si l'on ignore que la première école privée de 1857 a fait faillite en 1868 (la « Société Girardon » est dissoute en 1868) et a été remplacée par une école recrée par la chambre de commerce de Lyon ultérieurement (1887); idem pour l'école centrale de Lille qui a été une école à statut public dès 1854 juste avant que Centrale Paris passe du statut privé à public(1857), et dont le statut lillois de 1854-1871 a néanmoins été modifié en 1872 en quasi synchronisme des déboires lyonnais (1868-1887) ... et de la conjoncture économique française de l'époque. D'où les ordres possibles : Centrale Paris (1829) Lille (1854) Lyon (1857) Marseille (1890) Nantes (1919) Pékin (2005) ou bien Centrale Paris (1829) Lille (1854) Lyon (1857) Nantes (1919) Marseille (2006) Pékin (2005) ou bien Centrale Paris (1829) Lille (1872) Lyon (1887) Nantes (1919) Pékin (2005) Marseille (2006) ...
  • Un autre ordre possible serait celui de la reconnaissance formelle du diplôme d'ingénieur par le second Empire pour Centrale Paris et Centrale Lille seulement, au titre des écoles impériales supérieures jusqu'à 1870 (l'école de Lyon n'a pas fait partie des écoles impériales) ou celui de la délivrance de diplômes d'ingénieurs civils reconnus par l'Etat au XIXè siècle et admis à la Société centrale des ingénieurs civils, d'où l'ordre Centrale Paris (1848), Lille (1872) puis Lyon-Marseille-Nantes ou Lyon-Nantes-Marseille selon l'interprétation choisie.
  • L'odre de reconnaissance du diplôme d'ingénieur par l'état et par la Commission des titres d'ingénieur est aussi un critère, ce qui donnerait l'ordre CTI suivant : Paris puis Lille (1913), Nantes (1934), Lyon (1936), Marseille (1947 ou 2003 selon l'interprétation du critère CTI).
  • Une variante serait le rattachement ministériel (au ministère du commerce et de l'industrie ou au ministère de l'éducation) auquel cas l'ordre serait Lille (1854), Paris (1857), Nantes (1947), Lyon, Marseille ... ou bien la date de "nationalisation budgétaire" (rattachement au budget Education nationale) auquel cas l'ordre serait Paris (1857), Nantes (1947), Lyon (1947), Lille (1975), Marseille
  • Un ordre pourrait être celui d'entrée dans le concours Centrale-Supélec : Paris (1968), Lyon (1968), Lille (1972), Nantes (1992), Marseille (2004).
=> Je recommande donc si l'ordre alphabétique (Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris, Pékin) n'est pas préfére, de choisir l'ordre qui correspond à plusieurs interprétations historiques (Paris Lille Lyon Marseille Nantes Pékin) .
Centralien (d) 31 octobre 2009 à 16:44 (CET)[répondre]

En quoi le titre est-il justifié ? Dès la première ligne, on ne parle que du Groupe d'écoles centrales, pas du Groupe Centrale ? De plus, il faut faire un renommage si "Groupe Centrale" est gardé : la page de discussion ne correspond pas, une redirection déroge aux règles.--SammyDay (d) 1 mars 2011 à 00:15 (CET)[répondre]


En quoi le titre est-il justifié ? Ce n'est pas tant le titre qui est injustifié, c'est le groupe en lui-même. Il s'agit à demi d'une survivance d'un projet de l'ancien directeur de Centrale Paris, à demi d'un groupe auto-proclamé par les écoles autres que Paris. Si à l'international, il a le signalé mérite de rendre plus lisible l'action de ce groupe disparate, et de concurrencer très très très modestement Paritech, ou de s'enorgueillir de réalisations telles que Centrale Pekin ( qui rappelons-le est un projet mené par Centrale Lyon auxquels les autres se sont raccrochés), en France il est de plus en vidé de son sens. En effet, les écoles ne sont pas du tout au même niveau, comme le montre le concours commun d'ailleurs, où entre Centrale Paris et Centrale Lyon, bien avant Nantes, Lille Marseille, Casablanca, Tunis, Bengazi et Yammassoukro, figure Supelec, qui bizarrement n'est PAS membre du groupe Centrale, mais fait l'objet d'une alliance étroite avec Centrale Paris à laquelle les autres écoles centrales n'ont pas été invitées. Le directeur actuel de Centrale Paris a été mis en demeure de sortir du groupe centrale, afin de préserver son propre classement, et ne s'est pas encore exécuté pour "ne pas faire de vagues". Mais les PRES de Centrale Paris n'incluent pas le Groupe Centrale,l'Association des Centraliens ne laisse pas adhérer d'autres que les Centraliens de Paris, les portails emplois tels que Manageurs.com sont réservés aux Centraliens de Paris ... bref, les Centraliens de Paris ont conservé vis à vis des autres écoles un comportement de type colonial.

Je ne serais d'ailleurs pas surpris que ce post, bien qu'en page de discussion, soit rapidement supprimé, les représentants de Lille, Lyon et Paris se livrant de terribles guerres d'édition pour éviter que la réalité soit publiée. --82.66.236.251 (d) 1 mars 2011 à 18:57 (CET)[répondre]

c'est surtout que ça répond pas du tout à la question posée...--SammyDay (d) 2 mars 2011 à 12:14 (CET)[répondre]