Avenue Georges-Métayer
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| Avenue Georges-Métayer | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 49° 26′ 52″ nord, 1° 06′ 42″ est |
| Pays |  France |
| Région | Normandie |
| Département | Seine-Maritime |
| Ville | Rouen |
| Début | Place Gustave-Robert |
| Fin | Avenue Olivier-de-Serres |
| Morphologie | |
| Type | Avenue |
| Forme | rectiligne |
| Histoire | |
| Création | 1825 |
| Monuments | Cimetière Monumental |
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L'avenue Georges-Métayer est une voie publique de la commune de Rouen.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
L'avenue Georges-Métayer est située sur la rive droite de la Seine à Rouen. On y accède par la rampe Saint-Hilaire.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle porte le nom de Georges Métayer, maire de Rouen.
Historique[modifier | modifier le code]
Percée lors de la création du cimetière monumental de Rouen, ouvert en 1828, l'avenue porte à l'origine le nom de cimetière monumental.
Elle double la rue de la Rampe (rue Francis-Yard) qui vient border le nouveau cimetière par le Nord-Ouest[1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- À son point culminant se trouve l'entrée historique (1825) du cimetière monumental ouvert en 1828;
- Monument aux morts de la guerre de 1870-1871[2]. Les plaques portent les noms de 150 officiers, sous-officiers et soldats suivant leur unité d'affectation (dont 10 mobiles de l'Ardèche). Eugène Bénet, sculpteur ; Georges Chedanne, architecte.
- Le sculpteur François-Alexandre Devaux y a son domicile[3], dans lequel il meurt en 1904.
- L'avenue est citée dans un recueil de nouvelles de 1991[4].
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Situation de l'avenue du Cimetière-Monumental sur un plan monumental de Rouen : coordonnées B-8.
- Aux soldats morts à Rouen en 1870-1871.
- Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Palais des Champs-Elysées…, 1893.
- Le Ticket doux, nouvelles inédites, p. 22.
