Ali Fawzi Rebaine

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Ali Fawzi Rebaine
علي فوزي رباعين
Illustration.
Ali Fawzi Rebaine en 2014.
Fonctions
Président du parti Ahd 54
En fonction depuis
(25 ans)
Biographie
Nom de naissance Ali Fawzi Rebaine
Date de naissance (69 ans)
Lieu de naissance Alger (Algérie)
Nationalité Algérienne
Parti politique Ahd 54
Profession Opticien

Ali Fawzi Rebaine (arabe : علي فوزي رباعين), né le à Alger, est le président du parti Ahd 54 et également ancien candidat à la présidentielle algérienne (2004, 2009, 2014)[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et formation[modifier | modifier le code]

Vie associative et politique[modifier | modifier le code]

Il préside «l' association des fils et filles de chahids de la wilaya d'Alger » jusqu'au mois de . Au mois d', il fonde le Comité national contre la torture. Le , il devient secrétaire général du parti Ahd 54 qu'il vient de fonder. Il est réélu secrétaire général du parti, successivement au congrès des 5 et , puis à celui d'.

Il est candidat à l'élection présidentielle algérienne de 2014. Abdelaziz Bouteflika est réélu dès le premier tour ; Ali Fawzi Rebaine se classe cinquième avec 1.22 % des voix.

Il annonce ne pas participer à l'élection présidentielle algérienne en 2019, dans le contexte du Hirak[2].

Vie de famille[modifier | modifier le code]

Opticien de profession, il est marié et a deux enfants.[réf. nécessaire]

Polémiques[modifier | modifier le code]

Affaires des Aurès[modifier | modifier le code]

Arrêté et emprisonné du au à Berouaghia Médéa pour atteinte à la sûreté de l'État dans l'affaire des Aurès, Ali Fawzi Rebaine fonde en l' « association des fils et filles de chahids de la wilaya d'Alger ».

Atteinte à la sûreté de l'État[modifier | modifier le code]

Après avoir participé à fonder la première ligue des droits de l'homme en [1], il est arrêté une seconde fois le de la même année pour atteinte à la sûreté de l'État par appel à un changement de régime, confection et distribution de tracts, constitution d'associations illégales et attroupement non armé. Il est alors condamné à 13 ans de prison à Lambèse (Batna), puis libéré le à la suite d'une grâce présidentielle.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]