Aimé Emmanuel Yoka

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Aimé Emmanuel Yoka
Illustration.
Fonctions
Ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la Justice et des droits humains Il est l'oncle du président

(9 ans, 1 mois et 27 jours)
Président Denis Sassou-Nguesso
Gouvernement Isidore Mvouba
Denis Sassou-Nguesso
Prédécesseur Gabriel Entcha-Ebia
Successeur Pierre Mabiala
Ministre d'État, directeur du cabinet du président de la République

(4 ans, 9 mois et 3 jours)
Président Denis Sassou-Nguesso
Premier ministre poste aboli
Isidore Mvouba
Gouvernement Denis Sassou-Nguesso
Isidore Mvouba
Prédécesseur Gérard Bitsindou (ministre à la présidence, chargé du cabinet du chef de l'État et du contrôle d'État)
Successeur Firmin Ayessa
Maire de Brazzaville

(2 ans)
Prédécesseur Dévoué Bonaventure Boukaka Ouadiabantou
Successeur Benoît Moundélé-Ngollo
Biographie
Lieu de naissance Oyo, Cuvette
Drapeau de la république du Congo République du Congo
Nationalité Congolaise
Parti politique Parti congolais du travail
Profession Avocat

Aimé Emmanuel Yoka est un homme politique congolais. Membre du Parti congolais du travail, il est ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la Justice et des droits humains[1] du au [2].

Biographie[modifier | modifier le code]

Aimé Emmanuel Yoka fait son entrée en politique en 1968 comme jeune chef de cabinet du ministre de la Justice d'Aloïse Moudileno rencontré à la Faculté de Droit de Nancy. Il fut notamment maire de Brazzaville de 1997 à 1999 (à la fin de la guerre civile), ambassadeur de la République du Congo au Maroc de 1999 à 2002 et ministre d'État, directeur du cabinet du président de la République de 2002 à 2007[3]. En août 2012; il fut élu député de la circonscription de Vindza[4].

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les membres du Gouvernement », sur République du Congo - Secrétariat général du gouvernement, Brazzaville, (consulté le ).
  2. « Congo-Brazzaville : Denis Sassou Nguesso nomme un « gouvernement de rupture » », sur jeuneafrique.com,
  3. Jean Hombre Misoga, « Le bourbier des ego au cœur même du pouvoir. », sur Congopage, (consulté le ).
  4. « Résultats du deuxième tour des élections législatives », La Semaine Africaine,,‎