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la petite sonde spatiale japonaise DESTINY+ doit survoler l'astéroïde aréocroiseurPhaéton et étudier les caractéristiques des poussières cosmiques (interplanétaires, cométaires ou interstellaires) et les processus d'éjection de celles-ci par les astéroïdes.
La sonde spatiale chinoise Chang'e 7Chang'e 7 comprend un orbiteur ainsi qu'un atterrisseur et un astromobile lunaire qui doivent se poser à la surface de la Lune.
La sonde spatiale chinoise IHP-1 (Interstellar Heliosphere Probe) doit étudier l'héliopause et le milieu interstellaire et survoler la planète Jupiter.
La Russie prévoit de lanceur l'orbiteur lunaire Luna 24 chargé de cartographier les sites d'atterrissage des missions ultérieures et étudier l'environnement immédiat de la Lune.
Satellites scientifiques
Plusieurs satellites scientifiques doivent être placés en orbite en 2024 :
Le télescope spatial PLATO doit détecter et caractériser des exoplanètes de type terrestre en orbite autour d'étoiles proches et de magnitude apparente comprise entre 4 et 16 en utilisant la méthode photométrique et par astérosismologie.
Le petit télescope spatial infrarouge SPHEREx de la NASA doit effectuer un relevé de l'ensemble du ciel dans 96 longueurs d'ondes en proche infrarouge (0,75-5 microns)[2].
Le télescope spatial chinois Xuntian doté d'un miroir de 2 mètres de diamètre doit être placé sur une orbite basse terrestre.
Le satellite franco-allemand MERLIN doit mesurer avec une précision inégalée la distribution spatiale et temporelle des émissions de méthane pour l'ensemble de la planète.
Missions spatiales habitées
La mission Artemis II est la première mission à emmener des hommes autour de la Lune depuis le programme Apollo (1969-1973). Elle doit permettre de valider le fonctionnement du lanceur Space Launch System et du vaisseau Orion dans des conditions opérationnelles.