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[[Fichier:Ziphius cavirostris 67103312.jpg|thumb|Souffle de baleine à bec de Cuvier (''[[Ziphius cavirostris]]'').]]
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===== Mésoplodon de Blainville (''[[Mesoplodon densirostris]]'') =====
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==== [[Phocoenidae]] : Marsouins ====
==== [[Phocoenidae]] : Marsouins ====

Version du 11 août 2021 à 17:39

Image satellite du bassin méditerranéen.
Représentation minoenne d'un dauphin commun à Knossos (vers 2 000 av. J-C.)
Illustration d'un rorqual commun dans un ouvrage naturaliste de 1780.

Les cétacés ou Cetacea (du grec ancien κῆτος / kêtos, « cétacé ») forment un groupe de mammifères aquatiques (ils respirent donc de l'air et allaitent leurs petits). Ces espèces très charismatiques[1] sont réputées pour avoir une intelligence remarquable, qui a participé à la volonté de les protéger.

On connaît, en 2020, environ 86 espèces de cétacés à l'échelle mondiale, dont un certain nombre endémiques des eaux douces ou polaires[2].

20 espèce de cétacés sont présentes en Méditerranée, avec une concentration maximale dans le bassin corso-liguro-provençal, où les cétacés sont protégés par le Sanctuaire Pelagos depuis 2002. 8 espèces sont considérées comme communes : le dauphin bleu et blanc (Stenella coeruleoalba), le dauphin commun à bec court (Delphinus delphis), le grand dauphin (Tursiops truncatus), le dauphin de Risso (Grampus griseus), le globicéphale noir (Globicephala melas), la baleine à bec de Cuvier (Ziphius cavirostris), le cachalot (Physeter macrocephalus) et le rorqual commun (Balaenoptera physalus)[3]. Leur répartition est cependant très hétérogène suivant les régions, avec par exemple des cétacés plutôt rares en Adriatique et abondants en mer d'Alboran[4].

La Méditerranée est une mer quasi-fermée séparée en quatre bassins principaux : le bassin occidental, la mer Adriatique, la Méditerranée centrale et le bassin oriental ou levantin. Cerclée par 23 pays où réside une population côtière de 150 millions d'habitants, elle est la première destination touristique mondiale et l'une des principales voies de navigation commerciale de la planète, avec un quart du trafic commercial et un tiers du trafic pétrolier. En conséquence, les rejets d'hycrocarbures sont estimés à 400 000 tonnes par an, et les collisions entre navires et cétacés sont courantes[3].

Liste des espèces

Mysticètes : les baleines à fanons

Rorqual commun (Balaenoptera physalus)

Rorqual commun (Balaenoptera physalus).

Le rorqual commun (Balaenoptera physalus) est la seule espèce de baleines à fanons à posséder une population résidente en Méditerranée, essentiellement située dans la moitié nord du bassin occidental. C'est le deuxième plus gros animal de notre planète après la baleine bleue, pouvant atteindre 22 m de long pour un poids de 70 tonnes[3].

On les trouve seules ou en petits groupes, essentiellement au large. La population méditerranéenne est estimée à environ 2 000 individus[3]. Le rorqual commun est classé « Vulnérable » sur la Liste rouge de l'UICN[5].


Rorqual à museau pointu (Balaenoptera acutorostrata)

Rorqual à museau pointu (Balaenoptera acutorostrata).

Cette baleine (Rorqual à museau pointu, Petit rorqual de l'Atlantique ou Baleine de Minke) est très rare en Méditerranée, et sa présence relève sans doute d'excursions de spécimens atlantiques. Elle semble cependant observée au moins une fois par an en moyenne[4].

Rorqual boréal (Balaenoptera borealis)

Le Rorqual boréal (Balaenoptera borealis) vit essentiellement dans l'Atlantique nord, mais il arrive que des individus fassent des incursions en Méditerranée, généralement par erreur et souvent fatales[4]. Le rorqual boréal est classé « En danger d'extinction » sur la Liste rouge de l'UICN.

Baleine à bosse (Megaptera novaeangliae)

Cette baleine est très rare en Méditerranée, et sa présence relève sans doute d'excursions de spécimens atlantiques dans le bassin occidental. Elle semble cependant observée au moins une fois par an en moyenne[4].

Baleine grise (Eschrichtius robustus)

La Baleine grise (Eschrichtius robustus) est une espèce de baleine qui a été éradiquée de l'Atlantique et ne subsiste plus que dans le Pacifique nord. Cependant, il arrive que des individus aventureux ou égarés rejoignent l'océan Atlantique, et certains ont été observés jusqu'en Méditerranée, mais ce fait demeure exceptionnel[4].

Odontocètes : les dauphins, orques et baleines à dents

Delphinidae : dauphins et orques

Dauphin bleu et blanc (Stenella coeruleoalba)
Dauphin bleu et blanc (Stenella coeruleoalba)

Le dauphin bleu et blanc est l'une des espèces de dauphins les plus communes en Méditerranée. C'est un petit dauphin, qui mesure environ 2 m pour 80 à 100 kg, et se nourrit de poissons et calmars. Il vit plutôt au large, en groupes de 10 à 30 individus, parfois plus. Ils apprécient souvent de se faire « pousser » par l'étrave des bateaux, ce qui est un des modes de rencontre les plus fréquents[3]. Ce dauphin est absent de Mer Noire[6].


Dauphin commun à bec court (Delphinus delphis)
Dauphin commun à bec court (Delphinus delphis).

Le dauphin commun à bec court (Delphinus delphis) est une petite espèce ne dépassant pas 2 m de long. Il se reconnaît à son motif latéral en sablier avec une zone antérieure presque jaune et une zone postérieure bleuâtre ; le dos est gris sombre et le ventre clair. Le rostre est effilé, avec un melon étroit, et l'aileron dorsal est élevé. Il se rencontre en bandes d’effectif moyen (10 à 50 individus), aussi bien au large qu'à proximité des côtes, où il adopte un régime alimentaire varié et opportuniste. C'est un dauphin très sociable, qui apprécie la compagnie des bateaux, et notamment des voiliers[6].

C'est un dauphin à la répartition très inégale : il est rare dans le bassin occidental, et plus courant au sud et à l'est de la Méditerranée ; il est particulièrement abondant en Mer Noire, où il remplace le dauphin bleu et blanc (sans doute du fait de l'absence relative de calmars)[6].


Grand dauphin (Tursiops truncatus)
Grand dauphin (Tursiops truncatus).

Le grand dauphin (Tursiops truncatus) est une espèce massive, pouvant atteindre 4 m pour 500 kg, de couleur grise presque uniforme. Il se nourrit principalement sur le fond, ce qui le rend beaucoup plus côtier que les autres espèces : il est ainsi plus facilement observé[3]. Il vit en petites bandes de 5 à 25 individus, et se nourrit de poissons, parfois directement dans les filets. C'est sans doute le cétacé qui a le plus d'appétence pour les interactions avec les humains, et donc le plus utilisé en delphinariums. Bien que le grand dauphin soit l'espèce de cétacé la plus abondante dans la Méditerranée, la taille de la population est en légère décroissance[7].


Dauphin de Risso (Grampus griseus)
Dauphin de Risso (Grampus griseus).

Le dauphin de Risso ou grampus (Grampus griseus) est une grosse espèce, atteignant 4 m pour 400 kg, caractérisé par un bec court, une tête arrondie et anguleuse, une dorsale haute (pouvant ressembler à celle d'un orque) et surtout une peau sombre presque toujours constellée de longues cicatrices, qui peuvent colorer entièrement en blanc les plus vieux individus. Évoluant en groupes de quelques dizaines, ils plongent très profond à la recherche de calmars.
Leur population en Méditerranée nord-occidentale est estimée à environ 3 à 5 000 individus[3].


Globicéphale noir (Globicephala melas)
Globicéphale noir (Globicephala melas).

Le globicéphale noir (Globicephala melas) est un très grand dauphin, mesurant entre 5 et 6 mètres de long pour 1 à 3 tonnes. C'est un dauphin entièrement noir (à part un plastron ventral blanc), avec une tête ronde presque sans bec différencié, et une dorsale courte et arquée vers l'arrière. Il vit en groupes de plusieurs dizaines d'individus, généralement très au large, où il plonge en grande profondeur à la recherche de calmars.
Leur population en Méditerranée nord-occidentale est estimée à environ 3 à 5 000 individus[3].


Orque (Orcinus orca)
Orques (Orcinus orca).

L'orque, ou épaulard (Orcinus orca) est le plus grand des Delphinidae, facilement reconnaissable à sa taille et sa robe noire et blanche.
Cette espèce est de répartition cosmopolite, entreprenant de vastes migrations plus ou moins régulières, cependant elle reste très rare en Méditerranée : la seule population à peu près résidente se trouve vers le détroit de Gibraltar[4], et les incursions jusqu'en France sont rarissime[8].

Faux-orque (Pseudorca crassidens)

Le faux-orque (Pseudorca crassidens) est rarissime en Méditerranée, représenté seulement par une petite population dans le bassin oriental, très rarement observée et sur laquelle on ne sait pas grand-chose[4].
Le faux-orque est classé « Quasi-menacé » sur la Liste rouge de l'UICN.

Dauphin à bec étroit (Steno bredanensis)

Le dauphin à bec étroit (Steno bredanensis), petite espèce grise caractérisée par son front droit sans melon, est rarissime en Méditerranée, représenté seulement par une petite population dans le bassin oriental, très rarement observée et sur laquelle on ne sait pas grand-chose[4].

Dauphin tacheté (Stenella frontalis)

Le dauphin tacheté de l'Atlantique (Stenella frontalis), petite espèce plutôt tropicale à la robe sombre tachée de gris clair, est signalé en Méditerranée mais de manière exceptionnelle, et aucune population résidente n'a été identifiée avec certitude[4].

Physeteridae et Kogiidae : cachalots

Cachalot (Physeter macrocephalus)
Cachalot nain (Kogia sima)

Le Cachalot nain (Kogia sima), comme son proche parent le Cachalot pygmée (Kogia breviceps) est une assez petite espèce (2,7 m maximum) d'allure potelée, discrète et de mœurs essentiellement tropicales[9]. Il est signalé en Méditerranée, mais considéré comme extrêmement rare[4].

Ziphiidae : baleines à bec

Baleine à bec de Cuvier (Ziphius cavirostris)
Souffle de baleine à bec de Cuvier (Ziphius cavirostris).

La Baleine à bec de Cuvier ou Ziphius (Ziphius cavirostris) est une grande espèce de baleine à bec, pouvant mesurer 7 mètres de long pour 7 tonnes, et pourvue d'un bec pointu et assez court (surtout comparé aux Mesoplodon), d'où dépassent deux dents proéminentes chez les mâles[10]. Cette espèce se rencontre en petits groupes (1 à 4 individus), sur le talus continental ou encore plus au large. C'est le mammifère pouvant plonger le plus profondément et le plus longtemps avec un record observé à 2 992 m de profondeur et 137,5 min d'apnée[11].
Cette espèce, appréciant les eaux profondes, est plus rare en Adriatique et absente de Mer Noire[10].


Mésoplodon de Blainville (Mesoplodon densirostris)

Le Mésoplodon de Blainville (Mesoplodon densirostris) est une baleine à bec plus petite que la Baleine à bec de Cuvier[12], signalée en Méditerranée mais à la présence très rare voire incertaine[4].

Mésoplodon de Sowerby (Mesoplodon bidens)

Le Mésoplodon de Sowerby (Mesoplodon bidens) est une baleine à bec plus petite que la Baleine à bec de Cuvier[13], signalée en Méditerranée mais à la présence très rare voire incertaine[4].

Phocoenidae : Marsouins

Marsouin commun : Phocoena phocoena

Le marsouin commun, autrefois abondant en Méditerranée, en a presque totalement disparu aux XIXe et XXe siècle. Une population subsiste cependant toujours en mer Noire, et des individus peuvent être rencontrés en mer Égée (Turquie et Grèce), dans le nord du bassin oriental[4].

Menaces

Pêche

Collisions

Pollution

Sursollicitation touristique

Les cétacés sont des animaux particulièrement charismatiques et appréciés du grand public[1]. En conséquence, leur observation (« whale watching ») est un secteur économique en pleine expansion. Pour parer à tout effet néfaste sur ces animaux, des règles strictes encadrent cette activité, encore renforcées dans les aires marines protégées comme le Sanctuaire Pelagos[14].

Protection

Pelagos : 25 Novembre 1999, en vigueur le 21 février 2002, 87500km², 2000km de linéaire côtier (ASPIM en 2001) Pelagos : 12 espèces de cétacés (=15% des espèces de cétacés connues) Pelagos : 450 grands dauphins 650 rorquals communs (1700 pour le bassin occidental) 35200 dauphins b&b

ACCOBAMS (l’Accord sur la Conservation des Cétacés de la Mer Noire, de la Méditerranée et de la zone Atlantique adjacente)


Voir aussi

Sources

Bibliographie scientifique

  • Steven Weinberg, Découvrir la vie sous marine : Méditerranée, Challes-les-eaux, GAP, , 2e éd., 528 p. (ISBN 978-2-7417-0533-8).
  • Denis Ody, Frédéric Bassemayousse et Yvan Frédric, Cétacés en Méditerranée : 12 ans d'étude pour leur protection, Mèze, Biotope, , 156 p. (ISBN 978-2-36662-055-9)
  • Jean-Michel Bompar, Les cétacés de Méditerranée, Edisud, .

Sites spécialisés sur les cétacés de Méditerranée

Sites généralistes de référence en identification d'espèces marines

Bases de données taxinomiques

Articles connexes

Notes et références

  1. a et b (en) Frédéric Ducarme, Gloria M. Luque et Franck Courchamp, « What are “charismatic species” for conservation biologists ? », BioSciences Master Reviews, vol. 1,‎ (lire en ligne).
  2. (en) « The World Cetacea Database », sur marinespecies.org (consulté le ).
  3. a b c d e f g et h Denis Ody, Frédéric Bassemayousse et Yvan Frédric, Cétacés en Méditerranée : 12 ans d'étude pour leur protection, Mèze, Biotope, , 156 p. (ISBN 978-2-36662-055-9)
  4. a b c d e f g h i j k l et m « Cétacés de Méditerranée », sur cetaces.org
  5. (en) Cooke, J.G., « Balaenoptera physalus. The IUCN Red List of Threatened Species », sur iucnredlist.org, .
  6. a b et c « Delphinus delphis », sur cetaces.org.
  7. (en) Notarbartolo di Sciara, G. et al., « Cetaceans in the central Mediterranean Sea: distribution and sighting frequencies », Italian Journal of Zoology, vol. 60,‎ , p. 131-138 (lire en ligne [PDF])
  8. FEY Laurent, PERRIER Philippe, « Orcinus orca (Linnaeus, 1758) », sur DORIS, .
  9. « Cachalot nain », sur cetaces.org.
  10. a et b « Baleine à bec de Cuvier », sur cetaces.org.
  11. (en) Gregory S. Schorr, Erin A. Falcone, David J. Moretti et Russel D. Andrews, « First Long-Term Behavioral Records from Cuvier’s Beaked Whales (Ziphius cavirostris) Reveal Record-Breaking Dives », PLOS ONE, vol. 9, no 3,‎ , e92633 (ISSN 1932-6203, PMID 24670984, PMCID PMC3966784, DOI 10.1371/journal.pone.0092633, lire en ligne, consulté le ).
  12. « Mésoplodon de Blainville », sur cetaces.org.
  13. « Mésoplodon de Blainville », sur cetaces.org.
  14. « Où, quand et comment observer les cétacés », sur sanctuaire-pelagos.org.