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Les soldats musulmans à la bataille d'Ypres[modifier | modifier le code]

soldats musulmans à la bataille d'Ypres

Informations générales
Date

Première bataille d'Ypres du 29 octobre au 24 novembre 1914 Deuxième bataille d'Ypres du 20 avril au 24 mai 1915

Troisième bataille d'Ypres du 31 juillet au 6 novembre 1917
Lieu Ypres
Forces en présence
origine des soldats musulmans marocains Drapeau du Maroc Maroc, algériensDrapeau de l'Algérie Algérie, sénégalaisDrapeau du Sénégal Sénégal, égyptiensDrapeau de l'Égypte Égypte, tunisiensDrapeau de la Tunisie Tunisie, indiensDrapeau de l'Inde Inde, maliensDrapeau du Mali Mali, tchadiensDrapeau du Tchad Tchad, centrafricainsDrapeau de la République centrafricaine République centrafricaine, pakistanaisDrapeau du Pakistan Pakistan

Coordonnées 50° 51′ 00″ nord, 2° 53′ 00″ est

Contexte historique[modifier | modifier le code]

Ypres connue sous le nom de Ieper en néerlandais, est une ville stratégique belge qui fut le théâtre de trois batailles majeures entre les forces alliées et allemandes durant la Première Guerre mondiale. La première bataille d'Ypres, qui s'est déroulée en 1914, vit les forces alliées défendre la ville contre l'avancée des troupes allemandes. Ce conflit fut marqué par l'utilisation des premières armes chimiques, une tactique dévastatrice qui constitua un tournant dans la guerre. L'introduction de ces armes chimiques, illustrant la détermination allemande à prendre le contrôle de la région, inaugura une nouvelle ère dans l'histoire militaire, celle des armes de destruction massive.[1]

Le rôle des soldats musulmans[modifier | modifier le code]

L’armée française a activement mobilisé, par consentement ou par contrainte, des soldats provenant de ses colonies en Afrique noire, notamment du Sénégal, du Mali, du Tchad et de la Centrafrique. Environ un tiers de ces conscrits étaient de confession musulmane. En échange de leur engagement et de leur sacrifice sur le champ de bataille, la France leur promettait les mêmes droits que leurs compatriotes français. Les troupes provenant du Maghreb étaient également intégrées dans les unités d’infanterie, étant considérées comme des hommes endurcis, souvent issus de régions aux climats rigoureux.

Les tirailleurs d’Afrique noire, après leur service sur le front, étaient généralement rapatriés vers l’arrière. Les premiers bataillons sénégalais furent déployés dans des conditions extrêmes, combattant dans la glace et la boue de l’Isère. Dans l’histoire commémorative de la Première Guerre mondiale, le rôle des soldats musulmans demeure souvent méconnu malgré leur contribution significative aux conflits. Ces hommes, souvent volontaires, se sont engagés aux côtés des forces alliées, apportant leur expertise et leur courage sur les champs de bataille. Près de 400 000 soldats musulmans servaient dans l’Armée indienne britannique, déployés sur les différents fronts européens.

Leur dévouement et leur sacrifice sont particulièrement mis en lumière au Mémorial de la Porte de Menin à Ypres, en Belgique, où les noms de 54 896 soldats britanniques et du Commonwealth, tombés au combat dans le saillant d’Ypres et dont les tombes sont inconnues, sont gravés dans le marbre. Parmi ces noms figurent ceux de soldats musulmans tels que Muhammad Aslam, Abdullah Khan, Ahmad Khan, et Muhammad Usman, témoignant ainsi de leur présence et de leur contribution sur le front occidental.

L’importance de leur engagement est également soulignée par des monuments tels que la Mosquée de Paris[[1]], érigée en 1926 en reconnaissance des tirailleurs musulmans, qui ont joué un rôle crucial dans la victoire contre l’Allemagne. Malgré le manque de reconnaissance généralisée, leur mémoire demeure vivante, rappelant l’importance de leur rôle dans la Grande Guerre et leur sacrifice pour la liberté et la paix.

Le déroulement[modifier | modifier le code]

Front occidental[modifier | modifier le code]

De nombreux soldats musulmans se sont retrouvés directement sur la ligne de front, combattant les forces allemandes sur le front occidental. Leur sacrifice a joué un rôle primordial dans le ralentissement de l'avancée allemande, retardant ainsi leur percée décisive. Les troupes de l'armée indienne britannique, comprenant des musulmans, des sikhs et des hindous, ont été au cœur des combats dès le début du conflit. Environ un tiers de ces troupes étaient des musulmans, et ils ont renforcé les forces britanniques épuisées, notamment lors de la Première bataille d'Ypres en 1914, empêchant ainsi l'armée allemande de s'emparer des ports de la Manche.

Ces soldats musulmans étaient considérés comme l'épine dorsale de l'armée indienne britannique, reconnus pour leur fiabilité et leur dévouement. Certains soldats musulmans étaient notamment connus pour retourner sur le champ de bataille pour récupérer les corps de leurs camarades tombés au combat.

Dans le contexte conflictuel de l'Inde, où plus de 70 000 soldats ont perdu la vie pendant la guerre, le retour des troupes indigènes a été entaché par des controverses. Combattant pour la cause britannique à une époque où l'Inde revendiquait une plus grande autonomie, ces soldats ont été confrontés à des critiques et à des dilemmes identitaires à leur retour au pays.

Pratique du culte[modifier | modifier le code]

Des troupes indiennes servant dans l'armée britannique prient devant la mosquée Shah Jahan à Surrey.

Des récits rapportent que des soldats musulmans nord-africains ont sauvé des vies de soldats européens en utilisant des remèdes naturels lorsque les fournitures médicales venaient à manquer sur le terrain.

Sur les tombes des soldats musulmans reposant à Ypres, des symboles et des inscriptions spécifiques à l’islam sont gravés, notamment le croissant, symbole de l’islam, et une étoile à cinq branches représentant les Piliers de la foi. De plus, l’inscription “ci-git” est inscrite en arabe, tandis que les tombes sont orientées en direction de La Mecque, conformément à la pratique religieuse musulmane.

Le contexte religieux a également imprégné les moments de prière et de célébration religieuse pendant la guerre. Lors de l’Aïd en juillet 1917, alors qu’ils étaient en poste en France, environ 1 500 soldats musulmans se sont rassemblés pour prier ensemble.

La mosquée du camp prisonnier de Halbmondlager.

Les soldats musulmans effectuaient une distribution de nourriture et de thé aux soldats présents. En 1915, l’Allemagne a érigé une mosquée dans un camp de prisonniers de guerre, rassemblant des soldats de diverses nationalités et ethnies, unis par leur foi commune. Cette initiative faisait partie d’une stratégie de propagande visant à gagner le soutien des musulmans dans le conflit mondial. L’exposition numérique sur l’alliance entre l’Allemagne et l’Empire ottoman explore cette dynamique, mettant en lumière la campagne de propagande ciblant les musulmans et examinant le Halbmondlager, ou “camp de la demi-lune”. Au cœur de cette campagne, une déclaration du sultan, traduite en anglais, proclamait le devoir des musulmans de se battre en cas d’agression contre l’Islam.[2]

Les autorités militaires britanniques et la presse ont déployé des efforts considérables pour courtiser les musulmans soutenant l'effort de guerre. Conscientes de leur potentiel en tant que réserve de main-d'œuvre, ces autorités ont cherché à intégrer les pratiques religieuses des soldats musulmans dans la vie quotidienne de l'armée. Les agendas régimentaires des bataillons composés principalement de soldats musulmans témoignent de ces efforts, avec des dispositions spéciales pour garantir aux hommes un espace pour prier et un accès à des ouvrages islamiques.Des autorisations spéciales étaient parfois accordées pour permettre aux soldats de prier en masse.

L'Allemagne et l'Empire ottoman ont cherché à mobiliser les soldats musulmans à travers une campagne de propagande panislamique. Cependant, les résultats de cette tentative ont été mitigés. Bien que la France offrait une résistance relativement faible à l'avancée germano-ottomane, les efforts allemands pour manipuler politiquement les soldats musulmans en encourageant des révoltes islamiques contre les empires adverses ont échoué. Les soldats musulmans ont montré une réticence notable à rejoindre l'alliance germano-ottomane, ce qui met en évidence les limites de la propagande pendant la guerre. Cette résistance souligne également l'importance de l'indépendance de pensée dans l'Islam.[3]

Forces en présence[modifier | modifier le code]

La bataille d'Ypres a impliqué un déploiement important de forces, comprenant un nombre substantiel de soldats musulmans. Aux côtés de l'armée britannique, environ 400 000 soldats[4] indiens musulmans ont été engagés dans la bataille. Diverses autres origines étaient représentées parmi les soldats musulmans participant à la bataille. Parmi eux, on comptait des soldats originaires du Maroc, de l'Algérie, du Sénégal, de la Tunisie, de l'Inde, du Mali, du Tchad, de la République centrafricaine et du Pakistan. Cette diversité reflétait la nature multinationale des forces en présence lors de la bataille d'Ypres.

Bilan[modifier | modifier le code]

Mention des tombes[modifier | modifier le code]

Dans le plus grand cimetière militaire de France, à Notre-Dame de Lorette, reposent les tombes de 576 soldats musulmans, faisant face à La Mecque.

Des tombes de soldats musulmans dans le cimetière de Notre Dame de Lorette.

Ces sépultures, marquées par un croissant de lune et une étoile à cinq pointes, symbolisent l'islam et ses principes de foi. Ornées d'un texte en alphabet arabe, elles témoignent du respect des rites funéraires musulmans. Parmi ces tombes, 69 appartiennent à des soldats originaires d'Algérie, du Maroc, du Sénégal et de Tunisie.[5]

Les abréviations sur les tombes indiquent les régiments auxquels ces soldats ont appartenu, reflétant ainsi la diversité des troupes coloniales françaises engagées durant la Première Guerre mondiale. En effet, durant ce conflit, les Français ont recruté 176 000 Algériens et 50 000 Tunisiens, qui ont perdu 36 000 hommes sur le front ouest-européen. Plus de 5 000 Africains ont également combattu au sein des troupes françaises sur le territoire belge.

Parmi ces troupes, figuraient également les zouaves, des Algériens d'origine européenne. Les tombes musulmanes présentes dans le cimetière portent les abréviations suivantes : RZ (Régiment de Zouaves), RTA (Régiment de Tirailleurs Algériens), RTT (Régiment de Tirailleurs Tunisiens), RTS (Régiment de Tirailleurs Sénégalais), RMZT (Régiment Mixte de Zouaves et Tirailleurs), RMTA (Régiment de Marche de Tirailleurs Algériens), RMTT (Régiment de Marche de Tirailleurs Tunisiens), RTI (Régiment de Tirailleurs Indigènes), et RIMCM (Régiment d’Infanterie de Marche Coloniale du Maroc).[6]

Réception et interprétation historique[modifier | modifier le code]

Réaction contemporaine[modifier | modifier le code]

La participation des soldats musulmans à la bataille d'Ypres a suscité une réaction variée au sein de la société française. Environ 140 000 Maghrébins ont été mobilisés pour contribuer à l'effort de guerre, tandis que d'autres ont été recrutés pour travailler dans l'industrie, marquant ainsi la première vague d'immigration de travail liée à la Grande Guerre. Au total, près de 600 000 "Indigènes" ont foulé le sol français, un nombre significatif qui a également contribué à la diversité religieuse de la population. Cette présence musulmane a été accompagnée de mesures visant à permettre aux soldats musulmans de pratiquer leur culte, reflétant une reconnaissance croissante de leur identité religieuse au sein de l'armée française.

L'attitude de l'armée française, tout comme celle de la société dans son ensemble, a souvent été marquée par des perceptions condescendantes ou méfiantes envers les soldats musulmans, héritées en partie du passé colonial.[7]

Interprétation historique[modifier | modifier le code]

Ainsi à l'orée de 1992, où l'on commémorera dès le mois de janvier, avant même la découverte des Amériques, la prise de Grenade musulmane par les Rois Catholiques, il se pose à l'Europe la même question que celle qui tarauda l'Espagne il y a un demi millénaire. Que faire face à ces « Autres », aux juifs, musulmans, transfuges du tiers monde, gens du voyage, minorités de toutes sortes. "Les accepter en se changeant soi-même et en sortant de ses peurs, ou se réfugier dans un repli mortifère sur une identité étriquée."[8]

Pour l'armée, comme pour l'ensemble de la société, le défi est de faire d'occasion vertu et de transformer la pesanteur de la présence musulmane en une énergie, puisque cette présence est une donnée géopolitique fondamentale des décennies à venir. "Tout ce qui ressemblera à de la démagogie antimusulmane, tout ce qui contribuera à renforcer méfiance, ignorance ou rejet ne pourra aboutir à terme qu'à porter préjudice à la France."[9]L'oubli de ces soldats musulmans , selon certains historiens comme Hayyan Bhabha de The Muslim Experience, a contribué à l'ignorance de leur héritage. Environ 400 000 soldats musulmans, faisant partie des 1,5 million de soldats indiens, ont servi aux côtés de la Grande-Bretagne, une contribution qui ne trouve pas toujours écho dans les récits historiques traditionnels.

Des organisations telles que The Muslim Experience et Forgotten Heroes 14-19 se sont engagées à sensibiliser sur cette histoire de la Première Guerre mondiale et de l'histoire britannique. Une étude de British Future montre que la reconnaissance publique reste faible, avec seulement 22%[10] des Britanniques conscients de la participation des musulmans pendant la guerre. Des initiatives telles que Remember Together ont été lancées pour remédier à cette lacune, en mettant l'accent sur l'éducation des générations futures sur la diversité des personnes ayant participé au conflit.

Le monument aux Héros de l’armée noire, à Reims, le 5 novembre 2018

À l'échelle internationale, des voix se font également entendre pour une reconnaissance plus large des contributions musulmanes. L'inauguration de monuments commémoratifs, comme celui dédié aux soldats africains à Reims en France, illustre cette volonté de reconnaissance. Des appels sont également lancés, comme celui d'Amadou Lamarana Diallo, pour que la France implique les descendants des Tirailleurs Sénégalais dans les commémorations,[11] reconnaissant ainsi leur héritage et leur sacrifice.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Jean-Yves Le Naour , Djihad 1914-1918, La France face au panislamisme, 2017, Perrin, p.207.

Salmon Loïc , Croix de guerre et valeur militaire, Revue de l’association nationale des croix de guerre et de la valeur militaire, n° 348 , Juin 2022.

Dominiek Dendooven, Bedford House Cemetery à Ypres , une approche de la diversité ethnique et culturelle, Un siècle de sites funéraires de la Grande Guerre, Nanterre, 2016, p.143 à 162.

Antoine Prost, Les cimetières militaires de la Grande Guerre, La Découverte, Le mouvement social, Bellanger E., Tartakowsky D(dir).,2011/4 (n° 237), p.135 à 151.

Claude Markovits, Les soldats indiens au secours de la France en 1914, Hommes et Migrations, n°1268-1269, 2007. Diasporas indiennes dans la ville. p. 44 à 59.

Alili Rochdy, Que faire des Musulmans?, Hommes et Migrations, n°1148, novembre 1991. Aux soldats méconnus. Étrangers, immigrés, colonisés au service de la France (1914-1918 et 1939-1945) p. 53 à 54.

Annette Becker(dir) et Stéphane Tison, Notice historique du dossier d’inscription. De la fosse commune à la tombe individuelle : une rupture culturelle et anthropologique majeure, Un siècle de sites funéraires de la grande guerre, Nanterre, 2016, p. 327 à 370.

Liens externes[modifier | modifier le code]

La contribution musulmane aux efforts de guerre de la Grande-Bretagne doit être mieux mémorisée (consulté le 8 mai 2024) sur https://appgbritishmuslims.org/news/2022/11/13/the-muslim-contribution-to-britains-war-efforts-need-be-remembered.

The national wwI and memorial museum, fighting with faith a wwI pow camp of propaganda (consulté le 20 avril 2024) sur https://theworldwar.org/fr/exhibitions/fighting-faith

Première Guerre mondiale : l’armée musulmane oubliée de la Grande-Bretagne , Middle East Eye édition française (consulté le 8 mai 2024) sur https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/premiere-guerre-mondiale-larmee-musulmane-oubliee-de-la-grande-bretagne

Europe's forgotten Muslim soldiers ( consulté le 15 avril 2024) sur https://www.dw.com/en/new-drive-to-honor-europes-forgotten-muslim-soldiers/a-51558693#:~:text=Among%20them%20are%20412%20soldiers,the%20Second%20Battle%20of%20Ypres.

Honour our Muslim soldiers (consulté le 15 avril 2024) sur https://www.theguardian.com/commentisfree/belief/2009/nov/05/muslim-soldiers-first-world-war.

The forgotten Muslim heroes of the First World War ( consulté le 20 avril 2024) sur https://www.thenationalnews.com/world/europe/the-forgotten-muslim-heroes-of-the-first-world-war-1.738030.

Les soldats musulmans oubliés de la Première Guerre Mondiale, consultable sur https://www.bbc.com/afrique/monde-46180243.

WA07 Cimetière militaire français de la Belle Motte, consultable sur https://www.paysages-et-sites-de-memoire.fr/site/le-cimetiere-francais-de-la-belle-motte/.

Jacques-Emmanuel De Boeck ,Commémoration des soldats marocains tombés en Belgique lors de la Première Guerre mondiale, 2021, consultable sur https://beldefnews.mil.be/commemoration-des-soldats-marocains-tombes-en-belgique-lors-de-la-premiere-guerre-mondiale/?lang=fr.

Histoire: les soldats musulmans de la Première Guerre mondiale, 2014, consultable sur https://www.francetvinfo.fr/histoire-les-soldats-musulmans-de-la-premiere-guerre-mondiale_533445.html

MAJ H., Muslim Soldiers Who Fought In WW1 & WW2, 2018  consultable sur https://www.halalincorp.co.uk/muslim-soldiers-who-fought-in-ww1-ww2/.

Amadou Lamarana Diallo: "La France doit impliquer les descendants des Tirailleurs Sénégalais dans les commémorations", BBC News Afrique, consultable surhttps://www.bbc.com/afrique/media-46119725.

Quand l'Allemagne tentait de convaincre les musulmans de faire le djihad , 2018, consultable sur https://www.slate.fr/story/157180/djihad-allemagne-guerre-1914

Ypres dans Flandre (commune-gemeente.be) , consultable sur https://www.commune-gemeente.be/fr/gemeente-ieper.html.

Fighting with faith, panislamisme, consultable sur https://fightingwithfaith.theworldwar.org/learn/about-wwi/pan-islam

Références[modifier | modifier le code]

  1. Salmon, « La bataille d'Ypres » [PDF], sur Croix de guerre et valeur militaire, (consulté le )
  2. International WWI museum and memorial, « La première guerre mondiale et le djihad », sur Fighting with faith, (consulté le )
  3. Jean-Yves Le Naour, « Djihad de papier », dans DJihad 1914-1918, Perrin, , 302 p., p. 121 à 148
  4. (en) Rahil Sheikh, « Les soldats musulmans oubliés de la Première Guerre Mondiale », (consulté le )
  5. Association porteuse du projet UNESCO, « Sites funéraires et mémoriels de la Grande Guerre », sur UNESCO (consulté le )
  6. In Flanders Fields Museum, « DOSSIER PEDAGOGIQUE VISITE DE CLASSE DU CIMETIERE FRANCAIS SAINT-CHARLES-DE-POTYZE » [PDF] (consulté le )
  7. Alili Rachdy, « Que faire des musulmans », Persée, no 1148,‎ , p. 52 (lire en ligne [doc])
  8. Alili Rochdy, « Que faire des musulmans? », Persée, no 1148,‎ , p. 53 (lire en ligne [doc])
  9. Alili Rachdy, « Que faire des musulmans », Persée, no 1148,‎ , p. 54 (lire en ligne [doc])
  10. (en) Rahil Sheikh, « Les soldats musulmans oubliés de la première Guerre mondiale », sur BBC News Afrique, (consulté le )
  11. Samba Dialimpa Badji, « Amadou Lamarana Diallo: "La France doit impliquer les descendants des Tirailleurs Sénégalais dans les commémorations" » [audio] visuel, sur BBC News Afrique, (consulté le )