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Utilisateur:WCL19-JeanRL/Brouillon

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Chacun chez soi

Perpignan est la préfecture et chef-lieu des Pyrénées Orientales[modifier | modifier le code]

Première sous partie[modifier | modifier le code]

C'est une petite ville de 1 habitant ,c'est pas beaucoup en plus de l'effacement de la négation orthographique.[1]

Partie 2[modifier | modifier le code]

2ième soussous partie[modifier | modifier le code]

Pour palier à cela nous pouvons faire appel à la Formation D'utilité Publique

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. c'est la reference

Enfance[modifier | modifier le code]

Julio-ou Julien- Cortàzar est né à Ixelles, un district au sud de la ville de Bruxelles, la capitale de de la Belgique. Le pays est alors envahi par les allemands dans le cadre de la Première Guerre Mondiale. Le petit "Coco" comme le nomme sa famille est le fils de Julio José Cortàzar et Maria Herminia Descotte, deux argentins alors mariés l'un à l'autre. Son père était un fonctionnaire de l'ambassade d'Argentine en Belgique. Grâce au fait que la grand-mère maternelle de Julio soit allemande, la famille Cortazar ira vivre en Suisse jusqu'à la fin de la Première Guerre Mondiale. Peu de temps après, Julio part vivre à Barcelone un an et demi puis de là, en 1918 il rentre en Argentine. Il vit alors à Banfield un quartier périphérique au sud de Buenos Aires avec sa mère et sa petite soeur, le père ayant abandonné la famille. Il s'inspirera de ses souvenirs passés dans la maison familiale pour écrire Los venenos y Deshoras plus tard. Mais malgré le fait qu'il soit issu d'une famille aisée, son enfance ne fut pas tout le temps heureuse, dans une lettre qu'il écrira plus tard à Graciela M. de Sola résidant à Paris le 4 de novembre en 1963: «Beaucoup de servitude, une sensibilité excessive, une tristesse fréquente». Julien Cortàzar garde son enfance un souvenir brumeux avec une perception de l'espace-temps différente des autres, quand il avait 6 ans son père abandonna la famille et ne voulu plus de contact avec Julien. De plus Julien a une santé fragile et tombe souvent malade, il reste donc au lit la plupart du temps et commence à se familiariser avec la lecture qui devient vite une passion. A neuf ans il avait déjà lu Jules Verne,Victor Hugo et Edgar Allan Poe entre autre. Il souffre même de cauchemars durant un certain temps, il passe aussi des heures à lire Le petit Larousse, Julien passe tellement de temps à lire que sa mère s'inquiète et contacte le directeur de son école ainsi qu'un médecin pour voir si Julien est sain d'esprit. Ils lui recommandent de faire arrêter la lecture à son fils ou de moins lire pendant cinq ou six mois pour qu'il puisse sortir et prendre le soleil. Julien Cortàzar fut un écrivain précoce car entre neuf et dix ans, il écrivit une nouvelle qu'il perdra malheureusement plus tard, incluant quelques contes et sonnets, malgré la grande qualité de ses écritures, sa famille continue de douter que Julien ait pu écrire de tels textes. Julien sera attristés par ces doutes et confiera ce souvenir lors de futures entrevues. Beaucoup des ses contes sont autobiographiques et racontent ce qu'il a fait durant son enfance. Par exemple Bestiario, Final del juego, Los venenos et La señorita Cora.