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Laurent Glorin

Laurent Glorin

Naissance (43 ans)
Nationalité Française
Pays de résidence France
Diplôme
Ingénieur Agronome
Profession
Chercheur
Activité principale
Scientifique
Autres activités
Tennis
Formation
Montpellier
Distinctions
Légion d'Honneur
Ascendants
Jean-Luc Glorin
Conjoint
Aurélie Glorin
Descendants
Louise Glorin

Laurent Glorin, né le 8 mars 1981 à Amiens, Somme, est un agronome picard, ayant choisi de garder la nationalité française.

Il contribue largement à la première recherche internationale sur l'analyse sensorielle des anthocyanes à l'aide de la spectrographie. Il reçoit pour cette occasion le prix Nobel d'Agronomie, appelé "prix Wolf", en 2013.

Il est également connu dans la communauté scientifique pour sa formation atypique, initialement orientée vers une carrière sportive.

Connu pour son humilité, il refuse toute interview le concernant. Il accepte néanmoins de participer aux débats scientifiques sur lesquels il est reconnu pour son expertise scientifique.

Il est aujourd’hui considéré comme le plus grand scientifique de la spectrographie et sa renommée dépasse la communauté scientifique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Rumigny, havre de paix[modifier | modifier le code]

Laurent fait ses premiers pas à Rumigny, petit village tranquille au sud d'Amiens. Les voisins avaient un élevage de mouche. Certaines aventurières avaient tendance à s'enfuir de leur enclos. Laurent se retrouvait fréquemment obliger de les chasser, ou de les piéger. La chasse faisait partie de l'entrainement de tennis : raquette à la main, il fallait les assommer une à une. Le piégeage était quant à lui simple : un ou plusieurs rouleaux de papier en serpentin enduits de colle, suspendu au-dessus des assiettes de cuisine. Toute la technique reposait dans le choix de l'emplacement du rouleau.

Courses de tracteurs[modifier | modifier le code]

Rumigny, c'était aussi les courses de tracteurs en plastique, dans la cour puis dans la rue. Ici rien d'homologué : tracteurs débridés, pneus lisses, indifférence quant aux limitations de vitesse... Un cocktail explosif. Pour parfaire le tout, le jeune voisin Quentin Adt, bien qu'étant de bonne famille, avait pour mauvaise habitude d'inciter Laurent à jouer au jeu de la mort : le premier qui mettait les pieds avant d'arriver sur la grille située en bas de la cours perdait.

Ping-Pong Show[modifier | modifier le code]

Le Ping Pong était pratiqué dans l'ancienne grange qui donnait sur la rue. Laurent prenait un malin plaisir à terrasser celui ou celle qui osait l'affronter. Jean-Luc, le père de Laurent Glorin, se souvient encore du néon cassait lors d'une partie pleine de vie. D'autres se souviennent de l'odeur puissante des engrais, des produits phytosanitaires et d'urine de chat, qui embaumait la grange.

La mauvaise influence[modifier | modifier le code]

La voisine Mme Guidé se souvient du petit voisin d'en face, qui incitait le grand Laurent à faire des sauts en longueurà l'aide de la balançoire , au risque de se casser une jambe ou pire, d'abimer l'attraction.

Sortie vélo[modifier | modifier le code]

Chez les Glorin, chacun avait son vélo. Peugeot. Pas de pompe. Y'en a une chez les voisins. Chaque sortie vélo de Laurent était précédée d'une visite chez les Adt, où le père prêtait sa pompe, faisait 2-3 blagues, et divulguait quelques précieuses prédictions météorologiques.

La console le console[modifier | modifier le code]

La console de jeu, SEGA Master System, objet de toutes les tentations, reposait dans le salon, à côté de l'insert à bois. Laurent y aurait bien passait le plus clairement de son temps. C'est également en présence d'huissier que Laurent a terminé le labyrinthe de Wonderboy in Monsterland. Un autre record rapidement enregistré dans le Guinness Book de 1991.

L'art de joindre l'utile à l'agréable[modifier | modifier le code]

Les cache-cache se déroulaient régulièrement dans le jardin et dans la maison. Plus un seul recoin ne lui était inconnu, et aucune balle ne pouvait s'égarer bine longtemps : Laurent proposait savamment d'effectuer une partie de cache-cache lorsqu'il trouvait que le stock de balles était trop bas. Chaque cache-cache était en fait une chasse aux trésors.

Le Haut Protectorat de sa Majesté Mme Glorin[modifier | modifier le code]

Laurent a bénéficié d'un coaching de haut niveau, sur le plan scolaire et sportif. Scolaire : direction l'école privée. Pratique, sa Majesté Annie y travaille. Un sans-faute, ou presque. Sportif : S.M. Annie est là pour encourager son poussin, et l'emmener à l'entrainement à l'AAC.

Des sandwichs pas comme les autres[modifier | modifier le code]

Le sandwich du goûter, généralement composé de l'intégralité d'une baguette de chez Jean-Louis Vasseur, était rituellement préparé par S.M. Annie. Les performances du jeune Laurent Glorin, fréquemment relayées dans le journal régional, ont donné lieu à de fréquents contrôles de la part du CADA (Centre Anti-Dopage Amiénois). Les premières analyses se sont révélées négatives. La congélation d'un morceau de sandwichs a été réalisée afin de réaliser de futures études. Le laboratoire du CADE fit réaliser une série de tests spectrographiques à courbe élargie, amplifiée et déformée. Les résultats étaient sans appel : des traces d'engrais 15 15 15, habituellement utilisé pour les fraises, ont été retrouvées dans la margarine. La poudre de cacao contenait quant à elle un dérivé de cocaïne. Le sucre était quant à lui mélangé à du Meta-Inteligium-Concentris-Performus-Alpha, une substance généralement utilisée pour prolonger les effets de la Cacaoïne pendant 24 heures.

Itinéraire d'un champion[modifier | modifier le code]

Laurent et le sport[modifier | modifier le code]

Il découvre le sport à l'âge de 2 ans. Raquette en main, il s'entraîne plusieurs fois par semaine et remporte trophées sur trophées. Il est rapidement sacré champion de Picardie. Une victoire facile mais méritée. Le Courrier Picard titrera alors "Rumigny, terre de champions". Cette victoire n'aurait pu avoir lieu sans l'aide de la famille. La maman aux sandwichs, les sœurs Pompom Girls, Jean Luc au volant de la BX rouge. Alors 4e au classement ATP, Laurent Glorin arrive à un moment charnière dans sa carrière. Sa mère témoignera qu’il avait alors le choix entre études agronomiques et carrière sportive. Le choix est fait, la carrière sportive est mise de coté au profit d'un épanouissement intellectuel et scolaire conforme à la lignée.

Trivial le Trivial[modifier | modifier le code]

Laurent a pour habitude de garder un jeu de Trivial Poursuite dans sa voiture. Le 13 novembre 2009, il accepte de jouer à ce jeu sous contrôle d'huissier. Il réalise un "6 bonnes réponses à la suite sur une même carte", sans grande difficulté comme en témoignera Quentin Adt, l'accompagnant dans la voiture. Ce record mondial est inscrit dans le Guinness Book 2010.

Etudes supérieures[modifier | modifier le code]

Concours et destin[modifier | modifier le code]

Laurent a effectué une prépa (sources manquantes) pour intégrer l'Ecole d'Agronomie de Paris. Pour une raison inconnue, les copies de l'épreuve de mathématiques ont disparu. Laurent, ne supportant pas cela, décida de boycotter intellectuellement cette épreuve qu'il lui fallait repasser. Les conséquences sont immédiates : Laurent fait une croix sur Paris, et prend la direction du Mont Peul, en Afrique Sub-Saharienne, pour y mener une vie d'ingénieur à L'Colik. Initialement prévu pour 3 ans, son contrat est prolongé pour parfaire son savoir-faire en informatique. Une année de glandouille supplémentaire, avec en cadeau un passage chez les hippies bergers de St Antonin Nobles Val. Discussion : Thomas Goubert confirme l'avoir cotoyé lors de sa prépa


Une vie de travailleur bien méritée après les études[modifier | modifier le code]

Il coince une bulle en Champagne[modifier | modifier le code]

Laurent effectue un passage dans les terres fertiles du sud-est de l'Aisne. (Sources manquantes) Discussion : Willy Cornu confirme l'avoir vu, mais ne saurait préciser la date

Passage par Paris[modifier | modifier le code]

Laurent a séjourné plusieurs années dans la villa Medvès, construite à sa demande, au 36 boulevard Jourdan. Il transforma cette demeure en maison collective. Il inventera pour l'occasion le terme "colocation". Y vécurent, pour les plus connus : Hervé Grémon, Nicolas Gosshardt, Quentin Gdt

Chambre humide[modifier | modifier le code]

Comme à son habitude, il refuse tout confort inutile, et propose à ses amis les meilleures chambres. Il se contentera de dormir dans la chambre Sauna, où une flaque d'eau sous son armoire symbolisait la nature.

Table basse pas-pin[modifier | modifier le code]

Aimant jouer avec les symboles, il utilisa des parpaings pour se faire une table basse. Ici, il matérialisait la symbolique de la construction, de l'emprise de l'Homme sur la nature, et de son attachement pour le recyclage.

Arrivée d'Aurélie[modifier | modifier le code]

Tant de réussites, de créativité et d'inventivité ne laissèrent pas insensible la gente féminine. C'est dans sa case que Laurent Glorin fit séjourner celle qui deviendra par la suite sa femme, Aurélie Glorin. Totalement charmée par ce petit cocon imprégné d'exotisme, Aurélie ne put qu’accepter d'y séjourner. Le voisin du dessous, Hervé Grémon, confirme dans le magazine Picardie People, avoir été témoin e l'entente rapide entre Aurélie et Laurent.

Un cadeau bien mérité[modifier | modifier le code]

Laurent, désireux de transmettre un patrimoine génétique gonflé à l'azote, fait du forcing auprès de sa compagne. Usant de son charme, les négociations tournent court : c'est un oui immédiat, et très affirmatif. Le voisin du dessous confirme avoir entendu certaines étapes propédeutiques. La tchote Louise, fruit du croisement du meilleur de la Picardie et de la Bretagne, pointera le bout de son nez à la date prévue. Comme le relate le journal Le Monde, en date du 12 mars 2014, "c'est une nouvelle vie qui s'offre à moi". C'est sous couvert d'anonymat que Laurent Glorin reconnaitra qu'il préfère à présent concentrer son travail salarié sur un plus court laps de temps afin de se consacrer à son travail de papa.

Le cerveau de Laurent[modifier | modifier le code]

Lobe supplémentaire[modifier | modifier le code]

En plus des deux lobes d’oreille, le cerveau de Laurent Glorin présente la particularité d’être organisé d’un lobe supplémentaire. Si la fonction de celui-ci n’a été découverte qu’en 1997, la communauté scientifique ne s’est entendue sur sa fonction qu’au colloque de Lobbes en 1999. Thomas Lhobbes a ainsi décrit ces fonctions, ce lobe permettrait à Laurent Glorin de « lui accorde[r] un rôle moteur accru du bras droit ». L’étude de Laurent Glorin contre témoin a ainsi pu démontrer que ce cinquième lobe améliore de façon notable la faculté de lober son adversaire au tennis. Depuis 1998, ce cinquième lobe est communément appelé le lobe lob. ConnectiqueLobique

Hallucinations auditives[modifier | modifier le code]

En 2009, Laurent Glorin est hospitalisé pour hallucinations auditives. Il séjourne à l’hôpital du Haut-Pital pendant 8 jours avant de rencontrer le docteur Ray Zeau. L’analyse des résultats permet de mettre en évidence la présence d’une antenne parabolique située à l’extrémité gauche du lobe occipital du cerveau de Laurent Glorin. Des mesures ultérieures ont permis de mettre en évidence que les réceptions possibles s’établissaient autour de fréquence ou de longueur d’onde de la bande L dès 1,1 Ghz. Le diamètre étroit de l’antenne parabolique ne semble pas avoir gêné le développement des masses cérébrales. Mesurant 2,7 mm, elle présente la particularité d’avoir une grande ouverture (78,9°) lui conférant un gain de 23,4 décibels à 12 Ghz permettant à Laurent Glorin de réceptionner les informations météorologiques sans parasite sonore.

Interventions au Salon de l'Agriculture[modifier | modifier le code]

Décadence annuelle d’une éducation trop raisonnée[modifier | modifier le code]

D’aucuns connaissent une phase sombre au cours de leur vie, une période difficile plus ou moins courte voire récurrente pendant laquelle s’exulte son soi ténébreux. Laurent sait canaliser à sa façon ses pulsions sombres pour les exprimer au cours d’une catharsis annuelle. Comme les brésiliens ou les dunkerquois ont leur célèbre carnaval à la sortie de l’hiver, tout agronome de formation a lui aussi son évènement annuel : le sacro-saint Salon de l’Agriculture de la Porte de Versailles. Rite exutoire et nocturne se concrétisant par le vol des étalages. Passé cet épisode annuel d’intense purification d’énergie négative, il vit tout le reste de l’année dans une bonté et une justesse paisibles et sans faille. Cette pratique méconnue de trop de membres de son entourage mérite d’être relatée ! Concentrée sur la soirée de nocturne du Salon de l’Agriculture, elle est simple et savamment orchestrée : elle consiste à subtiliser intentionnellement des marchandises comestibles dans les étalages environnants, au nez et à la barbe des exposants. Un tel résultat est rendu possible grâce à une technique auto-développée et éprouvée : agir vite et en période de très forte affluence…. Avantage aux individus combinant les bras longs et maitrise de soi même face à l’exposant fatigué et baissant la garde ne serait-ce qu’une minute ! Cette pratique est courante et commune pour de nombreux agronomes, initiée par un parrain de formation issue de l’agro-vol…. les meilleurs (et souvent parrains) de cette discipline émanant bien sûr des formations prestigieuses françaises. Transcendé par cette expérience, l’élève peut très rapidement dépasser le maître, non seulement en exerçant ses activités de façon brillante et productive, mais aussi en éduquant à son tour des personnes de son entourage devenues ses disciples – on parle d’ailleurs de l’existence d’une diaspora nationale – lui permettant d’illustrer son talent de leadership exemplaire tout en exhibant un côté sauvage rare. D’après les syndicats agricoles représentants représentés par la FNSEA, les pertes se chiffrent en milliers voir millions d’euros. Le lobbying agricole milite auprès des instances publiques françaises pour la mise en place d’une subvention réparatrice des dommages causées à la profession. A titre d’illustration, voici une liste exhaustive des vols recensés : saucissons rares, fromages par meules entières, rhums en bonbonnes, miels haut de gamme, vins d’exception, pâtés introuvables sur les marchés, … Interrogés par les autorités policières, certains disciples témoins ont été incapables d’être exhaustifs quant au contenu de certaines récoltes tant elles étaient fructueuses et riches de variétés, ce qui lui vaut le surnom de « Mesrine du Salon de l’Agriculture ». Ce comportement est peut être litigieux à vos yeux, sachez que le mobil final reste très louable. Rapporté au prix prohibitif pratiqué lors de ce salon, nous pouvons parler de syndrome de Robin des Bois urbain. Car, la finalité n’étant pas de porter préjudice au salon, mais de se constituer une réserve comestible dans l’objectif de préparer la soirée.

Le criminel éphémère chargé de son larcin prolonge l’expérience la nuit même, se dirigeant vers le Hall N°1 au moment précis où il est interdit d’y entrer, afin d’y passer une nuit de débauche. Il y consomme alors le fruit de son travail tout juste achevé, le partageant avec des amis et agriculteurs (non sans ironie !), et terminant la nuit au plus près des bêtes, allant jusqu’à se coucher dans leur paille – un doux contact qui lui évoque l’environnement dans lequel il grandit jadis. Ce n’est qu’après ce moment de communion qu’il se rendra à un vigil, lui laissant le soin de l’expulser du site sans autre forme de procès, et qu’il retrouvera le visage du citoyen qu’on lui connaît…. Un légitime retour à sa raison.