Utilisateur:Professeur Essef/Brouillon

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ASTRONOMIE & ASTROPHYSIQUE DU XXIème SIÈCLE


I - Erreur de la science sur l'orbite de la planète Mercure [entre autres planètes].


Aphélie  : a = 0,4667 u.a environ (source : Wikipédia) Périhélie : p = 0,3075 u.a environ (idem)


Soit αme l'angle de Copernic de cette planète (angle maximal sous lequel son centre est vu de celui de la Terre, à partir de la demi-droite [T;S)), Me son centre, Oe celui de son orbite et ℜme son rayon d'orbite moyen (ou demi-grand axe); on peut alors écrire :

sin αme = OeMe/TOe = ℜme/(ST - SOe) = ℜme/(OtT ± OtS - SOe) [T est le centre de la Terre, et Ot celui de son orbite]; j'ai écrit ± car on ne sait pas à priori, si Oe et Ot sont du même coté par rapport au Soleil.

1er cas : S est entre Ot et Oe, alors puisque ST doit être minimal, T sera du côté de Oe, et on aura :

sin αme = ℜme/(OtT - OtS - SOe) = 0,3871/(1 - 0,0169 - 0,0796) environ, puisque ℜme = (a + p)/2 et SOe = (a-p)/2; donc sin αme = 0,3871 : 0,9035 = 0,428444936 ⇒ αme = 25,37° environ.

Remarque : la valeur 0,0169 u.a de OtS a été calculée sur la base des données de Wikipédia concernant la valeur minimale et la valeur maximale du diamètre apparent du Soleil; mais j'aurais pu prendre la valeur classique 0,0167.


2ème cas : Ot et Oe sont du même côté par rapport à S, alors puisque TOe doit être minimal, T sera encore du côté de Oe, et on aura :

sin αme = ℜme/(OtT + OtS - SOe) = 0,3871/(1 + 0,0169 - 0,0796) = 0,3871: 0,9373 = 0,412994772 ⇒ αme = 24,39° environ.

Dans les deux cas, on trouve un angle nettement inférieur aux dernières mesures, qui donnent αme = 28° environ depuis le début du siècle dernier, et même avant !!


Ces résultats [à supposer que ℜme soit exact], montrent que la science s'est un peu trompée sur les valeurs du périhélie et de l'aphélie de Mercure.


En tout cas, voilà de simples calculs qui participeront à ébranler les bases même de l'édifice de l'astronomie moderne ...


Je soutiens, et je le prouverais bientôt lors d'une conférence future, que l'orbite de Mercure est inexacte.

D'ores et déjà, j'affirme que ℜme > 0,39 u.a et que pour la valeur de son excentricité e, on a : e > 0,2 (les valeurs précises seront données courant 2019 si tout va bien).

Additif : concernant la planète Vénus, l'erreur sur le rayon d'orbite est moins faible : j'ai trouvé dernièrement ℜv < 0,72 u.a alors que pour la science ℜv = 0,72333 u.a (valeur déduite des données sur Wikipédia), et surtout que l'excentricité e vaut quasiment 0,01 !

Pour Mars, l'erreur sur le rayon d'orbite est plus faible : j'ai trouvé dernièrement ℜma = 1,5225 u.a alors que pour la science, ℜma = 1,524 u.a environ (voir Wikipédia).

S'agissant des planètes suivantes, rien ne va plus : les erreurs sont parfois très importantes (entre 5 et 30%, par rapport à mes valeurs, pour les rayons d'orbites) :

j'ai re-prouvé mathématiquement toutes mes affirmations ce printemps 2019 !!!!

Pour moi, la 3ème loi de Képler n'est vérifiée que par la Terre, et approximativement par Vénus et Mars (et ceci est normal puisque c'est sur Vénus, il me semble, que Képler s'était basé, pour la conjecturer .....) !!!!!


Article rédigé ce jour 10 Octobre 2017; et corrigé un an plus tard, le 23 Octobre 2018, puis le 20 Mai 2019.



II - Erreur(s) de beaucoup de scientifiques sur le mouvement de la Lune.


Dans ce nouvel exposé, je vais me contenter de mettre le doigt sur une assez grave erreur (à mon sens), que des professeurs de sciences physiques colportent depuis des décennies et plus, s'agissant d'une pseudo-méthode de calcul de la vitesse moyenne de la Lune par rapport à la Terre; méthode qui, curieusement, n'a pas éveillé un questionnement chez eux, d'autant qu'ils sont censés ne pas ignorer le résultat bien connu, concernant les forces moyennes exercées sur la Lune, par notre Terre ET par le Soleil.


La vitesse moyenne Vℓ/t de la Lune par rapport à la Terre se calcule très facilement de la façon suivante : Vℓ/t = (2 x π x d) : T où d est la distance moyenne entre la Terre et la Lune, et T la période orbitale de révolution de la Lune autour de la Terre.

En prenant d = 384400 km et T = 27,32 jours = 27,32 x 24 h environ (cf Wikipédia); on trouve Vℓ/t = 3683,6 km/h environ (on la notera v par la suite, pour plus de commodité).

Une autre "méthode", basée sur la loi de la gravitation universelle de Newton, que j'ai lue [entre autres] dans des corrigés d'exercices de physique pour des élèves de 1ère scientifique, est la suivante :

La force F exercée par la Terre sur la Lune, dont le mouvement autour (et par rapport) à elle peut être assimilé à un cercle de rayon d, étant "radiale", on peut donc écrire :

F = Mℓ.v²/d où Mℓ est la masse de la Lune; mais cette force F peut aussi s'écrire (Newton) :

F = G.Mℓ.Mt/d² en combinant ces deux égalités on aboutit à :

v²/d = GMt/d² donc à v² = GMt/d soit à v = √(GMt/d)

En prenant G = 6,674 x 10⁻¹¹ usi et Mt = 5,972 x 10²⁴ kg (cf Wikipédia), on trouve donc :

v = 1,018266 x 10³ m/s (en prenant bien garde d'écrire d en notation scientifique : d = 3,844 x 10⁸ m environ)

v vaut donc 1,018266 km/s environ = 3665,76 km/h environ !

On ne trouve pas tout à fait le même résultat que celui plus haut, mais "peu importe, puisque c'est presque ça et d'ailleurs la vitesse de la Lune est un peu variable" ...

... rétorquent de nombreux enseignants !

Ce qu'oublient (ou ignorent) ceux qui appliquent cette 2ème méthode, c'est la force exercée par le Soleil sur la Lune ! Que le système Terre-Lune n'est pas isolé, et que le repère lié à la Terre n'est même pas galiléen !

Et cette force non seulement n'est pas négligeable, mais elle vaut (en se basant sur des données de la science), plus du double* de celle exercée par la Terre ! Et que, quelque soit la position de la Lune, il faille additionner deux vecteurs force pour déterminer la force radiale (à la rigueur ce calcul peut s'effectuer sans problème, lorsque la Lune se trouve en PQ ou en DQ) ...

Alors paradoxe ?

Il est vrai que v est une vitesse moyenne, et les enseignants devraient donc insister sur ce fait, mais il n'en demeure pas moins que le 2ème calcul est faux dans son principe :

il y a BIEN un paradoxe, que j'éclaircirais lors d'une conférence future.

(*) En notant F' la force moyenne exercée par le Soleil sur la Lune, on peut écrire : F' = G.Mℓ.Ms/D² environ (car d<< D)

Sachant que D = 1,496 x 10¹¹ m environ et que Ms = 1,989 x 10³⁰ kg environ (cf Wikipédia), on peut écrire :

F'/F = Ms/D² : Mt/d² = (Ms/Mt) x (d/D)² = 2,199 environ.


Le paradoxe est-il levé par la science ?


Ma réponse est non, car puisque le vecteur force F' exercé par le Soleil existe, le vecteur force radial résultant, exercé sur la Lune, varie beaucoup en direction ET en intensité (en NL par exemple, il est dirigé vers le Soleil) ! La vitesse de la Lune par rapport à la Terre va donc "pas mal" varier !


En principe, on ne peut appliquer la 2ème méthode QUE dans le cas où la force F' est négligeable devant F, mais cela ne "semble" pas être le cas, puisqu'on vient de voir que non seulement elle n'est pas négligeable, mais qu'elle vaut plus du double ! Or, comme la 2ème méthode s'applique (le 2ème calcul de v le montre), c'est "qu'il y a un loup" quelque part .....

Où ça ? Dans F' bien sûr : pour moi, sa valeur est beaucoup trop grande, ce qui revient à dire que Ms/D² devrait être négligeable devant Mt/d², et donc que D** devrait être nettement plus petit que les valeurs mesurées (qui ne sont "pas certaines à 100%)") par les astronomes.


J'affirme qu'il ne suffira pas seulement de corriger D.....


(**) Il est facile de montrer que Ms/D² varie "comme" D (selon le sens des "anciens" : pardon pour cette petite cachoterie), et vous pouvez chercher à le faire par vous-mêmes (de plus, c'est lié à une question sur le Soleil, que j'ai posée sur un forum connu d'astronomie).....


Second article rédigé ce jour de 7 Novembre 2018, par Professeur Essef.



III - La science s'est-elle trompée sur l'orbite et le diamètre de la planète Neptune ?


Lors de mon exposé sur l'orbite de la planète Mercure, il y a un an de cela, je n'avais pas dévoilé le secret du calcul des rayons d'orbite des planètes; secret que ne pouvait pas trouver Képler en son temps, car il manquait quelque chose dans les tables de Tycho Brahé, et ce quelque chose, je vais vous le dévoiler en deux temps.

Aujourd'hui, je vais dévoiler la petite partie de ce secret, qui ne vaut que pour les planètes dont on sait d'avance que l'orbite est quasi-circulaire; à savoir Vénus, du fait des mesures des variations de l'angle (S,T,V), et peut être Neptune, du fait que son diamètre apparent maximal (2,4") est proche de son diamètre apparent minimal (2,2").

Pour ces deux planètes, la méthode de détermination du rayon d'orbite moyen est tellement élémentaire qu'elle vous a tous aveuglés, prompts que vous êtes à utiliser d'emblée la méthode du sinus de l'angle de Copernic pour Vénus (voir I), et la 3ème loi de Képler pour Neptune !

Comment se fait-il que personne (oui personne, je crois) n'ait pensé à la méthode générale, je m'étonne encore ?! En tout cas, voici juste la petite méthode:


Méthode approchée de calcul des rayons d'orbite moyens des planètes Vénus et Neptune (valable QUE pour ces deux planètes).

Planète Vénus :

δ1 = 9,7" diamètre apparent minimal, vu de la Terre bien sûr; conjonction inférieure (source : Wikipédia)

δ2 = 66" diamètre apparent maximal ...................................... supérieure .......... .........

Soit Dv le diamètre réel de Vénus, et x la valeur en u.a de son rayon d'orbite moyen; on peut donc écrire, puisque le rayon d'orbite de la Terre vaut 1 u.a :

sin(δ1) = Dv/(1+x) et sin(δ2) = Dv/(1-x); et en divisant ces 2 égalités membre à membre, on en déduit donc :

sin(δ1)/sin(δ2) = δ1/δ2 = (1-x)/(1+x) et cela en vertu du fait que les angles δ1 et δ2 sont "infiniment" petits, et que δ1/δ2 est un rapport, donc SANS unité (que d'abus mathématiques font pas mal d'auteurs dans les calculs de parallaxes, par exemple, en ne tenant pas compte de cette petite remarque !)

Cette dernière égalité équivaut donc à 9,7(1-x) = 66(1+x) soit à 75,7 x = 66 - 9,7 = 56,3

Donc x = 56,3/75,7 = 0,743725231 u.a environ (notez que c'est quasiment la valeur de sin 48°, 48° étant la valeur approchée de l'angle de Copernic de Vénus !)

Remarque : on peut même en déduire une valeur approchée du diamètre de Vénus, connaissant la valeur de l'u.a; en effet :

On a par exemple Dv = (1+x)sin(δ1) = 1,743725231 x sin(9,7") = 1,743725 x 4,702692705 x 10⁻⁵ u.a

donc Dv = 8,200204 x 10⁻⁵ u.a

Si on prend pour l'u.a la valeur 1 u.a = 149.600.000 km = 1,496 x 10¹¹ m, on trouve :

Dv = 1,226750507 x 10⁷ m = 12267,5 km environ, et pour le rapport Dv/Dt :

Dv/Dt = 12267,5 : 12742 = 0,962761, donc une valeur toute proche du "classique 0,95" (il va de soi que Dt est le diamètre de la Terre, qui vaut 12742 km environ).


Mais me direz-vous, Wikipédia donne la valeur 0,72333 u.a pour ce rayon d'orbite, et vous-même avait affirmé plus haut (au I), que vous avez trouvé moins de 0,72; alors pourquoi ne pas tout de suite nous sortir le "grand jeu" ?

Ma réponse est écrite dans le sous-titre même : "méthode approchée"; soyez donc patient en attendant cette hypothétique conférence, d'autant, que mon but réel est de dévoiler ce qui va suivre, c'est à dire ce qui concerne Neptune, dont la valeur de 30,1 u.a n'est pas sûre.


Planète Neptune :

δ1 = 2,2" diamètre apparent minimal (source : Wikipédia)

δ2 = 2,4" diamètre apparent maximal (idem .............)

Soit Dn le diamètre réel de Neptune, et y la valeur en u.a de son rayon d'orbite moyen; on peut donc écrire, en supposant son orbite quasi-circulaire :

sin(δ1) = Dn/(y+1) et sin(δ2) = Dn/(y-1); en divisant membre à membre ces 2 égalités, on en déduit donc :

sin(δ1)/sin(δ2) = δ1/δ2 = (y-1)/(y+1); ce qui équivaut donc à  : 2,2(y+1) = 2,4(y-1) soit à 0,2 y = 4,6

Donc y = 4,6 : 0,2 = 23 u.a

La valeur approchée du rayon d'orbite de la planète Neptune serait donc de 23 u.a et NON PAS 30,1 ou toute autre valeur trouvée par Le Verrier ou son collègue anglais Adams !! (En fait elle vaut un tout petit peu plus, entre 23 et 23,5 u.a, par un calcul plus précis, que chacun peut trouver s'il est un peu perspicace).

Remarque : on peut, comme avec Vénus, en déduire une valeur approchée du diamètre de Neptune; en effet :

Dn = (y+1)sin(δ1) = 24 x sin (2,2") = 24 x 1,066590098 x 10⁻⁵ = 2,559816236 x 10⁻⁴ u.a

Et si on prend 1 u.a = 1,496 x 10¹¹ m, on trouve :

Dn = 3,829485089 x 10⁷ m = 38294,85 km environ = 38295 km environ

et Dn/Dt = 38295 : 12742 = 3 environ : Neptune n'est donc en fait que 3 fois plus large que la Terre, et NON PAS 4 !

Et je serais donc au regret d'en déduire que la 3ème loi de Képler est FAUSSE en général (car non vérifiée par Neptune, puisque 23³ : 164,8² = 0,448 environ et NON PAS 1 !).


En fait, comme l'excentricité de l'orbite de Neptune est vraisemblablement faible (environ 0,0086 selon Wikipédia), son orbite est bien quasi-circulaire, mais on ne peut pas utiliser cette méthode approchée, pour avoir une valeur assez précise de y.


Je montrerai lors d'une conférence future, qu'on ne peut pas déterminer rigoureusement y par la méthode générale, à cause d'une [autre] donnée très peu précise concernant cette planète ...

... que j'ai tout dernièrement analysée, pour en déduire une minoration de ℜn, très inattendue pour moi.


Jusqu'à de plus amples précisions, je vais me contenter d'écrire :


ℜn > 36 u.a : la science s'est largement trompée sur la valeur du rayon d'orbite de Neptune, et conséquemment sur son excentricité; de plus, Neptune serait en moyenne ...

... plus éloignée du Soleil que Pluton [dont le rayon d'orbite est surestimé par la science] !!



Troisième article rédigé ce jour de 8 Novembre 2018 (et corrigé les 5 & 27 Décembre 2018, puis le 29 Mars 2019, et le 20 Mai 2019, et enfin les 29 Novembre et 24 Décembre 2019), par Professeur Essef.



IV - Erreur de la science sur la distance moyenne Terre-Soleil.


Depuis 2018, je suis en possession de la démonstration du fait que la distance moyenne de la Terre au Soleil, NE PEUT PAS valoir 149.600.000 km environ.

Cette démonstration, comme au § II, se base sur la mécanique newtonienne, et je tiens à signaler que c'est une variante de celle que j'avais donnée mi-Octobre 2018 (sous un pseudo d'emprunt), sur un forum bien connu de physique, dans la rubrique Astrophysique :

heureusement qu'elle n'avait pas convaincu mes lecteurs (dont certains sont des pro(f)s), car peu après, j'avais regretté de l'avoir fait "si tôt"!

Voici donc une variante de cette preuve [par l'absurde] :


Supposons que la distance moyenne Terre-Soleil vaille 149.600.000 km environ, alors en utilisant la mécanique newtonienne, et les résultats démontrés au § II, on en déduit que la force moyenne F' exercée par le Soleil sur la Lune, vaut environ 2,199 fois celle F exercée par la Terre sur cet astre; je vais alors appliquer ce résultat deux fois :


- a - une première fois lorsque la Lune est en NL (et même en position d'éclipse solaire pour les puristes)

- b - une seconde fois, lorsque la Lune est en PL (et même en position d'éclipse lunaire, qui suit environ deux semaines plus tard, la position précédente, pour les puristes).


Dans les deux cas, les centres de la Terre, de la Lune et du Soleil, sont quasiment alignés; les vecteurs forces sont donc quasiment radiaux, donc quasi-colinéaires !

Lorsque la Lune se trouve dans le cas a, la résultante des forces exercées sur elle, a pour intensité (F' - F), et (F' + F) dans le cas b (voir § II), soit :

2,199 x F - F = 1,199 x F environ, dans le cas a et

2,199 x F + F = 3,199 x F environ, dans le cas b.

En appliquant la relation fondamentale de la dynamique de Newton, et en notant Mℓ la masse de la Lune, Vt la vitesse moyenne [linéaire] de la Terre autour du Soleil, et v celle moyenne (linéaire) de la Lune par rapport à la Terre, je peux donc écrire, en me plaçant dans un repère copernicien de centre S :

1,199 F = Mℓ x Γ₁ = Mℓ x (Vt - v)²/(D-d) (Γ accélération normale) dans le cas a et

3,299 F = Mℓ x Γ₂ = Mℓ x (Vt + v)²/(D+d) dans le cas b.

En divisant la 2ème relation précédente par la première, j'obtiens donc :

3,199/1,199 = [(Vt + v)/Vt - v)]² x ((D - d)/(D + d)

Je rappelle que v = 1 km/s environ et que Vt = 2π x D/T (T période orbitale de la Terre autour du Soleil), soit : Vt = 29,785 km/s environ; ce qui donnerait environ :

2,668 = (30,785/28,785)² x (149600000 - 384400)/(149600000 + 384400), soit :

2,668 = 1,138 environ, ce qui est absurde : on aboutit donc à une CONTRADICTION FLAGRANTE !!


Dans le cadre de la mécanique newtonienne, j'ai donc démontré [par l'absurde], que la distance moyenne Terre-Soleil NE PEUT PAS valoir 149.600.000 km environ. CQFD


N.B : Je signale à mes lecteurs, que depuis fin Janvier 2019, je suis en possession d'une AUTRE preuve de ce résultat, et c'est une preuve mathématique simple et implacable, donc encore plus irréfutable .....

Les astronomes [que je respecte tous], semblent donc faire, MALGRÉ EUX ... ... une(des) erreur(s) "systématique(s)" dans leurs mesures.


Additif (4 Février 2019) :


À présent que l'on sait que la valeur de la science pour D est fausse, la question de son ordre de grandeur se pose immédiatement; qu'en est-il donc ?

Pour clore ce paragraphe, je vais me contenter d'affirmer qu'en utilisant la gravitation de Newton, j'ai facilement démontré que D est plus petite que 80 millions de km ("en gros") ...

Il est vrai qu'entre 0 et 80 millions, il y a de la marge, mais le but de ce paragraphe n'est pas de donner la valeur quasi-exacte [selon moi] de D; ce que je ferais plus tard, lors de conférences internationales; il faut juste savoir que la question est délicate, et que SEULE une FUTURE expérience précise de mesure de D, pourra confirmer mes estimations; expérience différente de celles que l'on a faites jusqu'à présent, ET dont j'ai touché un mot sur le web.


Quatrième article rédigé ce jour de 1er Février 2019 (et augmenté le 4), par Professeur Essef.



ADDITIF IMPORTANT qui concerne le paragraphe IV (4 Mai 2019):


La démonstration que j'ai établie dans ce paragraphe, avait besoin d'être améliorée.


En effet, lorsqu'un mouvement n'est pas circulaire uniforme, l'expression de la norme Γ du vecteur accélération ne vaut pas V²/ρ, où V est la norme de son vecteur vitesse, et ρ sa distance au Soleil; de plus la trajectoire de la Lune, vue du Soleil, non seulement n'est pas contenue dans l'écliptique, mais n'est même pas plane...


J'affirme avoir tenu compte de ces réalités, dans la rédaction de ma nouvelle preuve, que je garde secrète, car elle contient des indications concernant la détermination de la distance moyenne Terre-Soleil

... preuve que j'exhiberai en conférence, le jour venu.




V - Les 13 erreurs (selon moi) de l'astrophysique moderne (12 + une ajoutée fin Avril 2020)


J'affirme que les bases actuelles de l'astrophysique sont fausses, ou au mieux approximatives, et ont donc BESOIN de très sérieuses corrections !!


Croyez le ou non, voici une liste non exhaustive de ce qui cloche :


1 - La distance moyenne Terre-Soleil (elle est en fait, comprise entre 6 et 80 millions de km).


2 - La 3ème loi de Képler : les rayons d'orbite en u.a, des planètes Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune & Pluton sont faux (ils ont entre 5 et 30% d'erreur).


3 - Les diamètres de TOUS les astres du système solaire [au moins], Terre et Lune exceptées; ainsi que leurs rayons d'orbite autour du Soleil, exprimés en km; et plus généralement toutes les dimensions dans le système solaire (la distance Terre-Lune exceptée) :

ils sont TOUS à diviser par 2 au moins (conséquences du 1).


4 - Les vitesses de la Terre et de la Lune, par rapport au Soleil (elles sont au moins 2 fois plus petites(conséquences du 1).


5 - La trajectoire de la Lune, vue du Soleil (elle n'est PAS DU TOUT de type hélicoïdal).


6 - Les trajectoires de TOUTES les planètes, vues du Soleil (elles ne sont pas elliptiques, MAIS de type ovoïde, peu prononcé, le Soleil comme seul "foyer").


7 - Les vitesses minimale et maximale de la Lune par rapport à la Terre.


8 - Le rapport entre la force moyenne exercée par le Soleil sur la Lune, et celle exercée par la Terre (il ne vaut PAS DU TOUT 2,2 environ, mais il est inférieur à 1).


9 - La nature de la gravitation universelle et la soi-disant symétrie des forces exercées entre deux corps.


10 - La constante de gravitation G & la formule [simplifiée] de Newton.


11 - La masse de la Lune et celle de la Terre.


12 - Les densités globales de TOUS les astres du système solaire.


13 - La formule de la loi de la gravitation universelle de Newton (pas du tout universelle car NON vérifiée dès qu'on s'éloigne "suffisamment" de l'astre mère).


Cinquième article, rédigé ce jour de Vendredi 29 Mars 2019 (et corrigé les 11, 20 & 22 Mai 2019; puis les 10 & 26 Juin 2019), et enfin les 1er Avril, 1er & 26 Mai 2020, par Professeur Essef.




VI - Erreur conséquente de Mr tout le monde [professeurs & chercheurs compris, depuis des lustres] sur le sens du mouvement de la Lune, vue du Soleil (ou de suffisamment "au-dessus" de l'écliptique).


Je tiens d'emblée à préciser que ce paragraphe aurait pu s'inscrire comme second additif important, à la suite du § IV; mais comme le monde entier fait cette erreur depuis des millénaires, j'ai jugé bon d'en faire l'objet d'un paragraphe spécial, à part entière.


Ceux qui ont bien lu la démonstration [que j'améliorerai] que j'avais rédigée en Février 2019, auront peut être remarqué que, pour moi, il allait de soi que l'intensité de la vitesse de la Lune par rapport au Soleil, lorsqu'elle se trouve en NL, vaut [environ] (Vt - v).

J'avais donc implicitement, et SANS le préciser, utilisé le fait que la Lune, lorsqu'elle est en NL, se déplace dans le même sens que celui de la Terre, hé oui !

Et je ne m'étais pas rendu compte :


1 - de L'IMPORTANCE CAPITALE de la chose ...

2 - du fait que cela entrait en contradiction flagrante, avec ce que tout le monde pense, à savoir que notre Lune tourne autour de la Terre, comme le font [tous] les satellites des autres planètes du système solaire !


Car pour moi, notre Lune est [avec Charon ?] une LUNE D'EXCEPTION, qui tourne plutôt comme une planète, donc "plutôt" autour du Soleil, avec ceci de particulier, qu'étant relativement très proche de la Terre, elle doive "composer" avec elle, et en arriver [vue du Soleil], à SLALOMER (donc pas vraiment tourner) autour de la Terre* !!


(*) elle est en effet, "trop grosse" relativement à la Terre, pour non seulement être qualifiée de satellite, mais pour tourner effectivement autour d'elle :

veuillez noter que s'agissant des planètes Jupiter, Saturne, Uranus, ou Neptune, leurs [vraies] lunes respectives, ont un diamètre au plus égale aux six centièmes de celui de la planète mère; alors que dans le cas de notre Lune terrestre, ce diamètre vaut entre 1/4 et 1/3 de celui de la Terre (puisque Dℓ/Dt = 0,27264...), ...

... et environ la moitié de celui de Pluton, s'agissant de Charon.


PRÉCISION (22 Juillet 2019) : mes lecteurs auront remarqué qu'à la date de ce jour, j'ai supprimé ma "preuve provisoire" par l'absurde du sens réel en NL, du mouvement de la Lune par rapport au Soleil.

En effet, cette preuve est parfaitement inutile, car dépendant de la gravitation de Newton et de la valeur officielle de D.

En fait, comme je l'avais découvert depuis le début de mes recherches en astronomie, ce sens du mouvement de la Lune, est parfaitement ÉVIDENT, dès lors que l'on fait une [toute petite] hypothèse (que par ailleurs, je démontre même très facilement), admise par TOUS les scientifiques ..... !!

J'en ai deux preuves élémentaires : une mathématique pour les pro(f)s, les lycéens de première ou de terminale scientifique, et les universitaires ...

... et une physique, pour les amateurs [éclairés] en astronomie, donc pour "Mr tout le monde", ou presque; preuves que j'exhiberai en conférence publique.


À ce sujet, TOUS LES SCIENTIFIQUES ONT FAIT, ET CONTINUENT DE FAIRE UNE TRÈS GRAVE CONFUSION DE MATHÉMATIQUE ÉLÉMENTAIRE (que je préciserai sous peu)  !!!


D'ores et déjà, j'espère que beaucoup vont abandonner cette idée fausse concernant le SENS du vrai mouvement de la Lune (et se rappeler que souvent, tout est relatif en physique) ...


... vue de la Terre, la Lune tourne bien dans le bon sens (= sens trigo), lorsqu'elle est en NL, et cela s'explique par le SIMPLE fait que, par rapport au Soleil, et lorsqu'elle passe entre lui et la Terre, elle aille moins vite que la Terre, et semble donc se déplacer en sens inverse de celui de la Terre, et donc tourner autour d'elle [alors qu'elle ne fait que slalomer].


"Les vérités les plus simples sont celles qui mettent le plus de temps à s'imposer".


Vous ne vous en rendrez pas tout de suite compte, mais cette vérité est vraiment RÉVOLUTIONNAIRE, de la même trempe que celles qu'avaient faites Copernic, puis Képler et Galilée, sur les rotations de la Terre (en se basant sur leur prédécesseur Aristarque de Samos) .....



Additifs (5 Juillet 2019) : Contestation de la formule de la gravitation de Newton.


J'ai démontré il y a deux mois, qu'en appliquant la formule de la gravitation de Newton à une configuration particulière de la Lune, on y aboutit à une relation particulière entre les vitesses de la Lune et de la Terre, par rapport au Soleil, que j'ai facilement contredite grâce à un simple calcul littéral de cinématique; et ce, sans même préciser la valeur de v !

Ce qui INVALIDERAIT donc sa formule (elle n'est pas fausse, mais inexacte).


Cette démonstration de l'inexactitude de la formule de la gravitation de Newton, est pour moi, NETTEMENT préférable à celle que j'avais transcrite ici même il y a plusieurs mois, puis supprimée, car trop longue.


J'ai également mathématiquement démontré à la même époque, en utilisant le "bons sens" (sic) du mouvement de la Lune en NL, par rapport au Soleil, que la distance D est ...

... inférieure à 54 millions de km !!

J'avais quelque peu tardé à signalé cette IMPORTANTE majoration, car elle contredisait la première valeur de D, que j'avais obtenu par ma méthode de physique, et que j'avais donc besoin de temps pour expliquer cette contradiction.


Nouvel additif (25 Décembre 2019) : Erreur d'Aristarque de Samos


À venir ...


Sixième article, rédigé ce jour de Vendredi 14 Juin 2019 (avant, et peu après minuit), puis augmenté (peu avant minuit (sic)), le 5 Juillet, et corrigé le 22, et enfin augmenté le 25 Décembre 2019, par Professeur Essef.




VII - Premières étapes de la correction de la théorie de la gravitation de Newton.


1ère partie - Nous allons revenir à ce que j'avais écrit il y plusieurs mois, au § II, concernant l'erreur de principe dans un pseudo-calcul de la vitesse moyenne de la Lune par rapport à la Terre, et l'utiliser différemment :


En effet, cette méthode part de la fausse égalité : GMtMℓ/d² = Mℓv²/d, pour en déduire une valeur de v, qui, très curieusement, est très proche de la valeur réelle (!); et puisque c'est le cas, je vais donc utiliser cette formule autrement :

pour faire un [pseudo] calcul de la masse Mt de la Terre, puisque nous connaissons la valeur de v !


J'aurais donc, après simplification par Mℓ (fort heureusement, car elle est toujours inconnue à la science et à moi-même) : Mt = (v²/d) x d²/G = v²d/G; soit Mt = 6,030 x 10²⁴ kg (dix puissance 24).

Or nous savons que [d'après la formule de Newton appliquée à la Terre : g = GMt/(Rt)²], Mt vaut g(Rt)²/G, soit approximativement 5,9644 x 10²⁴ kg (en prenant g = 9,807 m/s²).


Un calcul faux par principe, donne donc une valeur quasi-exacte de la masse de la Terre !! Comment est-ce possible ?

La seule explication, c'est qu'il y a [au moins] "un loup" dans la formule de Newton; lequel ?


Réfléchissons un peu pour le débusquer : Newton était parti d'une loi d'attraction des masses en 1/ρ² pour en déduire sa formule [la 3ème loi de Képler en devenant un corollaire]; MAIS et à mon avis, il avait peut être fait deux erreurs à priori importantes, consistant en :


- confondre le Soleil (qui est une sorte de plasma, une "boule d'énergie" en quelque sorte) avec une masse "refroidie", comme l'est la Terre ou toute autre planète
- assimiler l'attraction [apparente] des masses "refroidies", avec celle entre une telle masse et le Soleil; autrement dit confondre G (calculée sur Terre par Cavendish, je le rappelle, en utilisant deux masses froides), avec une éventuelle constante Gs universelle masse "refroidie" - Soleil.


Il faut s'attendre à ce que Gs soit un peu différente de G, MAIS, et ce que j'avais découvert après avoir constaté l'échec de ma méthode de calcul de D, basée sur la mécanique newtonienne :

il se trouve que l'attraction du Soleil n'est pas rigoureusement proportionnelle aux masses des astres, car j'avais établi que F/Mt est légèrement différent de F'/Mℓ (la Lune et la Terre se trouvant en moyenne à la même distance, par rapport au Soleil).

Par des calculs astucieux, j'ai déterminé Gs, qui est effectivement légèrement inférieur à G, à partir du vrai calcul de Mt, qui elle, serait légèrement supérieure à 6 x 10²⁴ kg.


Voilà donc un loup découvert : la formule de Newton, en admettant qu'elle s'applique aux planètes entre elles, ne s'applique pas tout à fait entre une planète et le Soleil !!!


De plus, j'ai pris soin plus haut d'ajouter entre crochets le mot apparente, car il y en fait un autre loup (plus "sérieux") :


l'attraction universelle entre planètes n'a pas été bien comprise par Newton, car j'ai découvert aussi en consultant et analysant les résultats d'un pdf sur google, que la Lune NE PEUT PAS attirer la Terre (donc SEULEMENT les mers), et encore moins le Soleil; seule la Terre ou le Soleil peuvent exercer une attraction sur la Lune, et plus généralement un astre plus massif qu'elle ...


On retrouve par là le principe admis de tous, mais mal compris : c'est SEULEMENT le corps le plus massique qui attire le moins massique, que ce dernier tourne ou non autour de lui.


Voilà donc démoli le principe de l'action et de la réaction de Newton, appliqué aux astres !!!! (voir surtout § VIII)


Remarques :

- Le premier loup peut aisément se comprendre, quand on sait qu'aucun astre n'est un corps de densité homogène, mais plutôt un conglomérat de roches de densités différentes ...

... et qu'il ne fallait donc pas s'attendre à une formule [exacte] de proportionnalité, avec la masse du Soleil [lui aussi non homogène] et celle d'un astre quelconque; ...

... de plus Newton lui-même avait corrigé sa formule, en remplaçant Ms par (Ms + Mt) dans la formule concernant la Terre [et donc Ms par (Ms + Mℓ) dans celle concernant la Lune].


- En réalité, la Terre n'attire la Lune qu'en apparence : on peut expliquer cette attraction apparente autrement (j'en parlerai plus tard); Newton l'avait formulée, mais sa formule non seulement ne semble pas avoir ce caractère universel, mais SURTOUT, elle ne s'appliquerait QUE "dans un sens" !



2ème partie (Novembre 2019) - Les deux dernières semaines d'Octobre, j'ai continué à approfondir mes réflexions, en m'occupant d'une question qui n'a cessé de me préoccuper depuis des années [et que je préciserai plus bas] : elle m'a conduit à me rappeler que Newton avait modifié sa formule (voir la remarque plus haut : de plus Newton .....).


Si dans l'expérience de Cavendish, on remplace dans la formule exprimant la force f exercée par la grosse masse M [de 30 cm de diamètre], sur la petite masse m [de 5 cm ...], M par (M + m), alors on peut écrire :


f = G'm(M + m)/δ², où δ est la distance séparant les centres de gravité des deux boules, et G' la constante de gravitation [forcément différente de G!], et on aura donc :

G' = fδ²/((M + m)m = [fδ²/(Mm)] x M/(M + m) = G x M/((M + m) = G x 30³/(30³ + 5³) = G x 0,995391705 environ :


la constante de gravitation (s'il y a constante) serait donc légèrement différente de la valeur de Cavendish [6,67 x 10⁻¹¹], et vaudrait en fait G' = 6,6393 x 10⁻¹¹ usi environ.

La masse de la Terre ainsi que sa masse volumique globale seraient donc plus grandes, puisque g = G'M't/(Rt)² entraine M't = g(Rt)²/G' = [g(Rt)²/G] x (1/0,995391705) (les t en "indices" bien sûr)

D'où M't = 5,9956 x 10²⁴ kg et ρ'terre = 5,535 x 10³ kg/m³ environ.


Revenons à présent à la [pseudo]formule écrite plus haut, et qui était censée donner la masse de la Terre : en fait elle donnerait la masse de la Lune, que je cherche à déterminer depuis des années, par une méthode autre que celle "classique" (peu précise, à mon avis) obtenue par la méthode des marées !!!


En effet, la force moyenne F exercée par la Terre sur la Lune ayant pour expressions : F = G'M'ℓ(M't + M'ℓ)/d² et F = (M'ℓ)v²/d, donc M't + M'ℓ = dv²/G' = 6,0618 x 10²⁴ kg environ;

on en déduit M'ℓ = (M't + M'ℓ) - M't = 0,0662 x 10²⁴ kg = 6,62 x 10²² kg : valeur bizarrement comparable (10% plus petite) à la valeur "officielle" 7,36 x 10²² kg environ (cf Wikipédia)!


En vérité, ça n'est PAS ainsi que j'ai calculé M'ℓ, mais par une méthode plus "élaborée", qui fait intervenir la valeur de D, distance moyenne de la Terre au Soleil.

Je ne vous la dévoilerai pas pour l'instant, mais j'ai admis que G = Gs, puisqu'on sait à présent, que le vrai loup était dans l'expression [non symétrique] qui donne la force exercée par le corps le plus massique sur le moins massique ...


Pour conclure, je note qu'en prenant la nouvelle valeur G', la pseudo-formule donne pour M'ℓ, un résultat voisin de celui de la science : j'ai décidé de m'attaquer à ce fait, et j'en ai finalement découvert la raison, qui m'a surpris par sa simplicité.



Septième article, rédigé ce soir de Mardi 8 Octobre 2019, et corrigé les 16 & 17 Octobre, et augmenté les 5 & 6 Novembre, puis corrigé Dimanche 10 et Jeudi 14, et enfin Vendredi 22, et tout dernièrement le 6 Février 2020, par Professeur Essef.




VIII - Démonstration de l'inégalité des forces d'attractions gravitationnelles entre deux corps massiques (prévue pour une conférence publique en Septembre 2020).



Il y a exactement un mois, le 3 Juin dernier, j'avais rédigé ici même cette démonstration, que j'avais effacée après 2 ou 3 jours, la réservant pour plus tard, ...


Huitième article titré ce soir Jeudi 3 Juillet 2020, par Professeur Essef.




ÉQUATIONS DES 3ÈME ET 4ÈME DEGRÉS : NOUVELLE MÉTHODE DITE "ARABE" (découverte fin Juin 2020).



I - Équation du 4ème degré


On part du principe qu'on a ramené une telle équation du type ax⁴ + bx³ + cx² + dx + e = 0 (1) (avec a ≠ 0), au type classique X⁴ + pX² + qX + r = 0 (2), après avoir divisé les deux membres de (1) par a, et avoir effectué le changement d'inconnue X = x + b/4a.


À partir de là et après avoir supposé q ≠ 0 (le cas où on a q = 0 ne pose aucune difficulté : équation dite "bicarrée"), ma méthode consiste à chercher 3 réels u, v et w tels que (2) puisse être mise sous la forme [ou être équivalente à] : (X² + u)² = (vX + w)² (2 bis) :


elle ressemble à la méthode de Ludovico Ferrari, mais pour moi elle est un peu plus directe que la sienne (on verra que dans le cas du 3ème degré, mon approche sera COMPLÈTEMENT différente de celle de Girolamo Cardano !).


La recherche de ces 3 réels revient donc à écrire que (2) est équivalente à X⁴ + 2(u - v²)X² - 2vwX + u² - w² = 0; ce qui est le cas si et seulement si on a simultanément :


2(u - v²) = p

- 2vw = q

u² - w² = r


De la 1ère égalité on déduit : u = p/2 + v²; de la 2ème on déduit : w = - q/2v (q ≠ 0 entraine v ET w différents de 0); ce qui donne, en les utilisant dans la 3ème :


(p/2 + v²)² - (- q/2v)² = r (3) : cette équation est du 6ème degré en v, puisque v² est en dénominateur, MAIS "l'astuce" consiste ici à poser t = v² (t ≠ 0) pour changer (3) en :


(p/2 + t)² - q²/4t = r (4) : cette équation est une équation du 3ème degré en t, que l'on peut écrire :


t³ + pt² + (p²/4 - r)t - q²/4 = 0 (5) et ramener au type classique T³ + p'T + q' = 0, que l'on sait traiter, mais que je traiterais plus tard, avec ma méthode nouvelle.


t étant "déterminé", pour v on a le choix entre v = √t ou bien v = - √t; quant w on a : w = - q/2v = - q/(2√t) avec le 1er choix de v.


Remarque : l'équation (5) a forcément [au moins] une racine positive puisque si on pose f(t) = t³ + pt² + (p²/4 - r)t - q²/4, alors f(0) = - q²/4 < 0 puisque q ≠ 0;

mais comme lim f(t) = + ∞ quand t → + ∞, alors l'équation f(t) = 0 a au moins une racine positive (on peut sans doute démontrer ce résultat "algébriquement" ...).


Recherche de X : l'équation (2 bis) équivaut à X² + u = vX + w ou bien X² + u = - vX - w : ce sont deux équations du second degré qui peuvent avoir ou ne pas avoir de solution(s); ...


... et au final si X existe, on détermine x par légalité x = X - b/4a.


Je continuerai ce travail plus tard, au II par l'étude [originale] de l'équation du 3ème degré, et au III par des exemples.



1er article de mathématiques, rédigé ce soir Jeudi 3 Juillet 2020, par Professeur Essef.



II - Équation du 3ème degré


On part du principe qu'on a ramené une telle équation du type ax³ + bx² + cx + d = 0 (1) (avec a ≠ 0), au type classique X³ + pX + q = 0 (2), après avoir divisé les deux membres de (1) par a, et avoir effectué le changement d'inconnue X = x + b/3a.


À partir de là et après avoir supposé p ≠ 0 (le cas p = 0 conduit à X³ + q = 0 soit X = ∛(- q)), ma méthode consiste à chercher 3 réels a, b et k tels que (2) puisse être mise sous la

forme [ou être équivalente à] :


(X + a)³ = k(X + b)³  (2 bis)


la recherche de ces 3 réels revient donc à écrire que (2) est équivalente à : (1 - k)X³ + 3(a - kb)X² + 3(a² - k b²)X+ (a³ - kb³) = 0; ce qui est le cas si et seulement si et seulement si il existe 4 réels

a, b, k et λ [λ ≠ 0], tel que l'on ait simultanément :


1 - k = λ

3(a - kb) = 0

3(a² - kb²) = λp

a³ - kb³ = λq


Où l'on constate donc que mon attaque est directe, sans artifice et complètement différente de celle de Cardano ...


De la 1ère égalité, on déduit k = 1 - λ; de la 2ème on déduit a = kb, ce qui donne en les utilisant dans la suivante :


k²b² - kb² = kb²(k - 1) = (1 - λ)(- λ)b² = λp/3 soit b²(1 - λ) = - p/3 après avoir divisé les 2 membres par λ [λ ≠ 0) : on notera que l'on a forcément λ ≠ 1 ET b ≠ 0, puisque p ≠ 0.


En utilisant les premières déductions dans la 4ème égalité, on trouve :


(1 -λ)³b³ - (1 - λ)b³ = λq soit : b³[(1 - λ)³ - (1 - λ)] = λq soit : b³(1 - λ)[(1 - λ)² - 1] = λq soit : b³(1 - λ)(λ² - 2 λ) = b³λ(1 - λ)(λ - 2) = λq; d'où :


b³(1 - λ)(λ - 2) = q; on peut diviser membre à membre cette égalité par la précédente [en gras], puisque pb(1 - λ) ≠ 0; ce qui donne :


b(λ - 2) = - 3q/p : on notera ici que l'on peut aussi supposer q ≠ 0, puisque le cas q = 0 est trivial et conduit à X³ + p X = X(X² + p) = 0; on en déduit donc :


b = - 3q/p(λ - 2) ce qui fournit a = (1 - λ)b = 3q(λ - 1)/p(λ -2), puis λ en revenant à la 1ère égalité en gras : b²(1 - λ) = - p/3 :


9q²(1 - λ)/p²(λ - 2)² = - p/3 qui équivaut à 27q²(1 - λ) = - p³(λ - 2 )² : c'est une équation du second degré en λ, que l'on peut écrire :


p³λ² - (4p³ + 27 q²)λ + (4p³ + 27q²) = 0


Ainsi, moins de 500 ans après (sic), je peux relever facilement les défis posés en Italie, où il suffisait de savoir résoudre une équation du 3ème degré [à solution unique dans |R]; ...


... ce que je poursuivrais plus tard, ici même.


Suite du 1er article de mathématique, rédigé ce matin du 9 Juillet 2020, par Professeur Essef.