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Le Théâtre-Club[modifier | modifier le code]

Le Théâtre-Club est une compagnie théâtrale professionnelle[1] et québécoise ayant oeuvré de 1954 à 1966. Fondée par Monique Lepage et Jacques Létourneau, la première pièce jouée par cette troupe sera "Beau sang" de Jules Roy mis en scène par Jacques Létourneau lui-même[2]. Avec le Théâtre du Rideau Vert et le Théâtre du Nouveau Monde, ils forment les principales troupes des années 1950 à 1960.

Aperçu[modifier | modifier le code]

Le Théâtre-Club, dont le nom a été choisi pour deux raisons significatives, d'une part "Club" représente l'impossibilité de trouver un lieu fixe pour présenter leurs productions théâtrales, ce qui vient jouer sur le nombre de spectateurs pouvant y assister. Il est donc représentatif d'utiliser le terme "club", signifiant groupe d'amis pour représenter la compagnie. D'autre part, son envie de s'élargir à un plus grand public leur donne envie de présenter des pièces qui n'ont, auparavant, jamais été jouées.[3] Elle contribuera à faire du milieu théâtral un milieu professionnel, soit de formation et de rémunération.[4]Elle navigue dans plusieurs salles à Montréal et s'installera que plus tard à la Comédie-Canadienne de Gratien Gélinas pour plusieurs de ces spectacles.[5] Plus tard, vers 1957, ils s'installerons dans un garage à deux étages réaménagé de manière à faire un studio de théâtre[5] de 225 places[3]. Situé au 3858 rue Saint-Luc, ce sera un nouveau chemin pour la compagnie qui priorisera, par divers moyens[5], les étudiants dans ces nouvelles productions[1](voir la section sur le théâtre jeunesse). Le Théâtre-Club, dans l'ombre du Théâtre du Nouveau Monde (TNM) créé trois ans plus tôt[3], ne s'oriente dans aucun genre théâtral en particulier. On y retrouve un mélange de pièces du répertoire ainsi que des créations québécoises[5], allant « du drame social (Jules Roy) au drame à thèse (J.B. Priestley) ou policier (Agatha Christie), en passant par le drame romantique (Dumas, Musset) et le drame moderne (Audiberti, Pirandello), sans oublier quelques incursions dans le répertoire classique (Shakespeare et Racine). On doit aussi au Théâtre-Club la création de deux pièces de Marcel Dubé (Le barrage et Le naufragé, 1955). »[4] En 1956, Jean Claude Rinfret, décorateur et scénographe, rejoint l’équipe du Théâtre-Club pour en devenir leur scénographe principal.(voir section sur Jean-Claude Rinfret). La compagnie du Théâtre-Club a débuté en tant que compagnie non subventionnée, elle a tout de même obtenue des subventions au fil des ans, notamment par le Conseil des Arts de la région[5]. En 1964, elle se voit retirer toutes ces subventions et devra, environ deux ans plus tard, cesser ces activités[6]. C'est donc l'un des éléments importants qui annoncera la fin du Théâtre-Club en 1966. De plus, un autre élément fera tomber le Théâtre-Club, son manque d'orientation, qui le suit depuis le début de sa création, lui nuira. Puisque dans les années 1960 on sent un air de spécialisation et la compagnie peinera à s'y adapter.[6]

Historique[modifier | modifier le code]


Le Théâtre-Club prend naissance grâce à un manifeste de création, paru dans le programme pour son 5e anniversaire, qui le suivra tout au long de ces années d'activités. Il comporte des éléments politiques et permet de comprendre le but de sa création. Une nouvelle compagnie de théâtre qui émerge, quelques années après l'emblématique Théâtre du Nouveau-Monde, se voit faire fasse à diverses problématiques tels que le manque de financement, de subventions et de lieux pour pouvoir pratiquer librement son art. C'est alors, que la compagnie envisage de faire découvrir de nouvelles pièces, n'ayant jamais connu les critiques auparavant, pour tenter de s'assurer un auditoire. Il vise un grand public, puisque c'est lui qui permettra de faire vivre et grandir le Théâtre-Club. L'essence de la compagnie se ramène à être, comme cité dans le manifeste, "un théâtre pour le plus grand nombre, accessible à tous par la nature de son répertoire et le bon marchés de ces places". Il s'agira donc d'une conviction que de faire de son théâtre un théâtre populaire, mais c'est dans l'optique de créer sur plusieurs années qu'il prendra tranquillement sa forme. (Voir la théâtrographie pour l'historique des pièces répertoriées du Théâtre-Club, allant de 1954 à 1964). Les premières pièces, des deux premières années, seront présentées dans la salle,d'environ 600 places, du Darcy Mc Gee. Ensuite ce groupe parcourra plusieurs autres salles dont celles du Monument National et du Gésu. Des classiques de Molière et Shakespeare se mêleront au contemporain et aux pièces inédites de Marcel Dubé. N'ayant reçu aucune subventions avant 1958 et se bâtissant sur 300$ donné par Monique Lepage et Jacques Létourneau, la plus grande crainte est de ne pas avoir d'emplacement où se produire et de perdre du public. La contrainte de ne pas avoir un endroit fixe les suit depuis le début, difficile de percer quand on doit cohabiter avec d'autres compagnies et gérer plusieurs calendriers. Bien que plusieurs spectacles connaissent du succès, dont La Nuit des Rois de Shakespeare qui leur rapportera 6 000$, des échecs financiers importants s'ajouteront au fil des ans. Les Trois mousquetaires en fera partie, car elle ne tiendra pas l'affiche assez longtemps, ce qui causera un déficit de 25 000$. De là, la compagnie changera son but initial pour tenter de devenir un théâtre comme les autres. Leur installations dans un garage à deux étages réaménagé de manière à faire un studio de théâtre de 225 places leur permettra de tenir le coup encore un moment, d'augmenter leurs activités théâtrales et de les diversifiées. Plusieurs moyens seront mis en place pour tenter de garder la compagnie active : les "Mardis du Théâtre-Club", qui consiste a explorer de nouveaux horizons, "Les matinées classiques" réservées à la jeunesse, des spectacles pour enfants le samedi et le dimanche matin, du Jazz le samedi soir et des expositions d'art divers. De plus, le Théâtre-Club mettra en place un Studio d'Essai, celui-ci dirigé par Marcel Sabourin et un cinéma d'art et ce, toujours dans l'idée d'atteindre un plus grand nombre. Le Studio d'Essai fera l'effet contraire, car il ne sera pas conçu pour recevoir beaucoup de gens et des spectacles d'une grande envergure. Ne pouvant pas rester dans une telle situation et se voire perdre la compagnie de théâtre, c'est en 1961 qu'ils débuterons la location de la comédie Canadienne. Cet avènement leur permettra de remporter le Grand Prix du congrès pour la saison 1961-1962. En 1963-1964, les problèmes financiers, qui ne les avaient jamais réellement quitté, refond surface. En 1965, alors que la compagnie semble avoir travailler d'arrache pied pour rendre hommage à leur intention de départ, soit de faire un théâtre accessible à tous, on leur refusera toutes subventions possibles. Sans trop savoir pourquoi et n'ayant qu'une lettre du gouvernement du Canada les informants qu'une compagnie non-subventionnée par son propre gouvernement n'est pas en mesure de recevoir de l'aide financière d'Ottawa, c'est dans l'incompréhension et l'absence de moyens financier que s'éteindra peu à peu le Théâtre-Club. Peu de temps après, en 1966, c'est avec un déficit de 35 000$ qu'il déclara faillite.[3]

Biographies[modifier | modifier le code]

Monique Lepage[modifier | modifier le code]

Monique Lepage est né le 20 septembre 1929 à Montréal[7], elle est une ancienne actrice des Compagnons de St-Laurent[2] , metteure en scène, danseuse et enseignante[8]. Elle est la "co-fondatrice du Théâtre-Club, [elle] a, toute jeune, étudié la diction à l'École du Doux Parler dirigée par sa mère, Madame Cora Éli-Lepage. Elle enseigne elle-même la danse et la diction puis dirige une école de diction pour les enfants à Ville La Salle."[5]. Elle est l'épouse de Jacques Létourneau et donneront naissance à la comédienne Anne Létourneau.

Jacques Létourneau[modifier | modifier le code]

Jacques étourneau est né le 30 août 1929 à Québec. Il est un acteur et un metteur en scène dont la carrière a débuté avec la troupe Les Comédiens de Nef.[8]De plus, il est un ancien des Compagnons de St-Laurent[2]d'où il rencontrera Monique Lepage, sa femme, co-fondatrice avec lui-même du Théâtre-Club.[2] Il aura environ 15 mises en scène à son actif avec le Théâtre-club. En plus du théâtre, il mettra en scène des opéras et des opérettes telles que La Chauve-souris de 1982 à l'opéra de Québec et La Péricholeen 1966. Il enseigne pendant 26 ans l'interprétation et l'histoire du théâtre au Conservatoire d'art dramatique de Montréal ainsi qu'au Cégep de St-hyacinthe pour l'Option-Théâtre.[8]

Jean-Claude Rinfret[modifier | modifier le code]

Jean Claude Rinfret, né en 1929 à Shawinigan[9] et décédé le 12 mars 2003 à l'âge de 73 ans [10], est un scénographe décorateur fortement inspiré par l’architecture[11]. Il s'est instruit à l'École des beaux-arts de Montréal en 1948 et à celle de Paris[1] en 1952. Il sera, avec Monique Lepage et Jacques Létourneau, un membre des Compagnons de St-Laurent. Rinfret fondera les Compagnons de Shawinigan pour lesquels la devise sera « L’art pour l’art ». Il épousera, en 1954, à son retour de l’École à Paris, Madeleine Michaud. Jean Claude Rinfret élabore ces décors à partir de masses et de volumes, ce qui ne semble pas être commun à son époque. Il travaillera pendant environs vingt ans pour Radio-Canada à titre de décorateur et un peu plus tard à titre de directeur des Services de Scénographie. Il se fera approcher par les metteurs en scènes pour ces décors réalistes. Il est de ceux qui font toujours leurs plans, c’est dans un « esthétique de la cohérence »[9], mentionne Hélène Beauchamp, que navigue ce scénographe qui produit des décors de qualités et d’un esthétique artistique avant-gardiste. En 1956, il rejoindra l’équipe du Théâtre-Club pour en devenir leur scénographe principal, c'est avec cette compagnie théâtrale qu'il signera ces décors les plus impressionnants, voire les plus marquants[12]. C’est d’ailleurs avec eux qu’il marquera son centième décor en carrière pour la pièce de Shakespeare Le Marchand de Venise mis en scène par Jacques Létourneau. Jacques Béraud en dit dans La Presse, Cahier Arts, Cinéma, Littérature que, cité dans l'article de madame Beauchamp[9] « Rares sont, au Canada français, les décorateurs qui ont eu une telle activité́, écrit-il. Maintenant, après celui de Prévost, on peut dire que c'est le nom de Rinfret qui est le plus souvent cité au générique des spectacles les plus prestigieux de la métropole. » Puis, durant sa carrière de scénographe, il enseignera à l’École nationale de Théâtre du Canada et l’École des beaux-arts de Montréal et de Québec. De plus il créera l’ensemble des textes de Jacques Languirand, dont Violons de l’automne en 1961. On peut en dire qu'il est un "Homme de culture, artiste au vaste registre, Rinfret prenait plaisir à son travail, un plaisir d'esthète et d'humaniste. Peintre par goût, designer de formation, décorateur par choix de carrière, architecte par affinité, Rinfret a contribué́ magistralement, de 1954 à 1974, à façonner le métier et Tart du scénographe, et à faire en sorte qu'ils soient reconnus"[9].

Théâtre jeunesse[modifier | modifier le code]

Le Théâtre-Club a consacré une importante partie de son oeuvre au théâtre à l'intention des étudiants[5], la compagnie a d'ailleurs été une des premières à présenter du théâtre professionnel pour enfants[6]au Québec, voire au Canada. Lors de l'installation de la compagnie dans un lieu fixe, soit, comme mentionné plus haut, dans un garage à deux étages réaménagé en Studio de Théâtre, la compagnie semble vouloir dépasser leur intentions de départ et se diriger vers un théâtre plus diversifié, d'où en nait le théâtre pour étudiants (les étudiants ont par conséquent toujours été dans leurs priorités). Le théâtre pour étudiants se manifeste par le désir de rendre accessible aux jeunes cet art. Huguette Uguay se verra mettre sur pied le Théâtre des Mirlitons qui se veut être l'une des premières compagnies théâtrale pour enfants, ont y jouera entre-autre les pièces Les trois désirs de Coquelicot et Cinna. Des tarifs réduits inciteront les jeunes à s'intéresser davantage au théâtre ainsi que des matinées classiques leur étant destinées, celles-ci offertes par Monique Lepage. Bien qu'il soit une direction intéressante pour le Théâtre-Club de s'investir dans un théâtre dit jeunesse "il sème aussi les embûches dans lesquelles il trébuchera lui-même: celle du public uniforme et captif, celle du répertoire classique et scolaire, celle des liens entre le théâtre, le réseau des écoles et le milieu de l'éducation." décrit Hélène Beauchamp (1991)[5]. Inspiré du Théâtre-Club, c'est le Théâtre de Gesù qui reprendra cette direction après l'extinction de la compagnie théâtrale y ayant consacrée plusieurs années.[5]

Théâtrographie[modifier | modifier le code]

  • 1954, Beau Sang de Jules Roy, mise en scène de Jacques Létourneau[13], elle est la première pièce jouée au Théâtre-Club.[2]
  • 1954, Virage dangereux de J.B. Priestley, mise en scène de Jacques Létourneau et décor de Robert Prévost[14]
  • 1954, Sébastien d'Henri Troyat, mise en scène de Jacques Létourneau[15]
  • 1955, Le barrage, Marcel Dubé[4]
  • 1955, Le Naufragé, Marcel Dubé[4]
  • 1955-1956, Le Chandelier de Musset[16]
  • 1956, La nuit des Rois,de Shakespeare mise en scène de Jan Doat [17]
  • 1956, Les trois mousquetaires[8], mise en scène de Jacques Létourneau[13]
  • 1956,Témoin à charge d'Agatha Christie[18]
  • 1956, Les Parents Terribles[18]
  • Le Dindon de Feydeau[19]
  • 1957-1958, La quadrature du cercle de Valentin Kataiev, mise en scène de Jan Doat[3]
  • 1958, Topaze, comédie de Marcel Pagnol[20]
  • 1958, Cécé[14]
  • 1958-1959, L'Ogre de Jacques Ferron[3]
  • 1959, Le Mal court de Jacques Audeberti, mise en scène de Jacques Létourneau[13]
  • 1959, Les Plaideurs de Racine, mise en scène de Jan Doat[5]
  • 1959, Cinna de Corneille, mise en scène de Jean Vallcourt [21]
  • 1960, Celles qu'on prend dans ses bras de Montherlant[14]
  • 1961, La femme et la mort d'André Roussin,mise en scène de Jacques Létourneau[13]
  • Le Séducteur de Diego Fabri[3]
  • 1961, Le Mari, mise en scène de Jacques Létourneau[13]
  • 1961, L’heure éblouissante d'Anna Bonacci, comédie, mise en scène de Jacques Létourneau [22], décor de Jean-Claude Rinfret[9]
  • 1961, Les Trois Désirs de Coquelicot de Luan Asslani,[5] mise en scène de Marcel Cabay[22]
  • 1961, Les violons de l’automne, comédie, de Jacques Languirand[23]
  • 1962, Catigula d'Albert Camus, mise en scène de Robert Gadouas[5]
  • 1962, Requiem pour une nonne de Faulkner-Camus, mise en scène de Louis-Georges Carrier [5]
  • 1962, Le Menteur de Corneille, mise en scène de Florent Forget[5], décor de Jean-Claude Rinfret[9]
  • 1962, L'Ours et le Pachade Scribe-Vildrac [5]
  • 1963-1964, Le marchand de Venise de Shakespeare, mise en scène de Jacques Létourneau[17], présenté à l'occasion du 10ieme anniversaire du Théâtre-Club[3] à la Comédie-Canadienne, décor de Jean-Claude Rinfret[9]
  • Le Théâtre-Club aurait environ 33 pièces à son actif, soit environ 4 productions par année [16]



  1. a b et c Beauchamp, Hélène. David, Gilbert., Théâtres québécois et canadiens-français au XXe siècle trajectoires et territoires, Presses de l'Université du Québec, (OCLC 840755468, lire en ligne)
  2. a b c d et e « Fondation du Théâtre-Club à Montréal », sur bilan.usherbrooke.ca (consulté le )
  3. a b c d e f g et h Madeleine Greffard, « L'aventure du Théâtre-C;ub », La Grande Réplique, vol. 2,‎ , p. 4-11
  4. a b c et d Sylvain Schryburt, De l’acteur vedette au théâtre de festival: Histoire des pratiques scéniques montréalaises 1940-1980, Les Presses de l'Université de Montréal, (ISBN 9782760627000, lire en ligne)
  5. a b c d e f g h i j k l m n et o Hélène Beauchamp, « Le théâtre à l’intention des étudiants : du théâtre-Club à la Nouvelle Compagnie Théâtrale », L'Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 10,‎ , p. 139–158 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041147ar, lire en ligne, consulté le )
  6. a b et c « Canadian Theatre Encyclopedia - Theatre-Club », sur www.canadiantheatre.com (consulté le )
  7. « Monique Lepage », sur IMDb (consulté le )
  8. a b c et d Michel Vaïs, Dictionnaire des artistes du théâtre québécois, Québec Amerique, (ISBN 978-2-7644-2157-4, lire en ligne)
  9. a b c d e f et g Hélène Beauchamp, « Jean-Claude Rinfret, un décorateur scénographe au coeurdes années 60 », Jeu : revue de théâtre, no 119,‎ , p. 169–179 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  10. « En bref: Décès de Jean-Claude Rinfret », sur Le Devoir (consulté le )
  11. Michel Vaïs, Dictionnaire des artistes du théâtre québécois, Québec Amerique, (ISBN 9782764421574, lire en ligne)
  12. « BAnQ numérique », sur numerique.banq.qc.ca (consulté le )
  13. a b c d et e Michel Vaïs, Dictionnaire des artistes du théâtre québécois, Québec Amerique, (ISBN 978-2-7644-2157-4, lire en ligne)
  14. a b et c (en) Creative Canada: A Biographical Dictionary of Twentieth-century Creative and Performing Artists, University of Toronto Press, (ISBN 978-1-4426-3784-9, lire en ligne)
  15. « Pour une bibliothèque-musée des arts du spectacle vivant », Jeu : revue de théâtre, no 49,‎ , p. 149–149 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  16. a et b « BAnQ numérique », sur numerique.banq.qc.ca (consulté le )
  17. a et b Gilbert David, « Shakespeare au Québec : théâtrographie des productions francophones (1945-1998) », L’Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 24,‎ , p. 117–138 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041365ar, lire en ligne, consulté le )
  18. a et b « BAnQ numérique », sur numerique.banq.qc.ca (consulté le )
  19. Normand Leroux, « III. Le théâtre », Études françaises, vol. 13, nos 3-4,‎ , p. 339–363 (ISSN 0014-2085 et 1492-1405, DOI https://doi.org/10.7202/036658ar, lire en ligne, consulté le )
  20. Le Théâtre-Club présente Topaze, comédie de Marcel Pagnol, Le Théâtre-Club, (lire en ligne)
  21. Lavoie, Sylvain, Discours et pratiques du théâtre populaire. Le cas du Théâtre Populaire du Québec de 1963 à 1976, Université de Montréal, Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures et postdoctorale, Février 2011
  22. a et b « La compagnie canadienne du Théâtre-Club », Programme du Théâtre-Club à la Comédie Canadienne,‎
  23. « CEAD - Les violons de l'automne », sur cead.qc.ca (consulté le )