Le sommeil des enfants nés prématurément[modifier | modifier le code]

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Contexte[modifier | modifier le code]

Le sommeil a un rôle très important dans le développement du cerveau de l’enfant prématuré. Il favorise le développement des activités du cerveau, le développement de l’intelligence, de sa mobilité et de son comportement^[1]^[2]^[3]^[4]^4-12. Si l’enfant manque de sommeil pendant les moments important où son cerveau se développe, il est possible qu’il développe des problèmes de comportement, des difficultés de sommeil, une malformation de son cerveau^28,29 et une croissance ralentie²⁹. Les problèmes de sommeil du bébé prématuré se poursuit bien après son hospitalisation. En effet, lorsqu’il obtient son congé de l’hôpital vers 40 semaines d’âge gestationnel (après sa conception), son sommeil est différent de celui d’un nouveau-né non prématuré. Son sommeil est moins organisé et il contient moins de périodes de sommeil calme qu’un bébé né non prématuré^30,31. Cette différence entre le sommeil des enfants nés prématurément et ceux nés non prématurés se poursuit au cours de leur 1^ère et 2^e année de vie, puisqu’ils ont une durée réduite du sommeil lors de la période du jour (sieste), une durée réduite des heures de sommeil la nuit et une réduction de la qualité de leur sommeil^32,33.


	Taux de prématurité
Canada
Mondialement

Prévalence/Facteurs de risque[modifier | modifier le code]

Le sommeil a un rôle très important dans le développement du cerveau de l’enfant prématuré. Il favorise le développement des activités du cerveau, le développement de l’intelligence, de sa mobilité et de son comportement^4-12. Si l’enfant manque de sommeil pendant les moments important où son cerveau se développe, il est possible qu’il développe des problèmes de comportement, des difficultés de sommeil, une malformation de son cerveau^28,29 et une croissance ralentie²⁹. Les problèmes de sommeil du bébé prématuré se poursuit bien après son hospitalisation. En effet, lorsqu’il obtient son congé de l’hôpital vers 40 semaines d’âge gestationnel (après sa conception), son sommeil est différent de celui d’un nouveau-né non prématuré. Son sommeil est moins organisé et il contient moins de périodes de sommeil calme qu’un bébé né non prématuré^30,31. Cette différence entre le sommeil des enfants nés prématurément et ceux nés non prématurés se poursuit au cours de leur 1^ère et 2^e année de vie, puisqu’ils ont une durée réduite du sommeil lors de la période du jour (sieste), une durée réduite des heures de sommeil la nuit et une réduction de la qualité de leur sommeil³²

Signes et symptômes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

↑ Stanley Graven, « Sleep and Brain Development », Clinics in Perinatology, vol. 33, n^o 3,‎ septembre 2006, p. 693–706 (ISSN 0095-5108, DOI 10.1016/j.clp.2006.06.009, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)
↑ Gerald A. Marks, James P. Shaffery, Arie Oksenberg et Samuel G. Speciale, « A functional role for REM sleep in brain maturation », Behavioural Brain Research, vol. 69, n^os 1-2,‎ juillet 1995, p. 1–11 (ISSN 0166-4328, DOI 10.1016/0166-4328(95)00018-o, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)
↑ H. P. Roffwarg, J. N. Muzio et W. C. Dement, « Ontogenetic Development of the Human Sleep-Dream Cycle », Science, vol. 152, n^o 3722,‎ 29 avril 1966, p. 604–619 (ISSN 0036-8075 et 1095-9203, DOI 10.1126/science.152.3722.604, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)
↑ Majid Mirmiran et Ronald L. Ariagno, « Role of Rem Sleep in Brain Development and Plasticity », dans Sleep and Brain Plasticity, Oxford University Press, 5 juin 2003 (ISBN 978-0-19-857400-2, lire en ligne), p. 181–188

[1] Stanley Graven, « Sleep and Brain Development », Clinics in Perinatology, vol. 33, n^o 3,‎ septembre 2006, p. 693–706 (ISSN 0095-5108, DOI 10.1016/j.clp.2006.06.009, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)

[2] Gerald A. Marks, James P. Shaffery, Arie Oksenberg et Samuel G. Speciale, « A functional role for REM sleep in brain maturation », Behavioural Brain Research, vol. 69, n^os 1-2,‎ juillet 1995, p. 1–11 (ISSN 0166-4328, DOI 10.1016/0166-4328(95)00018-o, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)

[3] H. P. Roffwarg, J. N. Muzio et W. C. Dement, « Ontogenetic Development of the Human Sleep-Dream Cycle », Science, vol. 152, n^o 3722,‎ 29 avril 1966, p. 604–619 (ISSN 0036-8075 et 1095-9203, DOI 10.1126/science.152.3722.604, lire en ligne, consulté le 5 octobre 2020)

[4] Majid Mirmiran et Ronald L. Ariagno, « Role of Rem Sleep in Brain Development and Plasticity », dans Sleep and Brain Plasticity, Oxford University Press, 5 juin 2003 (ISBN 978-0-19-857400-2, lire en ligne), p. 181–188

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