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Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Première Apocalypse de Jacques

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en:First Apocalypse of James

The First Apocalypse[1] of James,[2] part of the New Testament apocrypha also called the Revelation of Jacob, was first discovered amongst 52 other Gnostic Christian texts spread over 13 codices by an Arab peasant, Mohammad Ali al-Samman, in the Egyptian town of Nag Hammadi late in December 1945. Another copy has more recently been found in the Codex Tchacos, where it is merely titled 'James'.

The text itself is remarkably well preserved for its age; it was reported that the cache of texts called the "Nag Hammadi library", when originally found, were sealed within a large terracotta vessel. Doubtless they were secreted during the fourth century, in an effort to hide the texts from destruction by others.[3]

The form of the text is primarily that of a Revelation Dialogue/Discourse between James the Just (the brother of Jesus – according to the text, James is not physically Jesus' brother)[4] and Jesus, with a rather fragmentary account of the martyrdom of Saint James(?) appended to the bottom of the manuscript, connected to the remainder by an oblique reference to crucifixion. The first portion of the text describes James' understandable concern about being crucified, whereas the latter portion describes secret passwords given to James so that he can ascend to the highest heaven (out of seventy-two) after dying, without being blocked by evil powers of the demiurge.

Some of the framing background details about James given in the text are thought by academics to reflect early traditions; according to the text:

  • James was the head of the early church
  • James was the most senior apostle
  • James fled to Pella when the Romans invaded Jerusalem in 70AD. This contradicts the testimony of Josephus and Eusebius who both state that James was executed in Jerusalem in 62 AD.

One of the most curious features of the First Apocalypse of James is that the range of dating of its original text, assigned to it by scholars, requires that it was written after the Second Apocalypse of James.

Les Apocalypses de Jacques

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Les deux Apocalypses de Jacques du codex V retrouvé à Nag Hammadi établissent un rapport entre un « Theuda » et Jacques le frère de Jésus[5]. Dans la deuxième Apocalypse de Jacques, Theuda est appelé « du Juste et un de ses parents », c'est-à-dire un des parent de Jacques le Juste[5].

(Une version de la 'Première Apocalypse de Jacques est aussi présente dans le codex Tchacos ce qui permet de compléter certaines lacunes de la version ci-dessus)

« Il s'agit donc probablement du Addai que les sources tardives d'Édesse et d'Arbèle disent avoir été envoyé par Thomas pour convertir les Syriens. [...] Eusèbe précise qu'il dépend de sources syriaques pour sa connaissance de la mission d'Addaï à Édesse (HE I, 13). Puisque Addaï, dans la période ancienne, est un protagoniste non-apostolique [sic], et comme tel de peu d'importance pour l'Église grecque et pour l'Occident, il n'est pas téméraire de supposer une connexion entre notre apocalypse et la Syrie[6]. »

  • Irénée connaissait ce texte dans une version grecque puisqu'il le cite en grande partie dans son premier livre de Contre la Gnose au nom menteur




  • Michel Pezin, Encyclopædia Universalis, Apocalypse de Jacques,
  • Pierre Nautin, au sujet du livre de Armand Veilleux: La première Apocalypse de Jacques (NH V, 3). La seconde Apocalypse de Jacques (NH V, 4)
  • Jean-Pierre Mahé, Livret-annuaire de l'Ecole pratique des hautes études (France). Section des sciences historiques et philologiques, Philologie et historiographie du Caucase chrétien, p. 32s
    • « Rien n'indique que les traditions conservées sur les origines du christianisme albanien dans la compilation arménienne intitulée Histoire des albaniens (HA) remonte à des sources écrites traduites de la langue locale. Bien au contraire, il s'agit de chroniques composées directement en arménien aux VIe – VIIe siècle, dans l'intention d'étendre aux anciennes provinces arméniennes d'Utik' et Arc'ax, sur la rive droite de la Kura, jointes à l'Albanétie entre 387 et 428, des traditions orales antérieures concernant le berceau primitif de ce royaume, sur la rive gauche du fleuve. Cette extension n'a pas seulement des visées géographiques, elle permet de transformer la christianisation de l'Albaténie en un simple épisode de la conversion de l'Arménie, de façon à justifier le contrôle exercé par la hiérarchie arménienne sur l'Église albatanienne[7]. »
    • « Par conséquent, il convient de distinguer, pour chacune des traditions étudiées, entre l'état primitif de la légende et ses modifications ultérieures. La tâche nous est facilitée par le caractère compilatoire de HA. Le recueil est élaboré en deux étapes. Tout d'abord un auteur anonyme du Ier siècle compose les deux premiers livres en mettant bout à bout quatre chroniques anciennes des VIe – VIIe siècle: la Vie de Vac'agan le pieux (HA I 15-26), achevé peu après la mort du roi en 510 ; l'Histoire du catholicos Viroy (HA II 15-16) qui date des environs de 640 ; ... (plus deux autres écrits). À ce noyau documentaire, l'auteur a ajouté ses propres réflexions et divers résumés d'historiens arméniens dont Moïse de Khorène[8]. »
    • « [...] La tradition orale attribuait l'évangélisation du pays à un certain Elisay, consacré xcomme évêque par Jacques le frère du Seigneur. Dans la version primitive du récit, Elisay se rend directement de Jérusalem en Albaténie où il fonde l'église de Gis, « mère des Èglises d'Orient » et subit le martyre. Dans une version ultérieure, il est d'abord disciple de saint Thaddée en Arménie, puis il gagne Jérusalem après la mort du saint. Consacré par Jacques, il se rend en Albaténie, où il fait un circuit compliqué au sud et au nord de la Kura, avant de rejoindre Gis et le lieu de son martyre (HA I, 6 ; III, 26). Du même coup, il devient l'apôtre de l'Albaténie toute entière, dans ses frontières d'après 428-451 et un simple épigone de Thaddée, premier illuminateur des arméniens. »
    • « L'Apocalypse de Jacques contenu dans le codex Tchacos et partiellement parallèle au codex V de Nag Hammadi, nous apprend que, bien avant la rédaction de la Doctrine d'Addai et la normalisation antiochienne de leur Église, les chrétiens d'Édesse se croyaient issus d'un groupe judéo-chrétien ayant quitté Jérusalem entre le martyr de Jacques (62) et la destruction du Temple (70), sous la direction d'Addaï, confident du frère du Seigneur (Tchacos 23, 10-16 ; cf. NH V 36, 14 - 37, 20)[9]. »

L'Osrohène et l'Adiabène sont toutes les deux en rapports avec la figure prophétique archétypale appelée Addai[10].

Thaddée-Addai et Abgar p. 342s

Hippolyte sur le second groupe d'Esséniens qu'il appelle soit Zélotes soit Sicaires. p. 362

Hillel, mort depuis plus de 30 ans qui intervient pour prolonger de 7 ans la période de Naziréat d'Hélène (Talmud) p. 363

Selon les récits rabbiniques « « Monobazus » ou « Bazeus » sont — comme « Caesar », « Hérode » et même « Abgarus » — probablement des titres » réapparaissant de génération en génération[10].

Dans les sources romaines Acbar, Abgar ou Augarus sont présentés comme « roi des Arabes »[10].

Sabéens et Elkasaẗes p. 369.

Révoltes de exilés déclenchée après que Trajan a commencé à défaire un roi dans cette région pour éradiquer toute perturbation messianique. En 116-116 il a effectivement mis fin au royaume d'Adiabène etc. Modèle:P.369-370

Sur le contrôle de la région de Beyrouth par Hérode de Chalcis (v. 45) et le lien éventuel avec l'action de Theudas qui pour Eisenman est le frère de Jésus. p. 377

Sur Thomas p. 377 et sur le fait que comme Addai ses os furent transférés à Édesse. p. 377


  1. Greek: ᾿Αποκάλυψις, disclosure, revelation or vision.
  2. יעקב "Holder of the heel; supplanter"; Standard Hebrew Yaʿaqov, Tiberian Hebrew Yaʿăqōḇ
  3. Markschies, Christoph (trans. John Bowden), (2000). Gnosis: An Introduction. T & T Clark. See details at Nag Hammadi library.
  4. The text begins "It is the Lord who spoke with me: "See now the completion of my redemption. I have given you a sign of these things, James, my brother. For not without reason have I called you my brother, although you are not my brother materially.".
  5. a et b Robert Eisenman, James the Brother of Jesus: The Key to Unlocking the Secrets of Early Christianity and the Dead Sea Scrolls, éd. GDP, Nashville, 2012, p. 378.
  6. Armand Veilleux, La première apocalypse de Jacques (NH V,3), la seconde apocalypse de Jacques (NH V,4), p. 93
  7. Jean-Pierre Mahé, Livret-annuaire de l'Ecole pratique des hautes études (France). Section des sciences historiques et philologiques, Philologie et historiographie du Caucase chrétien, p. 32.
  8. Jean-Pierre Mahé, Livret-annuaire de l'Ecole pratique des hautes études (France). Section des sciences historiques et philologiques, Philologie et historiographie du Caucase chrétien, p. 32.
  9. Jean-Pierre Mahé, Livret-annuaire de l'Ecole pratique des hautes études (France). Section des sciences historiques et philologiques, Philologie et historiographie du Caucase chrétien, p. 33.
  10. a b et c Robert Eisenman, James the Brother of Jesus: The Key to Unlocking the Secrets of Early Christianity and the Dead Sea Scrolls, éd. GDP, Nashville, 2012, p. 369.
  • Online text of The First Apocalypse of James
  • James M. Robinson, ed., The Nag Hammadi Library, revised edition. HarperCollins, San Francisco, 1990.
  • Wilhelm Schneemelcher, ed., translation by R. McL. Wilson, New Testament Apocrypha : Gospels and Related Writings (Louisville: John Knox Press, 1992), pp. 313–326.