Aller au contenu

Utilisateur:MaxDuNord/Émissions de gaz à effet de serre en France

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France sont estimées par le CITEPA[1].

En 2017, elles se sont élevées à environ 452 millions de tonnes équivalent CO2 en France métropolitaine auxquelles s'ajoutent les émissions des départements et régions d'outre-mer (environ 13 millions de tonnes équivalent CO2) et celles des collectivités d'outre-mer (environ 6 millions de tonnes équivalent CO2). Les transports et la combustion de combustibles non renouvelables (pétrole, gaz, charbon) représentent environ 70% de ces émissions. L'agriculture représente 16% des émissions. Elle est suivie par les procédés industriels (9%) et les déchets (4%).[2]

Les principaux GES pris en compte dans l'inventaire sont : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O), les hydrofluorocarbures (HFC), les perfluorocarbures (PFC), l'hexafluorure de soufre (SF6), le trifluorure d'azote (NF3). Ce sont des gaz à effet de serre dits "directs" car leur émission dans l'atmosphère a une action immédiate sur l'effet de serre. Il existe des gaz à effet de serre "indirects" qui n'entrent pas dans le cadre du protocole de Kyoto mais dont les émissions peuvent aussi être estimées : il s'agit du monoxyde de carbone (CO), des composés organiques volatils non méthaniques (COVNM), des oxydes d'azote (NOx) et des oxydes de soufre (SOx). Ces gaz à effet de serre indirects entraînent la formation de polluants secondaires qui contribuent à l'effet de serre ou bien l'atténuent.

Les sources des émissions de gaz à effet de serre peuvent être naturelles ou anthropiques (liées à l'être humain).

On parle d'émissions négatives lorsque les gaz à effet de serre sont absorbés, par exemple par une forêt. Ces émissions négatives peuvent aussi être estimés. On ne parle plus alors de sources d'émissions mais de puits.

Les estimations des émissions de gaz à effet de serre dépendent des connaissances scientifiques et des données disponibles.

Les sources et les puits considérés sont : la combustion dans l'industrie de l'énergie, la combustion dans l'industrie manufacturière, la combustion dans les transports (liaisons nationales et internationales), les autres secteurs de la combustion (résidentiel, tertiaire, pêche, agriculture), les émissions fugitives de l’énergie (fuites, torchères) liées à l’extraction, la production, et le transport des matières énergétiques (pétrole, gaz naturel, charbon), les procédés industriels (métaux, chimie, ciment, verre, chaux...), l'agriculture (engrais, cheptels), la biomasse et les sols, le traitement des déchets et des eaux usées, les émissions naturelles (volcans, marais...).

Dans le cadre des accords internationaux sur le climat (voir la convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques), les sources naturelles ainsi que les transports internationaux ne sont pas pris en compte.

Dans ce cadre international, les émissions et absorptions de la biomasse et des sols font aussi l'objet d'un traitement particulier. Ce domaine est appellé UTCATF pour Utilisation des Terres, Changement d'Affectation des Terres et Forêt.

L'UTCATF couvre la récolte et l'accroissement forestier, la conversion des forêts (défrichement) et des prairies ainsi que la conversion des sols (forêt, prairie, terre cultivée...).

L'unité de mesure usuelle des émissions de gaz à effet de serre est la tonne équivalent CO2. Cette unité correspond à la quantité de CO2 qu'il faudrait émettre pour avoir la même action sur l'effet de serre. Cette unité permet d'obtenir une mesure commune à l'ensemble des différents gaz à effet de serre. En effet, tous les gaz à effet de serre n'ont pas le même potentiel de réchauffement. Par exemple, 1 tonne de méthane émise dans l'atmosphère a un potentiel de réchauffement beaucoup plus élevé qu'une tonne de dioxyde de carbone.

Le seul CO2 contribue pour 74% à l'effet de serre global engendré par les émissions de la France entière. Il est suivi par le CH4 (12%), le N2O (9%) et les HFC (4%).

Bilan des émissions anthropiques depuis 1990

[modifier | modifier le code]

Cette partie présente le bilan des émissions de gaz à effet de serre de la France d'origine anthropique. Les gaz concernés sont les gaz à effet de serre directs (CO2, CH4, N2O, HFC, PFC, SF6, NF3). Les émissions naturelles ne sont pas prises en compte. En effet, dans le cadre des accords internationaux, seules les émissions anthropiques (hors transport international) sont considérées . De plus, une distinction est faite entre les bilans prenant en compte le secteur Utilisation des Terres, Changement d'Affectation des Terres et Forêt (UTCATF) et les bilans ne le prenant pas en compte.

Ce bilan des émissions est hors UTCATF, c'est-à-dire qu'il ne prend pas en compte les émissions du secteur Utilisation des Terres, Changement d'Affectation des Terres et Forêt. Il ne prend pas non plus en compte le transport international qui est un secteur exclu des négociations internationales sur le climat.

Émissions de gaz à effet de serre (hors UTCATF) en France en millions de tonnes équivalent CO2[2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12]
Périmètre géographique 1990 1995 2000 2005 2010 2015 2017
France métropolitaine 542 535 543 544 499 447 452
Outre-mer zone UE 6,4 8,2 9,8 11,4 12,6 12,6 12,7
Guadeloupe 2,0 2,5 3,0 3,2 3,5 3,3 3,3
Guyane 0,9 0,9 0,7 0,9 1,1 1,2 1,1
Martinique 1,9 2,3 2,7 3 3,1 3 3
La Réunion 1,4 2,4 3,1 3,9 4,5 4,6 4,8
Mayotte 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,5 0,5
France + Outre-mer zone UE

(périmètre du protocole de Kyoto)

548 543 552 555 512 460 465
Outre-mer hors UE 2,9 3,6 3,8 4,5 5,2 6,4 6,3
Nouvelle-Calédonie 2,0 2,6 2,8 3,3 3,9 5,2 5,2
Polynésie-Française 0,7 0,8 0,9 1,1 1,1 1,1 1,1
St-Pierre-et-Miquelon 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1
Wallis-et-Futuna 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
France entière 551 547 556 559 517 466 471


En 2017, les émissions de gaz à effet de serre de la France entière s'élevaient à 471 millions de tonnes équivalent CO2.

Les émissions de gaz à effet de serre prises en compte dans le périmètre géographique du protocole de Kyoto s'élevaient à 465 millions de tonnes équivalent CO2 en 2017.

Émissions du secteur UTCATF

[modifier | modifier le code]

Le secteur Utilisation des terres, changements d'affectation des terres et Forêt est un secteur qui comptabilise à la fois des émissions et des absorptions de CO2. C'est pour l'instant le seul secteur dans ce cas. En France, les forêts et les terres agricoles (cultures et prairies) constituent d'importants stocks de carbone contenu dans la biomasse vivante, la biomasse morte et les sols. Le bilan total du secteur UTCATF présente davantage d'absorptions de CO2 que d'émissions. C'est un puits de carbone. C'est principalement la croissance des arbres déjà en place qui explique l'importance de ce puits.[3]

Emissions de gaz à effet de serre du secteur UTCATF en millions de tonnes équivalent CO2[2][3][4][5][6][7][8][9]
Périmètre géographique 1990 1995 2000 2005 2010 2015 2017
France métropolitaine -25,2 -29,0 -21,4 -48,8 -43,8 -39,8 -35,8
Outre-mer zone UE 3,0 7,1 4,6 4,1 4,2 4,0 3,9
Guadeloupe 0,1 0,2 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1
Guyane 2,6 6,6 4,2 3,8 3,8 3,6 3,5
Martinique 0,1 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1
La Réunion 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
Mayotte 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1
France + Outre-mer zone UE

(périmètre du protocole de Kyoto)

-22 -22 -16 -45 -40 -36 -32
Outre-mer hors UE 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3
Nouvelle-Calédonie 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3
Polynésie-Française
St-Pierre-et-Miquelon
Wallis-et-Futuna
France entière -22 -22 -16 -44 -39 -35 -32


Emissions du transport international

[modifier | modifier le code]

Les émissions du transport international aérien, fluvial et maritime ne sont pas pris en compte dans les engagements internationaux mais des estimations sont faites.

Emissions de gaz à effet de serre du transport international en millions de tonnes équivalent CO2[3]
Transport 1990 1995 2000 2005 2010 2015 2017
Fluvial 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1
Maritime 7,9 7,1 9,4 8,8 7,9 5,5 5,6
Aérien 8,4 10,7 14,5 15,9 16,1 17,4 17,4


Entre 1990 et 2017, les émissions du transport maritime international ont baissé. Quant aux émissions du transport aérien international, elles ont plus que doublé.

Incertitudes

[modifier | modifier le code]

Les bilans d'émissions de gaz à effet de serre sont des estimations dont la précision dépend de la qualité des données d'activité collectées. Il existe donc un niveau d'incertitude sur les estimations. Le CITEPA a calculé une incertitude de 10,9%[3] sur l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre (en incluant l'UTCATF).


Emissions par habitant

[modifier | modifier le code]
Émissions de GES par habitant (hors UTCATF) en France en tonnes équivalent CO2[2]
Périmètre géographique 1990 1995 2000 2005 2010 2015 2017
France + Outre-mer zone UE

(périmètre du protocole de Kyoto)

9,0 8,8 8,8 8 7,3 6,4 6,4
France entière 9,0 8,8 8,9 8,2 7,4 6,5 6,5


En 2017, les émissions moyennes de GES par habitant s'élèvent à 6,5 tonnes équivalent CO2.

Comparaisons internationales

[modifier | modifier le code]

Emissions mondiales

[modifier | modifier le code]

En 2017, les émissions mondiales de GES (hors UTCATF) se sont élevées à 49,2 milliards de tonnes équivalent CO2.[13] Ainsi, les émissions de GES de la France entière (hors UTCATF) représentaient en 2017 un peu moins de 1% des émissions mondiales.

Avec une population mondiale de 7,55 milliards d'habitants en 2017[14], la moyenne des émissions mondiales par habitant étaient de 6,5 tonnes équivalent CO2, soit un nombre proche des émissions par habitant de la France entière.

Emissions européennes

[modifier | modifier le code]

En 2017, les émissions européennes de GES dans le périmètre du protocole de Kyoto se sont élevées à 4,3 milliards de tonnes équivalent CO2. Avec 11% des émissions de l'Union Européenne, la France est le troisième pays le plus émetteur de l'Union, derrière le Royaume-Uni (11%) et l'Allemagne (21%).[15]

Répartition par source/secteur

[modifier | modifier le code]

Format international

[modifier | modifier le code]

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a défini des catégories (et sous-catégories) sources d'émissions qui sont utilisées par les pays pour la convention cadre des nations unies pour les changements climatiques (CCNUCC). Ces catégories sont donc reconnues internationalement. Les grandes catégories sources sont les suivantes : Energie / Procédés industriels, utilisation de solvants et autres produits / Agriculture / Utilisation des terres, changements d'affectation des terres et Forêt (UTCATF) / Déchets.

Répartition des émissions selon les principales catégories source en France en 2017 (périmètre du protocole de Kyoto)[2]
Catégorie source Mt eq.CO2 % des émissions

totales

Tous 465 100%
Energie 327 70%
dont
Transports 135 29%
Combustion résidentiel/tertiaire/agriculture 87 19%
Combustion industrie manufacturière et construction 51 11%
Combustion industrie de l'énergie 50 11%
Agriculture 76 16%
dont
Fermentation entérique 35 7,5%
Emissions directes des sols agricoles 33 7,1%
Gestion des déjections animales 6 1,3%
Procédés industriels, utilisation de solvants et autres produits 44 9%
dont
Utilisation d'halocarbures 18 4%
Industrie minérale 9 2%
Industrie chimique 9 1,9%
Déchets 17 4%
dont
Stockage de déchets non dangereux 12 2.7%

70% des émissions proviennent de la catégorie Energie. Celle-ci prend en compte toutes les combustions sur le territoire (celles des véhicules de transport, des chaudières des bâtiments et des turbines, moteurs, fours, etc. des entreprises) mais aussi les fuites pendant la production et la transformation des carburants.

Les combustibles concernés sont les combustibles non renouvelables, à savoir le gaz, le pétrole et le charbon.

Les transports domestiques représentent 29% des émissions totales avec près de 95% de l'énergie de ce secteur consommée par le transport routier.

Les émissions des chaudières (ou inserts ou poëles) dans les habitations et les entreprises ainsi que celles liées aux engins utilisés en agriculture/sylviculture (dont pêche) représentent 19% des émissions totales. Les activités militaires sont prises en compte dans cette section pour des raisons de confidentialité.

Les émissions de l'énergie utilisée dans le secteur industriel (chaudières, turbines, moteurs, fours, engins...) représentent 11% des émissions totales.

Quant à la combustion dans l'industrie de l'énergie, ses émissions représentent 11% des émissions totales. L'industrie de l'énergie comprend la production centralisée d'électricité, les réseaux de chaleur urbain, l'incinération des déchets avec récupération d'énergie, le raffinage du pétrole, la production de coke.

Emissions de GES de la catégorie Energie en France (périmètre protocole de Kyoto) en 2017[2]

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Après l'énergie, l'agriculture est la seconde source d'émissions en France avec 16% du total. Ces émissions sont principalement dûes à la fermentation entérique des animaux d'élevage (7,5% des émissions totales) et aux émissions directes des sols agricoles.

Concernant la fermentation entérique, les émissions des bovins constituent environ 90% des émissions (dont 1/3 à peu près pour les vaches laitières) devant les ovins et les caprins.

Les émissions des sols agricoles sont liées aux quantités d’azote épandues par l'homme sur les sols qu'il gère. Ce sont des émissions de N2O qui sont comptabilisées selon les diverses méthodes d'apport : épandage d’engrais minéraux et organiques, excrétions au pâturage, décomposition des résidus de culture, épandage des boues et des composts.

Emissions de GES de la catégorie Agriculture en France (périmètre protocole de Kyoto) en 2017[2]

Procédés industriels, utilisation de solvants et autres produits

[modifier | modifier le code]

Cette catégorie prend en compte toutes les émissions de gaz à effet de serre liées aux procédés industriels, hors combustion de combustibles.

Il s'agit de la seule catégorie émettrice de HFC, PFC, SF6 et NF3.

L'utilisation des halocarbures (HFC et PFC) représentent 4% des émissions totales. C'est le secteur de la climatisation / réfrigération qui est responsable de la majeure partie de ces émissions (plus de 80% des émissions totales de gaz fluorés en France métropolitaine).

La production de produits minéraux (ciment, chaux, verre, céramique, tuiles, briques, émail...) émet du CO2 via le phénomène de décarbonatation. Ces émissions représentent 2% des émissions totales de GES.

Quant à l'industrie chimique, elle est à l'origine principalement d'émissions de CO2 et N2O. Ces émissions représentent 1,9% des émissions totales.

Emissions de GES de la catégorie Procédés industriels en France (périmètre protocole de Kyoto) en 2017[2]

En France, les déchets sont traités de diverses manières : le stockage, l'incinération, le brûlage (feux ouverts), le compostage, la méthanisation, l'épandage, le transit, le tri et le recyclage.

Le stockage de déchets non dangereux (déchets ménagers, déchets industriels banals, boues d'épuration...) est la principale composante émettrice (2,7% des émissions totales en 2017). Les déchets mettent plusieurs années à se décomposer, principalement en CH4 et en CO2 (non pris en compte dans l'inventaire car d'origine biogénique).

Le stockage des déchets industriels dangereux n'est pas considéré à l'origine d'émission car les déchets sont inertés avant stockage.

Format SECTEN

[modifier | modifier le code]

En cours de construction

Contribution des différents gaz

[modifier | modifier le code]

Les gaz à effet de serre pris en compte dans les inventaires contribuent plus ou moins à l'effet de serre selon leurs quantités émises ainsi et selon leur potentiel de réchauffement.

Contribution des différents gaz à l'effet de serre (hors UTCATF) en France en 2017[2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12]
Périmètre géographique CO2 CH4 N2O HFC PFC SF6 NF3
France métropolitaine 74% 12% 9% 4% 0,2% 0,1% 0,002%
Outre-mer zone UE
Guadeloupe 83% 10% 3% 4% 0,02%
Guyane 69% 18% 5% 8% 0,03%
Martinique 78% 16% 2% 4% 0,02%
La Réunion 86% 5% 3% 6% 0,02%
Mayotte 72% 20% 4% 5% 0,02%
France + Outre-mer zone UE

(périmètre du protocole de Kyoto)

74% 12% 9% 4% 0,2% 0,1% 0,002%
Outre-mer hors UE
Nouvelle-Calédonie 92% 6% 2% 1% 0,02%
Polynésie-Française 84% 9% 4% 3% 0,02%
St-Pierre-et-Miquelon 95% 1% 1% 3% 0,03%
Wallis-et-Futuna 67% 28% 2% 3% 0,02%
France entière 75% 12% 9% 4% 0,2% 0,1% 0,002%

Principales sources de CO2

[modifier | modifier le code]

En construction

Principales sources de CH4

[modifier | modifier le code]

En construction

Principales sources de N2O

[modifier | modifier le code]

En construction

Empreinte carbone

[modifier | modifier le code]

En construction


  1. « Citepa - Données et expertise air & climat », sur Citepa (consulté le )
  2. a b c d e f g h et i CITEPA, Rapport National d’Inventaire pour la France au titre de la Convention cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques et du Protocole de Kyoto, , 746 p. (lire en ligne), p. 91, 93, 100, 686
  3. a b c d e et f CITEPA, Inventaire des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre en France –Format Secten, , 450 p. (lire en ligne), page 12, 36, 395
  4. a b et c CITEPA, Données d'émissions de la Guadeloupe - Format Outre-mer 2019-d, (lire en ligne)
  5. a b et c CITEPA, Données d'émissions de la Guyane - Format Outre-mer, (lire en ligne)
  6. a b et c CITEPA, Données d'émissions de la Martinique - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  7. a b et c CITEPA, Données d'émissions de Mayotte - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  8. a b et c CITEPA, Données d'émissions de la Réunion - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  9. a b et c CITEPA, Données d'émissions de la Nouvelle-Calédonie - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  10. a et b CITEPA, Données d'émissions de la Polynésie française - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  11. a et b CITEPA, Données d'émissions de Saint-Pierre-et-Miquelon - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  12. a et b CITEPA, Données d'émissions de Wallis-et-Futuna - Format Outre-Mer, (lire en ligne)
  13. UN Environment, Rapport sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions des gaz à effet de serre - Résumé analytique, , 12 p. (lire en ligne), p. 2
  14. (en) United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2017), World Population 2017 Wallchart (lire en ligne)
  15. (en) Agence Européenne de l'Environnement, Annual European Union greenhouse gas inventory 1990–2017 and inventory report 2019, , 962 p. (lire en ligne), p. 15