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Profil démolinguistique des Québécois allophones
Aperçu[modifier | modifier le code]
| Année 2001 | ||||
| Ensemble du Québec | Région de Montréal | Reste du Québec | Ensemble du Canada | |
|---|---|---|---|---|
| Locuteurs selon la langue maternelle | 681 224 | 622 788 | 58 436 | |
| Locuteurs selon la langue d'usage à la maison | 419 548 | 387 486 | 32 062 | |
| Persistance et attraction des langues allophones | -261 676 | -235 302 | -26 374 | |
| Indice de vitalité des langues allophones | 0,616 | 0,622 | 0,549 | |
| Anglicisation nette des allophones | 143 315 | 135 323 | 7 992 | |
| Francisation nette des allophones | 118 353 | 99 990 | 18 363 | |
Source : Charles Castonguay, Les indicateurs généraux de la vitalité des langues au Québec : comparabilité et tendances 1971-2001, 2005
Connaissance des autres langues[modifier | modifier le code]
Les Québécois dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais se jugent aptes à soutenir une conversation en français dans une proportion de 73,5% dans l'ensemble du Québec, 74,2% dans la région de Montréal et 72,9% sur l'île de Montréal.
Les Québécois dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais se jugent aptes à soutenir une conversation en anglais dans une proportion de 69,1% dans l'ensemble du Québec, 70,8% dans la région de Montréal et 70,0% sur l'île de Montréal.
Usage des langues à la maison[modifier | modifier le code]
Usage des langues au travail[modifier | modifier le code]
Substitutions linguistiques[modifier | modifier le code]
Diversité des origines[modifier | modifier le code]
Il va sans dire que le groupe allophone est très diversifié sur le plan des origines nationales et ethniques.
Migrations interprovinciales[modifier | modifier le code]
Migrations internationales[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]