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Utilisateur:Leonard Fibonacci/Giordano Brunot

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"Joseph d'Arimathie était un riche disciple de Jésus, qui, selon le livre de Matthieu 27:57-60, a demandé à Pilate la permission de prendre le corps mort de Jésus, afin de le préparer pour la mise au tombeau. Il a également fourni la tombe où le Seigneur crucifié a été posé jusqu'à sa Résurrection. Joseph est mentionné un certain nombre de fois dans les passages parallèles de Marc, Luc et Jean, mais on n’entend plus rien parler de ses activités ultérieures.

La légende apocryphe, cependant, nous fournit le reste de son histoire en prétendant que Joseph a accompagné l'apôtre Philippe, Lazare, Marie de Magdala et d'autres dans une mission de prédication en Gaule. Lazare & Marie sont restés à Marseille, tandis que les autres se sont rendus au nord. Arrivés à la Manche, St. Philippe a envoyé Joseph, avec douze disciples, pour établir le Christianisme dans le coin le plus lointain de l'Empire romain : l'île de la Grande-Bretagne. L'année 63 après JC est communément donnée pour cet "événement", avec 37 après JC étant parfois mise en avant comme une alternative. On a dit que Joseph a réalisé sa fortune dans le commerce des métaux, et dans le cadre de la réalisation de son entreprise, il est probablement devenu familier avec la Grande-Bretagne, au moins les parties du sud-ouest de celle-ci. Cornwall est un district minier principal et bien connu dans l'empire romain pour son étain. Somerset a été reconnu pour son plomb de haute qualité. Certains ont même dit que Joseph était l'oncle de la Vierge Marie et donc de Jésus [...]

La légende locale dit que Joseph a contourné le Land's End et s'est dirigé vers ses anciens repaires d'extraction de plomb. Ici, son bateau a débarqué dans les marais de Glastonbury et, avec ses partisans, il a gravi une colline proche pour explorer les terres environnantes. [...]

Joseph s'est entretenu avec le souverain [de Glastonbury], Arviragus, et bientôt s’est acquis douze hides de terre à Glastonbury pour y construire le premier monastère de la Grande-Bretagne. De là, il est devenu l’évangéliste du pays. Selon la légende il serait "l'ancêtre supposé de nombreux Monarques britanniques" [...] le Saint Graal (perdu dès cette époque) aurait fait l'objet des quêtes des Chevaliers de la Table Ronde du Roi Arthur.

Un personnage qui a attiré notre attention dans les écrits de Juvénal, qui le mentionne en relation avec la résistance à la conquête et à l'autorité romaines. Geoffrey de Monmouth parle de lui comme d'un roi britannique dont le frère a été tué au cours de l'invasion de Claude (43 après JC). Il a été lié à Caratacus, mais plus intéressant encore, [selon] les interpolateurs de "De Antiquitate Glastoniensis Ecclesiae" de William de Malmesbury seraient le roi qui accorda 12 hides de terre autour de Glastonbury à Joseph d'Arimathie et à son groupe d'adeptes, lorsque ils apportèrent le christianisme en Grande-Bretagne pour la première fois [en 63 après JC  [sic]].

Certains érudits pensent que c’est peut-être Arviragus et son peuple qui ont occupé l’ancien hillfort, situé dans le comté de Somerset, connu sous le nom de Cadbury Castle (qui sera plus tard associé au roi Arthur), et l’a utilisé comme base pour leurs résistance contre les Romains.

Comment se pose la question des 2 Polémons

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Polémon s'est-il appelé Marcus Antonius Polemon puis a-t-il changé son nom Caïus Julius Polemon ? ou bien :

  • s'agit-il de 2 personnages différents le 1er roi de Cilicie mort en 54, le suivant régnant ensuite sur la Cilicie et dynaste d'Olba ? ou
  • s'agit-il d'une erreur de nom sur un seul manuscrit sur le même roi de Cilicie ?
Pont et Bosphore

L'exposé de la question commence au § précédent sur le Pont et Bosphore

Judah Bathyra et Bne Bathyra

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Judah Bathyra
Bne Bathyra
The troopers of Zamaris

Proculus Mettius Modestus - Égypte - Arles en Narbonnaise

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Arinius Modestus et Cyrène

Révoltes juives à Cyrène

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Acilius Strabo contemporain de Néron gouverneur en Cyrénaïque
Exécution du grand-prêtre Jonathan à Cyrène
Contradiction entre la description de Jonathan le Tisserand comme prophète et son lien avec les Sicaires

La contradiction entre la description de Jonathan le Tisserand comme prophète et son lien avec les Sicaires a été soulignée, mais c'est la même contradiction apparente que celle que l'on trouve pour les membres de la secte de Qumrân.

Acilius Strabo et Cornelia Procula descendante de Claudia Procula ?

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Annexion de Chalcis à l'Empire et destitutions d'Aristobule et de Sohaemus

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« L'épithète de Flavia Chalcis et l'adoption d'une ère par la ville débutant en 92 semble lier l'événement à la chronologie même que l'on adopte pour l'annexion des autres possessions d'Agrippa II. (p. 46, note no 18) »

Pour Émèse « bien qu'on ne puisse assurer que Sohaemus abdiqua au retour de l'expédition qui déposséda Antiochos IV de Commagène l'absence de tout titre royal sur le mausolée de 78/79, comme sur les inscriptions qui attestent l'existence de la famille tout au long du IIe siècle (p. 46, note no 18) » indique que vraisemblablement le royaume d'Émèse a été annexé à l'Empire avant la construction du mausolée.

Les destitutions d'Aristobule de Chalcis et de Sohaemus d'Émèse semblent avoir eu lieu en même temps, juste après l'expédition contre la Commagène.

Mort de Maryam Helena à Éphèse

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https://books.google.fr/books?id=iPiR0YOnWFkC&pg=PA94&dq=%C3%A9v%C3%AAques+j%C3%A9rusalem+Mimouni&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj-2ZGh6a3eAhVGvxoKHdA8BZkQ6AEINjAC#v=onepage&q=%C3%89ph%C3%A8se&f=false

Image de Jésus diffusée par les autorités romaines

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Sur Mara bar Sérapion et Lucien de Samosate

« Quel bénéfice [...] les Juifs [ont-ils tirés] du meurtre de leur roi sage, vu que de ce moment même, ils ont été privé de leur royaume ? Car Dieu a vengé avec justice la sagesse des trois. Les Athéniens [...], les habitants de Samos [...] ; et les Juifs livrés à la désolation, expulsés de leur royaume sont dispersés dans tous les pays. Socrate n'est pas mort grâce à Platon, Pythagore non-plus grâce à la statue d'Héra, et le roi sage non plus, grâce aux nouvelles lois qu'il a établies. »

Et aussi

Conclusion de Serge Bardet sur le Testimonium

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James Tabor sur la naissance illégitime de Jésus et les Toledoh Yeshou

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Véronique, Pilatus, Cura sanitatis Tiberii et la Vindicta Saluatoris

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« La légende associant le portrait de Jésus à Véronique a partie liée avec une série de traditions littéraires sur [Pilatus] [...] Les origines et les relations des divers récits de l’Antiquité et du Haut Moyen Âge consacrés à Pilate et à Véronique – pour ne pas parler des enjeux dont ils sont porteurs – sont ainsi loin de pouvoir être élucidées. [...] les deux récits les plus anciens conservés sur la« Sainte face » – la Cura sanitatis Tiberii et la Vindicta Saluatoris. » Voir le résumé des récits dans Utilisateur:Leonard Fibonacci/Bérénice - sainte Véronique

Dans

Marthe et Marie

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Que peux nous apprendre l'iconographie

Chrétien chez les Acilii

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Acilius Rufinus est le premier chrétien incontesté des Acili pour ceux qui réfute l'appartenance d'Acilius Glabrio au mouvement de Jésus

https://www.google.fr/search?q=%22Acilius+Rufinus%22&oq=%22Acilius+Rufinus%22&aqs=chrome..69i57j0.7261j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8

Le POV de Dondin-Paye

Païens et chrétiens à Rome

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Le judéo-christianisme dans tous ses états

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Uniquement les articles en français

Quintus Aquilius Niger

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Rappel

et surtout Utilisateur:Leonard Fibonacci/Quintus Aquilius Niger avec l'arbre généalogique si parlant

Sur Antonia Caenis

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The Babatha and Salome Komaise Archive
Seth Schwartz
Religion des sénateurs romains
Antonia Augusta (Kokkinos)

À compléter

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Sur Aquilia Severa, Annia Faustina, etc.

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Nakdimon ben Gourion

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À emprunter
Gourion eq à Giora (ben Gourion = fils du prosélyte ?)

Cela semble toutefois assez improbable car Flavius Josèphe mentionne un « Gorion, fils de Nicomède » dans la Guerre des Juifs[1]. Au début de la Grande révolte, qui conclut la la convention de capitulation du préfet romain Metillius en 66. Josèphe indique aussi que « Joseph, fils de Gorion, et le grand-prêtre Anan » sont élus dictateurs de Jérusalem peu après la défaite de Cestius à Beth-Oron[2] (automne 66) à qui est d'ailleurs attribué par erreur le Josippon[3]. « Gorion, fils de Nicomède », signifierait que quelqu'un était appelé "le prosélyte fils de Nicomède", ce qui me semble hautement improbable. => Gorion est un nom et pas un surnom.

  1. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, II, XVII, 10.
  2. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, II, XX, 3.
  3. Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 142.